REVUE DE PRESSE NATIONALE DU SAMEDI 3 ET DIMANCHE 4 NOVEMBRE 2012

6 nov 2012

REVUE DE PRESSE NATIONALE DU SAMEDI 3 ET DIMANCHE 4 NOVEMBRE 2012

Attaques répétées contre les Frci : L'Onuci se renforce

Nord-Sud - Sylvie van den Wildenberg, porte-parole de l'Opération des Nations unies pour la Côte d'Ivoire (Onuci) a indiqué hier, lors d'un point-presse, que cette représentation a renforcé son dispositif sécuritaire. La mesure fait suite aux attaques des positions des forces régulières. L'effectif des Casques bleus à Abidjan et dans les points névralgiques du pays a été également renforcé. «La situation sécuritaire qui était tendue sur l'ensemble du territoire national a amené la force de l'Onuci à prendre des dispositions sécuritaires très rigoureuses», a-t-elle expliqué. Autre situation qui intéresse l'Onuci, c'est l'opération de Démobilisation, désarmement et réinsertion (Ddr). La mission onusienne s'est d'ailleurs engagée dans l'exécution de ce projet, qui a débuté le 22 octobre dernier, par l'identification des ex-combattants à Anyama. Sylvie van den Wildenberg a saisi l'occasion pour présenter ses condoléances aux familles des sept éléments des Forces de sécurité qui ont perdu la vie et des blessés dans le grave accident de la circulation le 30 octobre à Abidjan. En ce qui concerne le dossier judiciaire sur les incidents de Nahibly en juillet dernier, elle a dit que l'Onuci continuera de partager avec les autorités ivoiriennes tout élément pouvant faciliter les enquêtes. Enfin, elle a invité les Ivoiriens à œuvrer pour la paix et la réconciliation nationale.

Sortie de crise / 1.550 ex-combattants bientôt désarmés

L'Inter - La porte-parole de l'opération des nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), Sylvie van den Wildenberg, a animé le point-presse hebdomadaire de la mission onusienne en Côte d'Ivoire, hier vendredi 2 novembre 2012 au siège de l'institution sis à l'hôtel Sebroko à Attéccoubé. «En exécution de son mandat, l'unité Désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) de l'ONUCI accompagne l'Autorité nationale ivoirienne (ADDR) dans la mise en œuvre de cette première phase opérationnelle de son programme national. Cette phase concerne quelque 1550 combattants. L'opération conduite par l'ADDR, vise à désarmer et à démobiliser ces éléments et à les réintégrer dans la vie civile», a déclaré Sylvie van den Wildenberg. A l'entendre, ces ex-combattants suivront une formation afin de constituer une réserve de recrutement pour l'administration pénitentiaire. «La réintégration de ces éléments dans la fonction publique se fait par l'Administration pénitentiaire, selon des critères de sélection établis par cette administration», a-t-elle informé. La porte-parole de l'ONUCI a regretté la disparition le 30 octobre 2012 à Abidjan, de sept éléments des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), dans un accident de la circulation. Selon elle, ces éléments s'apprêtaient à intégrer le programme national de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des combattants. Sylvie Van den Wildenberg a soutenu, en outre, que l'ADDR reçoit un appui de l'ONUCI, notamment au niveau logistique. Elle a expliqué que les composantes militaires et de police de l'ONUCI, participent, avec les FRCI, à la protection du site de regroupement des ex-combattants d'Anyama, tandis que le Programme de la lutte anti- mine des nations unies (UNMAS), à travers son partenaire Halo trust, fournit un conseil technique à l'autorité ivoirienne de DDR sur la gestion de l'armement et les munitions déposés par les combattants. «Elle assure également la destruction de ces matériels lorsqu'ils ne sont plus opérationnels ou estimés dangereux. A noter que l'armement et les munitions en bon état sont reversés aux arsenaux nationaux par l'autorité ivoirienne», a dit la porte-parole de Bert Koenders. Par ailleurs, l'ONUCI a estimé que la situation sécuritaire dans le pays reste «tendue», obligeant la mission onusienne et les forces de sécurité à renforcer leurs dispositifs de sécurité. 1500 patrouilles terrestres et aériennes ont été effectuées, à cet effet, par les Casques bleus. L'ONUCI a annoncé qu'elle suivait de près le transfèrement de plusieurs dizaines de détenus de la Maison d'arrêt et de Correction d'Abidjan (MACA) vers des centres de détention dans le nord du pays, «afin d'appuyer les autorités judiciaires ivoiriennes en vue de garantir le respect des normes nationales et internationales en matière de droits des détenus».

Alerte ! Village de Dabou / Plusieurs armes distribuées à des mercenaires et miliciens

Le Jour plus (Une) – Les Ivoiriens n'ont pas encore fini de vivre les soubresauts des pro-Gbabo quo veulent vaille que vaille voir leur projet de renversement du régime Ouattara se réaliser. Pour ce faire, ils ont procédé à la distribution d'une importante quantité d'armes de guerre dans le village d'Orbaff à quelques encablures de la ville de Dabou.
2 mois 18 jours après l'attaque de la ville lagunaire de Dabou par un commando composé de plusieurs individus en treillis, les ennemis de la Côte d'Ivoire n'entendent pas lâcher prise. Selon des informations en notre possession, une importante quantité d'armes a été distribuée dans la région de Dabou en ce moment. Nos sources nous révèlent que la localité qui servirait de base de départ d'une rébellion qui projette de renverser le régime du Président Ouattara est le village d'Orbaff. En effet, il y a quelques jours, quatre véhicules de type 4x4 ont convoyé un stock important d'armes. La grande rébellion qui se prépare à Orbaff (Dabou) est pilotée par un ancien Fesciste. (...) En guise d'essai, une partie de ces armes a été récemment utilisée dans un braquage. [...]

Municipales et Régionales / Voici les Ivoiriens disqualifiés d'office. 23 janvier, date limite du dépôt des candidatures

Le Nouveau Réveil – Pour la première fois de son histoire, la Côte d'ivoire va organiser deux élections (munici pales et régionales) le même jour, le 23 février 2012. Mais un mois avant ces joutes électorales, c'est à dire le 23 janvier prochain, les partis politiques devront faire connaître à la Commission chargée des élections la liste de leurs candidats à ces deux scrutins.
Pour sa part, le code électoral dresse de façon très précise la liste des per sonnes qui peuvent et surtout celles qui ne peuvent prétendre briguer la mairie ou le Conseil régional.
A la question de qui peut être candidat aux élections municipales et aux élections des Conseils régionaux, le code électoral répond en procédant dans les deux cas selon la même logique de raisonnement. Ainsi pour être conseiller municipal ou conseiller régional, il faut avoir 25 ans révolus, être né ivoirien ou avoir acquis la nationalité ivoirienne depuis plus de 10 ans, être inscrit sur la liste électorale de la circonscription électorale choisie. Toutefois, cette dernière exigence est assortie d'une exception importante. Laquelle permet à des électeurs non résidents ou non inscrits sur la liste électorale de la Commune ou de la région choisie de se porter candidats s'ils démontrent qu'ils possèdent des intérêts économiques et sociaux certains. En outre, le législateur a listé un certain nombre d'incompatibilités qui interdisent à une catégorie de citoyens de prendre part aux élections municipales et régionales. Ce sont, d'une part, les personnes ayant acquis la nationalité ivoirienne depuis moins de 10 ans, les personnes démunies secourues par le budget communal ou régional, les présidents de Conseil et conseillers régionaux, les maires adjoints et conseillers adjoints au maire et aux conseillers municipaux qui ont été demis d'office pour malversations, même s'ils n'ont pas encouru des peines privatives de droits civiques sans préjudice des dis positions de la loi relative à l'organisation municipale" précise l'article 140 de la loi électorale.
L'article 141 étend ces incompatibilités "aux préfets, sous préfets, secrétaires généraux de préfecture dans le ressort où ils exercent leurs fonctions. [...].

La Caravane de la paix à Man / Alpha Blondy aux populations : «Mon grand frère Ouattara doit libérer les pro-Gbagbo»

Le Nouveau Réveil – Comme un vin, la caravane de la paix semble se bonifier au fil des étapes. Le succès de Gagnoa vient d'être confirmé le vendredi 26 octobre 2012 au stade Léon Robert qui a affiché plein. Plus de dix mille personnes sont venues communier dans le show avec les missionnaires de la paix dont le périple est sa troisième étape. C'est devant ce parterre très fourni que Alpha Blondy a lancé un appel des plus patriotiques à la jeunesse «Jeunes frères et fils, n'acceptez plus jamais de verser votre sang pour des hommes politiques incapables de régler les problèmes de politique bête. Ces salauds qui ont mis le feu à notre pays, oui à notre paradis. J'ai deux doléances actuellement en faveur de la paix. J'irai voir mon grand frère Alassane Ouattara pour qu'il libère les prisonniers pro-Gbagbo qui ne sont pas coupables de crimes de sang. Je suis convaincu que s'il le fait, la réconciliation pourra se mettre véritablement en marche. Aux pro-Gbagbo, je demande d'arrêter les attaques quotidiennes de déstabilisation du régime», a dit l'auteur de Fanta Diallo qui a profité de l'occasion solennelle pour annoncer son nouvel album qui comporte "Seydou" une dédicace à l'artiste lui même. [...]

Déclaré «apte» par la Cpi - Laurent Gbagbo sera bel et bien jugé

Nord-Sud, L'Inter, Soir Info, Fraternité Matin, Le Nouveau Réveil, Le Mandat, L'Intelligent d'Abidjan, Le Jour plus, Le Patriote- Les choses vont-elles de mal en pis pour l'ancien président ivoirien. La Cour pénale internationale le déclare «apte» à répondre physiquement devant les juges et l'informe de la tenue prochaine de l'audience de confirmation de charges contre lui.
L'horizon s'obscurcit pour l'ancien président. Détenu à La Haye depuis fin 2011, Laurent Gbagbo vient d'être situé sur la énième requête faite par sa défense. La Cour pénale internationale (Cpi) n'autorise pas l'ex-chef d'Etat à s'absenter pour cause de santé lors des procédures judiciaires à son encontre. La décision qu'a rendue hier la Haute juridiction internationale oblige ainsi l'ancien président à prendre physiquement part aux futurs débats le concernant. Toute chose qui tend à préciser davantage la possibilité d'un procès comme suite logique des audiences. La décision sans appel de la Cour était bien prévisible d'autant qu'elle en avait déjà indiqué les prémices. «La liberté provisoire ne peut être ordonnée sur la base des conditions de santé de M. Gbagbo qui ont été alléguées», prévenait-elle le 13 juillet alors qu'elle analysait aussi et surtout la requête de mise en liberté provisoire. Dès lors, le concerné était situé, pourtant il a interjeté appel. Car, le 23 juillet, Laurent Gbagbo a déposé sa notification dans ce sens. Il avait notamment soulevé quatre points sur lesquels il a demandé à la Chambre préliminaire I, en charge de son dossier, de réviser ses décisions. Ces quatre sujets ne sont autres que les circonstances de sa détention, les conditions de sa détention, son indigence et sa santé. Tous ces éléments, s'ils avaient été agréés, contribueraient à la mise en liberté provisoire ou sous condition de M. Gbagbo. Mais, l'audience du 26 octobre avait ruiné l'espoir de l'intéressé. Ce d'autant qu'elle a sanctionné un refus catégorique sur tous les griefs de la chambre d'appel. «La chambre d'appel n'est cependant pas convaincue par ses arguments», avait-elle signé. Les juges, en déclarant M. Gbagbo apte à comparaître, s'engagent dans des sillons qu'avait également ébauchés la chambre d'appel.

Rejet de la liberté provisoire pour Gbagbo / Des victimes saluent la décision de la Cpi

L'Expression – Pour la seconde fois, les juges de la Cour pénale internationale (Cpi) ont rejeté le 26 octobre, la demande de liberté provisoire formulée par les avocats de l'ancien président. Le Collectif des victimes de Côte d'Ivoire (Cvci) se réjouit de cette situation. Dans un communiqué, l'organisation dit « constater que toutes les décisions de la Cpi relatives à l'affaire Laurent Gbagbo, ont été rendues sur la base de fondements juridiques en toute souveraineté, confirmant ainsi la crédibilité de cette Cour sur laquelle les victimes en Côte d'Ivoire fondent un vif espoir de voir leur droit à une justice respectée, conformément au respect de la dignité humaine, pour mettre ainsi fin à plus de douze années d'impunité régie en mode de gouvernement en Côte d'Ivoire». Le Cvci estime que le droit de Laurent Gbagbo de bénéficier d'une liberté provisoire, ne peut pas primer sur le droit à la justice des victimes et de leurs parents, et rappelle que dans toute procédure judiciaire de par le monde, le droit des victimes est primordial. « Maintenir Laurent Gbagbo dans les liens de la détention préventive sera la garantie d'une justice équitable», affirme Issiaka Diaby, le président du Cvci. Evoquant la crédibilité de la Cpi, le Collectif explique que l'audience du mardi 30 octobre sur la question de la liberté provisoire de Laurent Gbagbo est une question de procédure relative à la mise en liberté provisoire, soulevée au moins tous les 120 jours par la Chambre, conformément aux Statuts de Rome en son article 60 et Règle 118 du Règlement de procédure et de preuve, pour le respect des droits des parties


Déportés dans sa juridiction / Le procureur de Séguéla confirme l'illégalité du transfert des détenus

Le Nouveau Courrier - L'Amiral Vagba Faussignaux, commandant de la marine nationale sous Laurent Gbagbo, et ses codétenus, selon des sources crédibles proches du parquet de Séguéla, ont reçu la visite du procureur Maurice N'Dri Kouakou dans la matinée d'hier vendredi à la prison civile de ladite ville. Il s'agissait pour le procureur dans la juridiction de qui ont été déportés les prisonniers politiques, selon ces mêmes indiscrétions, d'éclairer la lanterne de ses hôtes sur sa non-implication dans les procédures.
Profitant d'une visite aux éléments des ex-Forces de défense et de sécurité, Maurice N'Dri Kouakou a indiqué qu'ils ne sont pas sous sa responsabilité, quand bien-même qu'ils se trouvent dans sa zone d'influence. Dans sa lancée, il a révélé que c'est le ministère de la Défense qui pilote personnellement ce dossier. Cette sortie du procureur de Séguéla apporte de l'eau au moulin des avocats des détenus politiques qui n'ont pas hésité à fustiger «les conditions et les modalités d'incarcération de personnes poursuivies pénalement».
Le commandant des FRCI prévient : pas de visite jusqu'au 25 novembre prochain
(...)
Par ailleurs, le commandant Frci de la zone de Séguéla, Ayoba, toujours selon nos sources, a informé dans l'après-midi du vendredi à 16h les prisonniers du régime Ouattara, dont il a la surveillance, qu'ils n'ont pas droit à une quelconque visite de leurs proches avant le 25 novembre prochain. [...]

Justice ivoirienne / vers la grâce présidentielle pour les pro-Gbagbo ? Les confidences de Soro depuis Paris

L'Inter - Le président de la République a le droit de faire grâce», dixit l'article 49 de la constitution ivoirienne de août 2000. Va-t-on recourir à cette disposition de la constitution pour les détenus pro-Gbagbo en Côte d'Ivoire ? L'idée n'est pas à écarter, et ce serait d'ailleurs, de l'avis de bien des observateurs de la vie politique ivoirienne, une réelle bouffée d'oxygène pour le processus de réconciliation nationale qui bat de l'aile depuis son lancement il y a environ deux ans. Même si cette mesure n'a pas encore fait l'objet d'annonce officielle, elle se susurre, semble-t-il, dans les officines diplomatiques et les couloirs du palais présidentiel d'Abidjan. Cette prérogative dévolue exclusivement au président de la République, pourrait en effet intervenir dans la gestion de la crise post-électorale pour décrisper l'atmosphère. Selon des sources bien introduites, l'idée du chef de l'Etat Alassane Ouattara, serait d'accélérer les procédures judiciaires en cours contre les partisans de l'ancien président ivoirien, et les boucler avant la fin de l'année 2012. Ce qui devrait lui laisser le temps d'analyser au cas par cas, la situation des détenus issus de l'ancien régime, afin de décider qui doit bénéficier de la grâce présidentielle, après la sanction judiciaire. Le président de la République ne voudrait pas entamer la nouvelle année 2013 sans donner un signal fort pour la réconciliation nationale. Et il semble bien décidé à accorder la grâce à des prisonniers à la fin de l'année, comme cela lui est reconnu par la constitution ivoirienne. Il voudrait le faire à la fin de l'année en cours, comme cadeau de fin d'année, et aborder plus sereinement la nouvelle année. [...]

Pour leur retour en Côte d'Ivoire / Blé Goudé et Stéphane Kipré négocient avec Ouattara. Voici leur médiateur

Soir Info - Engager Macky Sall, le chef de l'Etat Sénégalais, qui partage les mêmes valeurs libérales avec Alassane Ouattara, comme lobbyiste et médiateur. On peut dire que Charles Blé Goudé, ex-leader des jeunes patriotes et Stéphane Kipré, le gendre de Laurent Gbagbo, ont sorti la grosse artillerie. En tout cas, la «Lettre du Continent », dans sa publication N° 645 du 25 octobre 2012, croit savoir que Blé Goudé et Stéphane Kipré ont engagé de secrètes négociations, par l'entremise du président sénégalais, notamment, avec le chef de l'Etat, Alassane Ouattara, en vue de leur retour en Côte d'Ivoire. De toute évidence, ces deux très proches de Laurent Gbagbo, ont le mal du pays, qu'ils ont quitté après la chute de leur « mentor » le 11 avril 2011. Profitant de son récent séjour en terre ivoirienne, dans le cadre du congrès de l'internationale libérale qui s'est tenu du 18 au 19 octobre 2012 à Abidjan, Macky Sall a tenté de jouer l'apaisement auprès d'Alassane Ouattara en plaidant la cause de personnalités pro-Gbagbo en exil, apprend L.C. Le président sénégalais a été « sollicité par Stéphane Kipré, le gendre de l'ancien chef de l'Etat Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, ex-leader des jeunes patriotes ». Le confrère ne révèle pas la position ou la réponse donnée par le chef de l'Etat ivoirien à son homologue sénégalais sur la requête de Blé Goudé et Stéphane Kipré. Mais, il souligne néanmoins que « Ouattara serait disposé à accepter le retour en Côte d'Ivoire de l'ex-directeur général du Port Autonome d'Abidjan, Marcel Gossio, ». Les Wê que le chef de l'Etat a reçus le 22 octobre 2012 au palais présidentiel avaient plaidé pour le retour d'exil de leurs parents. Alassane Ouattara avait notamment indiqué qu'il n'était pas opposé, en particulier, au retour de Marcel Gossio, soulignant toutefois qu'il ne pouvait pas présager de ce que la justice pouvait faire, s'il s'avérait que des audits commandités révélaient des détournements de fonds au port.

Tournoi de la confraternité : Le Nouveau Courrier et Le Nouveau Réveil en attraction

Le Nouveau Courrier - Le Nouveau Courrier et Le Nouveau Réveil croisent le fer samedi 3 novembre (matin) au Cours secondaire méthodiste (CSM), en face du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody. Ce match comptant pour les phases éliminatoires (seul match en retard) du tournoi de la confraternité qui réuni l'ensemble de la presse et des médias ivoiriens et internationaux. L'équipe victorieuse de ce match rencontrera Radio Nostalgie en quarts de finale programmés le 10 novembre prochain.