REVUE DE PRESSE NATIONALE DU MERCREDI 30 MAI 2012

30 mai 2012

REVUE DE PRESSE NATIONALE DU MERCREDI 30 MAI 2012







Titres




 




Journée internationale des casques bleus: Duékoué abrite la
fête -
Le Mandat




 




Journée internationale des casques bleus: l'ONUCI célébrée à
Duékoué –
Nord-Sud




 




Police Nationale L'ONUCI équipe les
''RG'' pour 11 millions de FCFA -

Le Patriote (tendance RDR),
Fraternité Matin




 




Bas- Sassandra /
DDR
: les medias du s'engagent à mieux informer les populations -

Le Jour plus




 




Bouaké/DDR : la presse informée sur le processus-
Le Patriote




 




Politique nationale, déclarations enflammées... le Rdr et
le Fpi déterrent la hache de guerre : Carton rouge -

L'inter




 




Le président de la République à son arrivée hier en
Tanzanie : « Nous attendons impatiemment la BAD à Abidjan » -

Le Patriote




 




Entretien téléphonique entre les présidents français et ivoirien ce mardi

- Agence ivoirienne de presse




 



La
CEDEAO met en garde les forces politiques qui tentent de faire échouer le
processus de transition au Mali
- Agence
ivoirienne de presse




 




REVUE DE PRESSE NATIONALE




 




Journée internationale des casques bleus: Duékoué abrite la
fête




 




Le Mandat (tendance PDCI), 30 mai 2012




 




La cérémonie officielle marquant la Journée internationale des
Casques Bleus a été célébrée le mardi 29 mai 2012 à Duekoué, ville située à 480
km à l'ouest d'Abidjan, sous la présidence du Représentant spécial du Secrétaire
général des Nations Unies pour la Côte d'Ivoire, Bert Koenders.




Lisant le message du Secrétaire Général lors de la cérémonie, M.
Koenders a rappelé le but de la Journée, qui est l'occasion de rendre hommage
aux Casques Bleus servant dans diverses missions à travers le monde et d'honorer
la mémoire de ceux qui ont péri.




Cette année, le Secrétaire général a mis l'accent sur « la
confiance indéniable des pays du monde entier aux opérations de maintien de la
paix des Nations Unies pour assurer la sécurité collective ». Dans ce cadre, il
a salué le rôle de plus en plus important des organisations régionales telles
que l'Union Africaine. «  Ces partenariats donnent aux missions de maintien de
la paix des Nations Unions la souplesse dont elles ont besoin pour faire face
aux menaces variées qui pèsent aujourd'hui sur la paix et la sécurité
internationale », a-t-il noté.




Pour sa part, le Représentant spécial a fait un rappel
historique de la relation entre la Côte d'Ivoire  et l'Organisation des Nations
Unies depuis 1961. A cet égard, M. Koenders a rappelé la participation de la
Côte d'Ivoire à la création des Casques Bleus à travers la présentation de la
Résolution 242 du Conseil de sécurité sur le conflit entre l'Israël et la
Palestine.




Le Préfet de région Effoly Benjamin  s'est félicité du choix de
sa cité pour la célébration de la Journée. Il a insisté sur le rôle primordial
de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) dans la sécurisation
de la région et il a salué l'implication du Représentant spécial et de
l'ensemble du système des Nations Unies en faveur de la réconciliation nationale
et la cohésion sociale.




Une minute de silence a été observée à la mémoire des
militaires, civils et policiers qui ont péri au cours de leur mission et les
noms de ceux qui ont perdu la vie en Côte d'Ivoire ont été lus. Le Représentant
spécial et le Préfet ont déposé chacun une gerbe de fleurs en hommage aux
Casques Bleus disparus.




 




120 000 Casques Bleus servent dans 17 missions basées dans des
régions du monde instables et dangereuses. Environ 2900 hommes et femmes ont
perdu la vie au service de la paix au fil des ans, dont 112 en 2011.




 




·       
Journée
internationale des casques bleus: l'ONUCI célébrée à Duékoué –

Nord-Sud (tendance Forces Nouvelles)




 




 




Police Nationale L'ONUCI équipe les
''RG'' pour 11 millions de FCFA




 




Le Patriote (tendance RDR), 30 mai 2012




 




C'est la récompense du sérieux. Les
services de Police, notamment ceux de la Direction des Renseignements généraux
(DRG) ont reçu hier un lot de matériels de 11 millions de FCFA de la part de
l'ONUCI. Il s'agit entre autres de 11 ordinateurs, 11 onduleurs, 4 imprimantes,
2 photocopieurs et un lot de fournitures de bureau. Le général Brindou M'Bia,
directeur général de la Police, qui réceptionnait ce matériel au nom du ministre
d'Etat Hamed Bakayoko a exprimé toute sa gratitude aux services de l'Opération
des Nations Unies en Côte d'Ivoire. « Merci pour tout ce que vous faites pour
nous, depuis le début, a-t-il indiqué. C'est une véritable bouffée d'oxygène
pour chacun de nos services ». Il a cependant plaidé pour que ces actions ne
limitent pas uniquement à la ville d'Abidjan, car les différentes Préfectures de
Police de l'intérieur du pays sont toutes aussi sinistrées. Le Commissaire
Divisionnaire Awalé, Chef par intérim de la composante Police de l'ONUCI, a
expliqué que cela fait le 15ème service de la Police et de la gendarmerie que
son département équipe. Il a insisté pour dire que l'action d'hier n'était pas
la dernière, car il reste encore un lot de matériels à distribuer. Pour sa part,
le Commissaire Touré, Directeur des Renseignements généraux, a indiqué que c'est
un geste salvateur pour ses services qui devraient ainsi accroitre leur capacité
opérationnelle.




 




·       

Police nationale : l'Onuci équipe la
direction des renseignements généraux -

Fraternité Matin (Gouvernemental)




 




Bas- Sassandra /
DDR
: les medias du s'engagent à mieux informer les populations




 




Le Jour
plus (tendance RHDP), 30 mai 2012




 




La
Division Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR) de l'Opération des
Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) a organisé, vendredi 25 mai 2012 à San
Pedro (348 km au sud ouest d'Abidjan), avec le soutien du Bureau de
l'Information publique, une journée d'échanges sur le medias et le processus
DDR.




Une
trentaine de personnes, pour la plupart des journalistes de la presse écrite, et
des animateurs des radios privées non-commerciales du Bas-Sassandra, ont pris
part à cette initiative, dont l'objectif était, notamment, de contribuer à la
compréhension du DDR pour une amélioration de la situation sécuritaire en Côte
d'Ivoire.




Pour le
chef de la délégation de l'ONUCI, Mouhamadou Gagara Rouafi du Bureau des
Affaires civiles, le désarmement, suivi de la consolidation de la cohésion
sociale, exige une vigilance accrue et un engagement citoyen de la part des
hommes et femmes de medias. «L'ONUCI réitère sa disponibilité à poursuivre son
appui multiforme, dans la limite de son mandat et de ses moyens, pour un retour
définitif et durable de la paix en Côte d'Ivoire», a-t-il dit.




Firmin
Zozoro Yokozo, Secrétaire général de la préfecture de San Pedro, a souligné que
les médias sont des acteurs clés de la vie sociale, économique, politique et
même sécuritaire de la Côte d'Ivoire. A travers leurs articles de presse, images
et émissions, les journalistes forgent les opinions, façonnent les comportements
des citoyens, font connaitre les aspirations des populations aux gouvernants,
a-t-il expliqué. «C'est pourquoi l'ONUCI, qui est consciente de leurs forces
mais aussi de leurs faiblesses et de leurs penchants, n'a eu de cesse
d'organiser à leur attention, des journées d'échanges et autres séminaires de
formation sur des sujets aussi divers, mais dont la qualité du traitement peut
avoir soit d'heureuses conséquences, soit de fâcheuses incidences sur la vie de
la nation», a-t-il souligné.





S'exprimant au nom des participants, Ibrahim Ben Keita, correspondant du 
quotidien «Le Patriote», a indiqué que chacun rejoindra sa base avec beaucoup
d'enseignements sur le processus DDR. Il a demandé à ses confrères d'en faire
bon usage en fournissant des informations fiables aux populations. Il a aussi
plaidé en faveur de la poursuite de cette formation partout en Côte d'Ivoire. 




Cette
journée d'échanges, au cours duquel les participants ont identifié une série
d'actions à entreprendre par les medias en faveur du processus DDR, est la
quatrième du genre que l'ONUCI organise, après celles d'Abidjan, de Bouaké et de
Duekoué.




 




 




Bouaké/DDR : la presse informée sur le processus




 




Le Patriote (tendance RDR), 30 mai 2012




 




La presse locale de la région de Gbèkè a été conviée mercredi
dernier à la base régionale de l'Onuci de Bouaké à une journée d'échanges sur
les médias et le processus de désarmement démobilisation et réinsertion (DDR),
en vue de les impliquer d'avantage dans la sensibilisation pour un environnement
sécurisé et une paix durable en Côte d'Ivoire.




Initiée par le bureau DDR de L'Onuci, cette journée a eu pour
objectif la création d'une plate-forme d'échange et de sensibilisation entre les
journalistes et l'Onuci pour l'amélioration de la qualité de l'information
concernant le DDR. Cela en vue d'aider la presse à diffuser par des messages
adaptés, pour la prise de conscience des ex-combattants et tous les détenteurs
de façon illégale d'armes de guerre à les rendre.




Il s'agit également pour les journalistes d'amener, les
communautés d'accueil à s'approprier le processus en acceptant la réintégration
des ex-combattants dans leur milieu d'origine.




Les journalistes et animateurs des radios en provenance des
différentes localités de la région de Gbèkè ont été formés sur les terminologies
pour une meilleure compréhension du DDR. Rutajoga Vedaste, formateur de la
cellule DDR de l'Onuci, a saisi l'occasion pour expliquer la mission et le
mandat de l'Onuci qui, selon lui, se donne pour mission de soutenir et d'appuyer
le gouvernement ivoirien en étroite coordination avec d'autres partenaires
bilatéraux, d'élaborer et de mettre en œuvre un nouveau programme de DDR avec
des critères clairs et adaptés au nouveau contexte.




Cette séance d'échanges sur le processus de désarmement a
pris fin par la visite du site DDR en réhabilitation dans le quartier de
Belleville de Bouaké.




 




Politique nationale, déclarations enflammées... le Rdr et
le Fpi déterrent la hache de guerre : Carton rouge




 




L'inter (indépendant), 30 mai 2012




 




Ils n'ont de cesse de s'attaquer par rencontres et médias
interposés. Personne ne veut lâcher du lest en faveur de la réconciliation. Les
uns, les partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo, principalement les
dirigeants du FPI, récusent la table du dialogue tant que les leurs détenus dans
les prisons ne seront pas libérés. Les autres, les partisans du président de la
République, Alassane Ouattara, de plus en plus grisés par le pouvoir,
n'entendent faire aucune concession. Accusant les premiers cités d'avoir tué des
milliers de personnes en exigeant de ceux-ci un profile bas pour plaider leur
cas sous le nouveau régime. Au milieu, le peuple pour qui chacun prétend se
battre se ressert encore et toujours les dents. Redoutant encore un regain de
tension. Notamment avec les opérations de rafles inopinées et abusives, qui font
penser à un nouveau péril sur le pays. A quand le bon ton pour que les parties
adverses consentent enfin à redonner la paix aux Ivoiriens ? Carton rouge pour
le FPI et le RDR, ces deux ex-alliés du défunt front républicain devenus des
farouches ennemis sous le même tropique.




 




Le président de la République à son arrivée hier en
Tanzanie : « Nous attendons impatiemment la BAD à Abidjan »




 




Le Patriote (tendance RDR),  30 mai 2012




 




Elle va, sans nul doute, occuper une place de choix dans les
discussions lors des 47 è Assemblées annuelles de la BAD qui se tiennent en
Tanzanie depuis le 28 mai dernier et qui prendront fin le 1er juin prochain. La
question du retour de la Banque tient à cœur le président de la République.
Hier, à son arrivée à l'aéroport international de Kilimanjaro en Tanzanie, le
président Ouattara l'a clairement signifié à la presse. Dans le salon d'honneur,
l'hôte du président Tanzanien Jakaya Kikwete et du président de la BAD, Donald
Kabruka, l'a dit. En des termes très clairs et très précis, il a donné les
raisons de sa présence à ces Assemblées annuelles de l'Institution financière
africaine : «(...) Je suis là pour une visite d'amitié et en même temps, c'est une
opportunité de m'adresser à la Banque africaine de développement pour leur dire
essentiellement que le siège de la Banque est à Abidjan. La crise qui a duré une
décennie dans notre pays a fait en sorte que le siège de la Banque a été
délocalisé à Tunis. Et je voudrais remercier les autorités tunisiennes pour tous
les efforts qui ont été faits pour que la BAD et les agents de la Banque soient
accueillis en Tunisie en bonne hospitalité. Maintenant que la situation de la
Côte d'Ivoire est totalement devenue normale, que ce soit au plan de la
sécurité, au plan de la relation financière internationale, je viens dire aux
gouverneurs de la Banque, ministres des Finances, que nous attendons
impatiemment la BAD à Abidjan et nous souhaitons que cela se fasse dans les
meilleures délais,» a déclaré le chef de l'État qui est arrivé en Tanzanie à 18
H 30. Il a été accueilli, à sa descente d'avion par son «ami le président
Tanzanien» qui l'a d'ailleurs «invité à l'occasion» desdites assises de la
Banque. Plusieurs personnalités ivoiriennes dont le ministre de l'Économie et
des finances, Charles Diby Koffi, l'Ambassadeur de la Côte d'Ivoire en Éthiopie,
étaient de l'accueil. Le séjour du président de la République sera rythmé par
plusieurs audiences. Il aura aujourd'hui un entretien avec son homologue
tanzanien. Puis, aura des séances de travail, selon le programme officiel, avec
l'Administrateur de la Côte d'Ivoire à la BAD, le ministre Amadou Koné et avec
le président de l'Institution, Donald Kaberuka. On peut aisément imaginer que
les échanges porteront sur le retour de la Banque à Abidjan. On en saura
d'avantage sur la question, à l'issue de la réunion du Conseil des gouverneurs,
qui se tiendra demain jeudi. Mais selon des indiscrétions sur place, tout est en
train d'être mis en œuvre dans ce sens. Selon une source proche du dossier, une
réunion technique sur la question, s'est tenue hier à 17 heures au centre de
conférence international qui abrite les travaux. Pour ce qui est du côté
pratique, la réfection de l'Immeuble CCIA en plein cœur du Plateau par les
autorités ivoiriennes pour abriter le futur siège de la BAD est un élément qui
permet d'espérer en un retour de l'Institution dans quelques mois. Mais
auparavant, des informations en notre possession font état de l'arrivée, dans un
futur très proche, de plus d'une centaine d'agents de la BAD dans la capitale
ivoirienne. Ils constitueront une espèce ''d'éléments précurseurs'' en attendant
le retour effectif de toute l'équipe et de la Banque. C'est justement pour
rassurer tout ce beau monde ainsi que l'opinion nationale et internationale du
retour de la Côte d'Ivoire dans le concert des Nations, que le président de la
République pourrait faire, sauf changement de dernière heure, une communication
sur son pays, la Côte d'Ivoire qui a été secouée par une forte crise durant une
longue décennie, mais qui se relève et qui ambitionne de reprendre sa place de
locomotive sous-régionale depuis son accession au pouvoir.




 




Entretien téléphonique entre les présidents français et ivoirien ce mardi



 



Agence
ivoirienne de presse, 30 mai 2012



 



Le président
français, François Hollande, a eu mardi matin un entretien téléphonique avec son
homologue ivoirien, Alassane Ouattara, président en exercice de la Communauté
économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO).



Selon la
présidence de la République française, les échanges ont porté sur la
préoccupation de la France au sujet de la situation au Sahel et en particulier
au Mali.



François
Hollande a réaffirmé le soutien de son pays aux actions de médiation de la
CEDEAO et à ses efforts pour permettre le plein retour de la démocratie au Mali,
garantir son unité et son intégrité territoriales et lutter contre le terrorisme
sous toutes ses formes.



Il a
également évoqué avec le président Ouattara les moyens qui pourraient être mis
en œuvre pour mobiliser les Etats directement concernés par la situation et plus
largement la communauté internationale.



"Celle-ci ne
peut être indifférente à la triple crise que traverse le Mali : politique,
sécuritaire, et humanitaire", a-t-il indiqué, soulignant que la France
continuera à agir avec l'Union africaine, ses partenaires européens et
internationaux pour soutenir l'engagement de la CEDEAO au Mali et au Sahel.



Les deux
présidents sont convenus de se rencontrer dans les meilleurs délais, afin
d'examiner comment approfondir le partenariat franco-ivoirien, a conclu la
source.



Cet entretien
téléphonique entre les deux personnalités constitue le premier du genre depuis
l'arrivée du président François Hollande aux affaires de l'Etat le 15 mai,
note-t-on.



 



La
CEDEAO met en garde les forces politiques qui tentent de faire échouer le
processus de transition au Mali



 



Agence
ivoirienne de presse
, 29 mai 2012



 



La Communauté
économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO) met en garde les forces
politiques qui tentent de faire échouer le processus de transition en cours au
Mali et ce, au moment même où l'intégrité territoriale du Mali se trouve
gravement menacée.



Dans une
déclaration dont l'AIP a reçu mardi copie, le président de la Commission de la
CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo, demande aux commanditaires de la campagne en
cours de s'abstenir de tels actes ou alors ils seront passibles des sanctions
approuvées par le Conseil de médiation et de sécurité de l'institution
sous-régionale.



Considérant
toute déclaration ou manifestation publique en faveur de la désignation de
nouveaux dirigeants autre que les autorités reconnues de la transition comme une
obstruction flagrante au processus de la transition, le président Kadré
Ouédraogo indique la CEDEAO coopérera étroitement avec l'Union africaine (UA)
pour établir la liste des individus ou groupes contrevenants.



Pour le
président de la Commission, la dernière campagne lancée par ces forces, afin
d'imposer le capitaine Amadou Sanogo, leader du CNRDRE, comme président
intérimaire constitue non seulement "une violation du principe de 'Tolérance
Zéro' de la CEDEAO pour la prise de pouvoir ou la confiscation du pouvoir par
des moyens anticonstitutionnels", mais également "trahit également une volonté
de perturber la feuille de route définie pour le rétablissement de l'ordre
constitutionnel".



Des
manifestations sont régulièrement organisées à Bamako avec la complicité de
certaines forces politiques, pour demander la mise à l'écart du président
intérimaire du Mali, Dioncounda Traoré, victime, le 21 mai, d'une agression qui
a nécessité son séjour en France pour des examens médicaux, souligne-t-on