REVUE DE PRESSE NATIONALE DU MARDI 26 JUIN 2012

26 juin 2012

REVUE DE PRESSE NATIONALE DU MARDI 26 JUIN 2012






Prorogation du
mandat de l'ONU / Une délégation en mission d'exploration à Abidjan ; La
première étape chez Bédié




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
L'intelligent
d'Abidjan




 




Suite à la
requête formulée par le Premier ministre, Jeannot Ahoussou-Kouadio, concernant
la prorogation du mandat de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire
(Onuci), une délégation de l'Onu s'est rendue le lundi 25 juin 2012 à la
résidence du président du PDCI, Henri Konan Bédié située à Cocody. Cette visite,
selon Akinyemi Adegbola, chef de la délégation Onusienne est la première étape
de la mission d'exploration de l'Onu auprès des partis politiques ivoiriens, de
la société civile et des organisations internationales. Elle a pour objectif
d'évaluer la situation socio-politique afin de proroger son mandat et de
préparer la supervision des élections locales prochaines. Il a, par ailleurs,
annoncé qu'il allait rencontrer les jours à venir, les responsables des autres
partis politiques importants du pays. Toutefois, la résolution 2000 du Conseil
de sécurité du 27 juillet 2011 prolonge le mandat de l'Onuci jusqu'au 31 juillet
2012.




Pour rappel,
L`Opération des Nations Unies en Côte d`Ivoire (Onuci) est une opération de
maintien de la paix créée par la résolution 1528 (2004) du Conseil de sécurité
et placée sous le Chapitre VII de la Charte des Nations Unies. Le Chapitre VII,
qui prévoit, entre autres, le recours à la force, est utilisé par le Conseil en
cas de menace contre la paix, de rupture de la paix ou d`actes d`agression.




Le déploiement de
l`Onuci a été décidé par le Conseil de sécurité suite à une demande exprimée par
l'ex-Président ivoirien Laurent Gbagbo, qui souhaitait que la communauté
internationale accompagne la mise en œuvre par le Gouvernement de réconciliation
nationale de l`Accord de paix de Linas-Marcoussis, conclu en janvier 2003 par
les parties ivoiriennes. Le mandat de l`Onuci a été modifié et renforcé par les
résolutions 1572 (2004), 1584 (2005), 1594 (2005), 1600 (2005), 1603 (2005),
1609 (2005), 1633 (2005), 1643 (2005), 1652 (2006), 1657 (2006), 1682 (2006),
1933(2010)...1967(2011), 1975 (2011) et 2000 (2011), du Conseil de sécurité.
L`Onuci, dont le déploiement en Côte d`Ivoire a débuté le 4 avril 2004, s`est
vue confier par le Conseil de sécurité plusieurs missions qui piétinent encore.
Il est donc probable que la requête du Premier ministre ait une suite favorable.




 




 




·       

Élections locales, prorogation du mandat de l'ONUCI, une mission de l'ONU
chez Bédié hier
 
L'inter




 




·       

Élections locales, Youssouf Bakayoko demande le soutien de l'Onuci

Fraternité Matin




 




 




Organisation des
municipales et régionales : Bakayoko s'est entretenu avec des émissaires de
l'Onu




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
Le Mandat




 




« Si les
élections passées ont été reconnues comme ayant répondu aux normes
internationales, c'est grâce à l'appui des Nations unies qui n'ont pas lésiné
sur les moyens logistiques, techniques et financiers .Notre objectif est de
faire de la CEI une marque déposée, une institution qui pourrait exporter son
expertise et son savoir-faire. Pour atteindre cet objectif, toutes les
intelligences seront les bienvenues. Je pense que cette coopération avec l'ONUCI
va nous permettre d'organiser encore une fois de meilleures élections au plan
local ».Voici en substance les propos du président de la Commission Electorale
Indépendante, Youssouf Bakayoko, lors de la rencontre avec des experts
électoraux des Nations Unies, ce vendredi 22 juin. Cette rencontre en plus de
faire le bilan des précédentes échéances électorales, avait pour but de créer un
cadre adéquat pour les transparences des élections à venir. Et pour ce faire,
l'implication de l'Onuci pour atteindre cet objectif s'avère nécessaire, comme
l'a souligné le président de la Cei, qui veut promouvoir le partenariat Onu-Cei
qui a prévalu lors des élections présidentielles et législatives. Et répondant
positivement à cette requête, le chef de la délégation onusienne, le
coordonateur de la Cellule d'appui aux pays à la division de l'assistance
électorale, Akinyemi Adégbola, a exprimé l'engagement de l'institution à
accomplir cette mission, qui a fait suite à une requête formulée par le
gouvernement au secrétaire général des Nations unies. Cette demande souhaitait «
que le mandat de l'ONUCI soit prolongé dans tous ses aspects », a ajouté le
diplomate. Aussi dans le cadre de ces élections locales à venir, le président de
l'institution chargée des élections en Côte d'Ivoire avait reçu, le 8 juin, le
Représentant spécial du secrétaire général, Bert Koenders, qui a annoncé que le
Conseil de sécurité allait se prononcer en juillet sur la question. Soulignons
que pour cette séance de travail, le Président de la CEI avait à ses côtés les
vice-présidents.




 




 




En visite dans la
région de Boukani / Bert Koenders : "Les populations sont dans la misère, le
gouvernement et l'Onuci s'attèleront à y faire face"




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
Le Mandat




 




Récemment en
visite dans la région du Boukani (Bouna), le Représentant spécial du Secrétaire
général de l'Organisation des Nations Unies en Côte d'Ivoire (Onuci), Bert
Koenders, a tenu à faire le point de la situation ce lundi 25 juin dans cette
région qui a connu des mouvements de contestations lors des dernières élections
législatives. Selon M. Koenders, la situation semble s'être améliorée, au regard
des actions mises en place par les différentes ONG nationales et
internationales. Néanmoins, des efforts doivent être consentis dans le domaine
de l'alimentation et de la sécurité de la population, ainsi que dans l'adduction
d'eau. Car, pour ce dernier, « il reste encore des tensions qui imposent qu'il
faut rester vigilant. C'est pour cette raison que j'invite les préfets, les
rois, les ONG à s'investir durablement dans le processus de sortie de crise »,
a-t-il indiqué. Quant aux problèmes relatifs au développement et aux différentes
zones de conflit aux frontières, il a tenu à préciser que « même si le
gouvernement s'investit beaucoup au Nord, cette zone sera bientôt régularisée.
Et, au regard des problèmes d'éducation, semblables à ceux du Niger, du Burkina
Faso et du Ghana, le gouvernement et l'Onuci s'attèleront à y faire face ». De
ce point de vue, Bert Koenders a promis de coordonner toutes les actions des
organisations des Nations Unies pour catalyser leurs applications sur le
terrain. Aussi, il a tenu à rappeler que le développement doit être avant tout
une œuvre nationale qui implique les différentes couches de la population.




 




 




"
Tout le territoire est quadrillé et sécurisé "




 





Publié le mardi 26 juin 2012   |  Fraternité Matin




 




Au
terme d'une tournée dans le sud - ouest, le chef d'état - major général des Frci
affiche sa détermination à mettre le pays à l'abri de quelque attaque que ce
soit.




 




[...]




Vous avez noté la
forte présence de vos hommes dans le sud-ouest et annoncé qu'ils y sont pour de
bon.

Cela ne va-t-il pas porter préjudice aux autres
régions du pays et même à Abidjan ?




Soumaïla Bakayoko
(CEMAG des FRCI)
 :
Pas du tout. Aucune région du pays ne sera abandonnée. Notre mission est
d'assurer la protection de l'ensemble du territoire national. Aujourd'hui, on
parle plus du sud-ouest à cause de l'attaque de Saho. Sinon, que ce soit le
nord, le sud, l'est, l'ouest, tout le territoire est quadrillé et sécurisé. Que
les Ivoiriens soient rassurés. Au sud-ouest, c'est l'effectif du Bataillon de
sécurisation de l'ouest (Bso) qui sera permanent. Il est largement suffisant
pour garantir la sécurité à la frontière avec le Liberia. En tout état de cause,
la place du soldat, c'est le théâtre des opérations, quand cela l'exige, et
c'est le cas du sud-ouest actuellement.




 




Avez-vous les
moyens de votre mission ?




 




Soumaïla Bakayoko
(CEMAG des FRCI)
 :
Les moyens suivent. Beaucoup de choses ont été faites. Par exemple, la question
de la transmission est pratiquement résolue. Mais beaucoup reste à faire, bien
entendu. Nous attendons actuellement davantage de matériel de mobilité. [...]




 




 




Politique //
Crise postélectorale




Soro et 10 chefs
de guerre poursuivis à paris




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
L'inter




 





L'affaire Michel Gbagbo» connaît un rebondissement en France. Depuis

hier
lundi 25 juin, Maître Habiba Touré, Avocate franco-ivoirienne de la famille
Gbagbo et principalement du fils aîné d'origine française de l'ex-président
ivoirien, a déposé une plainte près le Tribunal de Grande Instance (TGI) de
Paris, avec constitution de partie civile, pour «enlèvement, séquestration et
traitements inhumains et dégradants». Faut- il le rappeler, cela fait environ
quinze (15) mois que Michel Gbagbo est détenu à la prison civile de Bouna, au
Nord de la

Côte d'Ivoire, depuis la fin de la crise postélectorale le 11 avril 2011. La
plainte de Me Habiba Touré, déposée devant le Doyen des juges d'instruction,
vise le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Soro Kigbafory Guillaume,
ainsi que dix (10) chefs de guerre. Une source judiciaire proche du Tribunal de
Grande Instance de Paris avec qui nous avons conversé hier par e-mail via
Internet, nous a fourni la liste exhaustive des mis en cause. Il s'agit de
Chérif Ousmane, Issiaka Ouattara dit Wattao, Fofié Kouakou Martin, Touré Hervé
Pélikan dit Vétcho, Morou Ouattara, Ousmane Coulibaly alias Ben Laden, Koné
Gaous- sou dit Jah Gao, Losséni Fofana dit Loss ou Cobra, et de deux chefs de
guerre anonymes que son Zoumana Ouattara et Dramane Traoré. Selon Alain
Toussaint, ancien Conseiller en Communication de Laurent Gbagbo en exil en
France, «Guillaume Soro, qui séjourne actuellement en région parisienne,
précisé- ment à Saint-Prix (95), est sus- ceptible à tout moment d'être entendu
par la justice française». [...]




 




 




CDVR: Le porte
parole du président, Franck Kouassi Sran s`insurge contre les attaques de la
presse




 





Publié le lundi 25 juin 2012   | 
Commission Dialogue,
Vérité et Réconciliation




 




Les commentaires
faits par un des membres du cabinet du Président de la CDVR sur les récents
développements de l`Actualité politique nationale ont occasionné,
malheureusement, une vive polémique dans une partie de la Presse ivoirienne.




Dans leur
tentative de s`insurger contre « un jugement de valeur (SIC) » imputé au jeune
collaborateur du Premier ministre Charles KONAN BANNY, ces articles se sont
plutôt, hélas, transformés en tirs nourris contre le Président de la CDVR !




Tout en déplorant
le ton inutilement outrancier de ce qu`il convient d`appeler une attaque en
règle contre la personne du président de la CDVR, nous voudrions faire les
précisions suivantes :




La Commission
Dialogue, Vérité et Réconciliation a pour mandat exclusif de faire la lumière
sur les événements sociopolitiques nationaux passés et récents... ;




D`identifier et
de donner la parole aux victimes ; D`entendre les auteurs de violations et de
proposer des réparations aux victimes, par le biais d`un rapport qui sera remis
au Chef de l`Etat...




Ainsi que le
Président de la CDVR l`a toujours soutenu, la réconciliation doit se faire à
l`inclusion de tous les Ivoiriens. Elle doit bien entendu être menée dans la
justice et l`équité. « Ni vengeance, ni impunité! », comme le soutient le
Président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation.




C`est pourquoi,
face aux nombreux défis auxquels notre pays doit faire face, nous voudrions en
appeler à la retenue des uns et à la responsabilité des autres pour que tous les
Ivoiriens oeuvrent à ramener la paix et la confiance, condition sine qua non
pour la reconstruction et le développement de la Côte d`Ivoire. [Fait à Abidjan,
le 25 juin 2012. Le Conseiller Spécial, Porte-parole, Chargé de la Communication
du Président.

Franck KOUASSI SRAN]




 




 




Formés depuis
2010 et punis par le régime Ouattara, 1000 policiers réclament leur affectation




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
Notre Voie




 




Plus d'une
semaine après la marche de protestation de plus d'un millier de policiers dans
les rues d'Abidjan, la grogne reste toujours vive au sein de la police
nationale. Cette fois-ci, ce sont 1000 élèves-policiers de la promotion
2010-2012 qui ne sont pas contents du régime Ouattara. Admis au concours direct
de la police nationale en 2010, ils ont subi leur formation d'un an à l'Ecole
nationale de police. Ce qui les énerve, c'est que non seulement ils ne sont pas
affectés, mais pire l'attente de leur hypothétique sortie dure deux ans. Et il
n'est pas sûr, selon des indiscrétions, qu'ils seront tous de la fête à la
prochaine sortie de promotion.




Au sein de cette
école, l'atmosphère est lourde. Selon des sources dignes de foi, cette promotion
ne constitue pas la priorité des autorités policières. Leur priorité, ce sont
plutôt les 300 hommes de Soro Guillaume recrutés en 2011 sans avoir passé le
concours direct de la police nationale. Ce que le régime refuse de dire à ces
1000 policiers en attente, c'est que ces 300 privilégiés du régime vont d'abord
achever leur formation d'un an avant qu'eux les 1000 « qui ont eu tort » d'avoir
été admis sous la présidence de Laurent Gbagbo soient célébrés et affectés en
même temps que les 300 protégés de Guillaume Kigbafori Soro, l'actuel président
de l'Assemblée nationale. Ces 300 chouchous du régime bénéficient même des
largesses de certaines banques qui se permettent de leur accorder des avances
sur rappel. Il n'y a pas que les admis du concours direct à se plaindre. Il y a
également les 3000 admis du concours professionnel de la police nationale. Ceux
qui ont passé, en 2010, le concours professionnel du brevet professionnel
d'aptitude (Bap 1) et le Bap2. Le régime Ouattara a annulé non seulement ce
concours en 2010 mais n'a pas reconnu les admis. Aujourd'hui, tous ces policiers
frustrés crient à l'injustice et réclament leur affectation ou la reconnaissance
de leur admission pour éviter de graves remous au sein de la police nationale.




 




 




Foncier ivoirien
: Bientôt un " guichet unique" pour mettre de l'ordre (Ministre)




 




Publié le lundi
25 juin 2012   | 
AIP




 




Yamoussoukro -
"Un guichet unique" pourrait être, bientôt, créé en Côte d'Ivoire, pour mettre
de l'ordre dans le domaine du foncier rural et urbain, a fait savoir, lundi à
Yamoussoukro, le ministre ivoirien de l'Intérieur, Hamed Bakayoko, évoquant "de
grands conflits de compétences" entre les administrations à ce niveau.




 




"Il y a de grands
conflits de compétence à ce niveau, les maires, les gouverneurs de district, les
préfets sont de nombreux intervenants à ce niveau et donc, il faut prendre des
décisions car, très souvent, leurs décisions se contrarient. Donc il faut leur
proposer un genre de guichet unique, avec toutes les compétences pour délivrer
un document qui va rassurer les investisseurs et les populations sur le
terrain", a déclaré M. Bakayoko, au terme du séminaire gouvernemental centré sur
ce "problème sensible".




 




"Il ya de gros
campements qui ne sont érigés en villages et qui connaissent des difficultés au
plan foncier. Donc il faut à se niveau prendre aussi des décisions", a-t-il
poursuivi, assurant qu'il a "bon espoir" que les recommandations de ce séminaire
vont "permettre de prendre des textes clairs qui vont permettre de mettre de
l'ordre dans le secteur".




 




La problématique
du foncier en Côte Ivoire, est au cœur de nombreux conflits, parfois meurtriers,
ces dernières décennies, notamment à l'ouest du pays, la zone la plus marquée
par cette situation, où crises sur des problèmes de terres sont toujours légion.
Lors d'une visite d'Etat dans cette région, en avril, le président ivoirien,
Alassane Ouattara s'était engagé "trouver une solution définitive et durable à
cette situation".




 




 




Montée en
puissance des discours virulents, l'Union européenne dénonce les dérapages de
certains leaders politiques et des médias




 





Publié le mardi 26 juin 2012   | 
L'intelligent
d'Abidjan




 




 La Délégation de
l'Union européenne s'inquiète de la montée en puissance d'un discours virulent
parmi la classe politique et les médias ivoiriens. Ce genre de propos a par le
passé attisé la haine et les conflits. Ils nuisent aujourd'hui au processus de
dialogue et de réconciliation nationale souhaité par le Président de la
République et les citoyens, qui aspirent à vivre en paix.




La Délégation de
l'Union européenne se joint ainsi à l'appel lancé le 20 juin par le Représentant
Spécial du Secrétaire Général des Nations unies et exhorte les leaders
politiques et les médias ivoiriens à faire face à leur responsabilité et à
modérer leurs propos publics.




 




 




·       

Politique nationale / après l'ONUCI l'UE s'inquiète aussi des dérives
langagières

L'inter




 




 




Conseil national
de la presse Raphaël Lakpé:"Notre mission est d'aider les entreprises de presse
à devenir plus professionnelles"




 





Publié le mardi 26 juin 2012   |  Fraternité Matin




 




Du
Conseil national de la presse, l'on ne retient souvent que l'aspect répressif,
alors qu'il n'est qu'un partenaire des rédactions. Sa mission première est
d'aider les journalistes et les entreprises de presse à devenir plus
professionnels
».

En s'adressant ainsi aux
journalistes de Fraternité Matin à qui il a rendu visite, hier, dans le
cadre de ses rencontres tournantes avec les rédactions, Raphaël Lakpé, président
du Cnp, accompagnée d'une importante délégation de membres de sa structure, a
situé l'objectif de sa

venue : échanger
fraternellement avec les journalistes et briser les barrières idéologiques qui
font du Cnp, une structure uniquement de répression. Pour mieux inscrire ses
propos dans le cadre fraternel de la rencontre, il a d'a- bord évoqué le
souvenir de ses premières classes, en tant que journaliste à Fraternité Matin
(du temps d'Auguste Miremont et de feu Jean- Pierre Ayé), avant de se
prononcer sur les sept grandes missions du Cnp. Ce sont, entre autres, celles de
garantir le pluralisme dans le domaine de la presse ; respecter les


règles relatives à la création des entreprises de presse ;
veiller au respect de l'éthique et de la déontologie. La répression étant citée
en dernier. A ce propos, il ironise : « Si un journaliste se plaît à se
maintenir dans la défiance, alors il verra qu'il y a quelque chose en face

». A l'ensemble des journalistes présents, le Dg de Fraternité Matin,
Venance Konan, a rappelé l'importance des propos énoncés, tout en les invitant à
veiller à ce que la presse ivoirienne retrouve sa dignité.




 




 




Communiqué de la
Haca




 





Publié le mardi 26 juin 2012   |  Fraternité Matin




 




La
Haute autorité de la communication audiovisuelle note que le délai imparti aux
radios de proximité détenues par les personnes physiques en vue de la
régularisation de leur situation juridique conformément à la loi portant régime
juridique de la communication audiovisuelle, n'a pu être respecté par certains
opérateurs. Accédant à la demande de nombreuses radios, la Haute autorité
informe qu'elle leur accorde un délai supplémentaire jusqu'au 31 juillet 2012,
délai de rigueur. Le non respect de cette mesure expose les contrevenants aux
sanctions pré- vues par la loi, dont le retrait définitif de la fréquence
assignée.