REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE DU MERCREDI 12 DECEMBRE 2012

12 déc 2012

REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE DU MERCREDI 12 DECEMBRE 2012







Côte d`Ivoire : 7 à 10 ans requis contre les meurtriers d`un
soldat de l`Onu




 




Xinhuanet

12/12/2012 - Le parquet militaire a requis mardi à Abidjan des peines
allant de 7 à 10 ans de prison pour quatre militaires accusés d'avoir tué un
soldat de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) le 14 mars
2011, au plus fort de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire. "Le parquet
déclare le capitaine Roland Seahé coupable d'arrestation illégale et de
séquestration, de recel de cadavre, de violation de consignes et de complicité
d'attentat à la pudeur consommé avec violence" et en répression requiert "sept
ans de détention militaire".  Le parquet a en outre déclaré "le sous-lieutenant
Emmanuel Krapa coupable d'arrestation illégale et de séquestration, de meurtre,
de recel de cadavre, de complicité d'attentat à la pudeur consommé avec
violence". Il a également déclaré le caporal Tom Serge Toubaté et le soldat de
première classe Alain Mabré "coupables de meurtre et de recel de cadavre".




Contre le
sous-lieutenant Emmanuel Krapa, le caporal Serge Toubaté Tom et le soldat de
première classe Alain Mabré, le parquet a requis 10 ans de détention militaire.




Les quatre
militaires doivent payer chacun une amende de 500 000 francs CFA.  La défense a
invité le tribunal à tenir compte de "l'environnement dans lequel l'acte a été
posé", demandant la relaxe de ses clients.  Le verdict est attendu mercredi.
Dans la nuit du 14 au 15 mars 2011, Idy Mamoudou, gendarme de nationalité
nigérienne, a été interpellé et battu par des miliciens pro-Gbagbo qui ont
ensuite violé sa petite amie qui l'accompagnait.  Les miliciens les ont ensuite
remis aux quatre militaires à un poste de contrôle dans le quartier de Cocody.
Selon l'accusation, le Casque bleu a été ensuite embarqué, seul et en vie, par
les militaires qui ont assuré à l'audience avoir remis le soldat onusien aux
miliciens. Le corps d'Idy Mamoudou n'a jamais été retrouvé.




 




Côte d'Ivoire : Elections couplées, l'opposition hors FPI exige
de Ouattara le respect de la constitution ivoirienne




 




Koaci.com

12/12/2012 - Les partis d'opposition membres du Cadre permanent de dialogue
(CPD) s'opposent à la tenue des élections couplées annoncées le 24 février
prochain par la Commission électorale indépendante (CEI), au motif que le
gouvernement ne respecte pas ses engagements. « Nous constatons que le
gouvernement tourne le dos au dialogue et s'engage une nouvelle fois de façon
unilatérale dans le tripatouillage du code électoral et dans la violation des
principes élémentaires de démocratie. C'est cette attitude désinvolte du
gouvernement qui justifie et autorise la mise en garde, la protestation et la
condamnation que nous formulons ici et aujourd'hui, » lit-on dans un communiqué
produit par les responsables de ces partis politiques d'opposition excepté le
Front populaire ivoirien (FPI).  Il s'agit du RPCI, de Cap-UDD, de Lider, de MNC
Alter et de l'UDCY. Bien que mal représentés sur l'échiquier politique ivoirien,
ces cinq partis dénoncent l'attitude du gouvernement qui fait modifier le code
électoral. «Alors que les dates des élections sont fixées au 24 février 2013, le
gouvernement décide, en décembre 2012, de la modification du code électoral, »
précise le communiqué de presse.  Surpris selon eux, par cette « attitude
cavalière » du gouvernement, les cinq formations politiques la refusent et la
condamne avec fermeté, attirant tout de même l'attention de l'opinion publique
nationale et internationale sur certains points. Notamment, la non légitimité de
la CEI actuelle qui continue de conseiller le gouvernement. C'est pourquoi, ils
exigent du président Ouattara qu'il respecte scrupuleusement la Constitution et
ses propres engagements, qu'il rétablisse l'ordre public en procédant avant
toute chose au désarmement des ex-combattants et à la sécurisation des biens et
de personnes et qu'il sursoit à l'organisation des élections locales jusqu'à ce
que toutes les conditions nécessaires à la tenue de scrutins réguliers,
inclusifs et transparents soient remplies. « Nous demandons à la communauté
internationale, elle dont l'implication dans la résolution de la crise
ivoirienne a été constante, de veiller à l'application et au strict respect de
toutes les normes qui garantissent la démocratie et la sécurité en Côte
d'Ivoire. Invitons les partis politiques de l'opposition et le peuple ivoirien à
se mobiliser pour faire pression sur le pouvoir en place afin qu'il restaure
chaque Ivoirien dans ses libertés et droits fondamentaux et respecte
scrupuleusement les principes démocratiques, » conclu le communiqué.




 




Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara rentre avec une pluie de
milliards




 




Koaci.com 11/12/2012
-

Alassane Ouattara, a regagné Abidjan ce mardi 11 Décembre 2012 à 17h, après une
mission d'une dizaine de jours en France. Il a été accueilli à sa descente
d'avion par le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan, des Présidents
d'Institutions, des membres du Gouvernement et de son Cabinet ainsi que la
hiérarchie militaire. Faisant le point de sa mission, le Chef de l'Etat a
indiqué qu'elle lui aura permis de présider le groupe consultatif sur le
financement du Plan National de Développement 2012 - 2015 estimé à 11.000
milliards de F CFA. Pour lui, cette mission a été fructueuse puisqu'elle a
permis d'obtenir plus de 4300 milliards de F CFA de financements publics contre
2000 milliards attendus. S'agissant du financement privé, le Président de la
République a révélé que le Premier Ministre, Daniel Kablan Duncan a rencontré
plus de 300 entreprises avec des promesses d'investissements qui, de son avis,
vont dépasser les 7.000 milliards de F CFA attendus. Pour le Chef de l'Etat, il
appartient au Gouvernement de s'organiser pour recueillir, dans les meilleurs
délais, ces financements qui doivent permettre d'atteindre les taux de
croissance escomptés et améliorer les conditions de vie des Ivoiriens avec comme
objectif majeur la réduction de moitié du taux de pauvreté d'ici à 2015. En
marge de cette réunion du groupe consultatif, le Président de la République a
révélé s'être entretenu avec le Chef de l'Etat français, M. François Hollande,
avec qui, il a eu des échanges d'une part, sur le renforcement de la coopération
bilatérale entre la Côte d'Ivoire et la France, et d'autre part sur la situation
au Mali où tout doit être mis en oeuvre pour l'adoption d'une résolution
autorisant l'intervention armée dans ce pays. Le Président de la République a
indiqué s'être rendu ensuite à Cannes où il a pris part à une conférence de
l'Institut français des Relations Internationales (IFRI) sur le thème de la
gouvernance mondiale. Après l'aéroport, le Chef de l'Etat s'est rendu au Palais
de la Présidence de la République où il a accordé deux audiences à M. Kadré
Désiré OUEDRAOGO, Président de la Commission de la CEDEAO, et à Mme Hélène
Conway-Mouret, Ministre française déléguée auprès du Ministre d'Etat, Ministre
des Affaires Etrangères, chargée des Français de l'Etranger. A sa sortie
d'audience, le Président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouedraogo,
a indiqué s'être entretenu avec le Chef de l'Etat sur la situation actuelle du
Mali, le séminaire gouvernemental relatif aux Accords de Partenariat Economiques
(APE) et sur les élections au Ghana. S'agissant du Mali, il a souligné la
préoccupation de la CEDEAO sur les évènements qui ont conduit à la démission du
Premier Ministre Cheik MODIBO DIARRA et rappelé que le Président par intérim
Diancounda Traoré demeure la seule Autorité légitime de ce pays.Pour lui, le
Président Diancounda Traoré doit mener les consultations nécessaires et prendre
toutes les mesures utiles pour la formation d'un Gouvernement représentatif et
inclusif à même de permettre la sortie de crise. Pour ce qui est des APE, Kadré
Désiré Ouedraogo a indiqué que la CEDEAO est solidaire de la Côte d'Ivoire et du
Ghana qui ont signé des accords intérimaires avec l'Union Européenne sur les
avantages préférentiels d'accès de leurs produits au marché européen. Cependant,
il a estimé que pour l'intégration de la sous-région, il est essentiel de
parvenir, dans les meilleurs délais, à un APE complet qui engage tous les pays
de l'Afrique de l'Ouest.Sur le Ghana, le Président de la Commission de la CEDEAO
a souligné que les observateurs de l'organisation sous régionale, déployés sur
le terrain, ont estimé, dans une déclaration, que les élections ont été
transparentes et démocratiques. La Ministre française déléguée auprès du
Ministre d'Etat, Ministre des Affaires Etrangères, chargée des Français de
l'Etranger, Hélène Conway-Mouret a, quant à elle, indiqué avoir échangé avec le
Chef de l'Etat sur le renforcement de la coopération bilatérale entre la Côte
d'Ivoire et la France d'une part, et sur la situation actuelle du Mali d'autre
part. Le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan et le Ministre Directeur de
Cabinet du Président de la République, Marcel Amon Tanoh ont assisté à cette
dernière audience.




 




Laurent Gbagbo : l`audience de confirmation des charges à la CPI
doit avoir lieu "le plus vite possible" (juge)




 




AFP 11/12/2012 -

L`audience de confirmation des charges contre l`ancien président ivoirien
Laurent Gbagbo doit avoir lieu "le plus vite possible", a assuré mardi la juge
Silvia Fernandez de Gurmendi, assurant envisager février 2013. "Cela fait un an
que nous avons une procédure qui ne commence pas et c`est absolument impératif
que nous ayons une audience de confirmation des charges le plus vite possible",
a déclaré la juge, ajoutant : "cela serait possible au cours du mois de février
2013". L`audience de confirmation des charges doit permettre aux juges de
déterminer si les éléments de preuve rassemblés par l`accusation sont assez
solides pour la tenue d`un procès. L`accusation a assuré que cette date lui
conviendrait mais la défense de M. Gbagbo, sans pour autant demander une date
ultérieure, a assuré avoir besoin de temps, notamment à cause d`une "différence
de moyens entre l`accusation et la défense".




 




La date doit être
fixée prochainement.




 




Les juges avaient
décidé le 2 novembre que Laurent Gbagbo était "apte" à participer aux procédures
à son encontre, sa santé étant suffisante, mais que certains aménagements, dans
les horaires notamment, devaient être effectués. Premier ex-chef dÉtat remis à
la CPI, Laurent Gbagbo, 67 ans, écroué à La Haye depuis novembre 2011, est
soupçonné par la CPI d`être "co-auteur indirect" de crimes contre l`humanité
commis pendant les violences postélectorales de 2010-2011. Son refus de céder le
pouvoir à son rival élu, l`actuel président Alassane Ouattara, avait plongé le
pays dans une crise qui a fait 3.000 morts. La défense de M. Gbagbo avait
demandé en vain à plusieurs reprises la mise en liberté provisoire de celui-ci,
arguant notamment que "cela lui permettrait de "récupérer physiquement et
moralement". Arrêté le 11 avril à Abidjan, Laurent Gbagbo était détenu à
Korhogo, dans le nord de la Côte d`Ivoire, jusqu`à son transfèrement à La Haye,
le 30 novembre 2011. La défense a affirmé à plusieurs reprises que M. Gbagbo
avait été "torturé" lors de sa détention en Côte d`Ivoire.




 



ICC
judge presses for Gbagbo hearing 'without delay'



 




AFP World News

12/12/ 2012  - A hearing to decide if ex-Ivory Coast president Laurent Gbagbo
should go on trial for crimes against humanity, allegedly committed in the west
African country, should be held without further delay, an International Criminal
Court judge said Tuesday. "It's been a year that we have had a procedure that's
not started yet. It's imperative that we have a confirmation of charges hearing
as soon as possible," judge Sylvia Fernandez de Gurmendi said.  She then mooted
a date in February next year as a possibility. The former Ivorian strongman, who
made his initial appearance before the Hague-based court on December 5 last
year, has to face a confirmation of charges hearing at which judges will decide
whether or not to put him on trial, based on prosecution evidence.  Gbagbo faces
four counts of crimes against humanity -- murder, persecution, rape and other
sexual violence, and other inhumane acts stemming from violence after he lost
presidential polls in Ivory Coast in November 2010.  But his confirmation of
charges hearing has been delayed several times, including by applications by his
lawyers to appoint doctors to determine whether he was fit to stand trial and to
have him released pending a possible appearance in the dock.  The ICC in June
appointed three doctors to assess Gbagbo's health, at the request of his lawyers
who said he was tortured during his detention last year by forces loyal to rival
and current Ivorian President Alassane Ouattara. The court however ruled on
November 2 that he was well enough to be tried but that his health condition may
require special measures. Earlier in the year it rejected the defence's request
for a provisional release, saying Gbagbo posed too much of a flight risk. The
former long-time president, who first came to power in October 2000, refused to
acknowledge an election loss to Ouattara, a decision that plunged the world's
largest cocoa grower into its second armed conflict in a decade. Holed up in the
commercial capital Abidjan, Gbagbo was eventually ousted in April 2011,
following two weeks of fierce street fighting that is estimated to have cost
3,000 lives in the west African country.  He was then moved to Korhogo in the
north of the country, until he was transferred to ICC custody seven months later
on the strength of an international arrest warrant.



 




Mali : La Cédéao condamne les "agissements" des militaires




 




AFP

11/12/2012 - La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a
condamné mardi les "agissements" des militaires au Mali après la démission
forcée du Premier ministre Cheick Modibo Diarra, et réclamé la mise en place
d`un gouvernement "représentatif" et "inclusif". "La Cédéao a appris avec
beaucoup de préoccupation les événements qui ont conduit à la démission du
Premier ministre Cheick Modibo Diarra", a déclaré à Abidjan le président de la
commission de cette organisation, Désiré Kadré Ouédraogo. "La Cédéao condamne
tout agissement, en particulier celui de militaires, contre toute personnalité
de la transition" au Mali, a-t-il ajouté après un entretien avec le chef de
l`Etat ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la Cédéao. Cheick
Modibo Diarra a annoncé à l`aube sa démission et celle de son gouvernement après
avoir été arrêté par une vingtaine de militaires, dans la nuit, sur ordre du
capitaine Amadou Haya Sanogo, chef de l`ex-junte qui avait renversé le président
Amadou Toumani Touré en mars. L`ex-chef du gouvernement est en résidence
surveillée à son domicile à Bamako, selon sa famille.




"Nous tenons ceux
qui entraveraient ses mouvements pour responsables de sa sécurité", a déclaré à
l`AFP le président de la commission de la Cédéao. "Toute autorité découle du
président (malien) par intérim Dioncounda Traoré", "seule autorité légitime
reconnue comme telle par la Cédéao, par l`Union africaine et par toute la
communauté internationale", a insisté M. Ouédraogo. La Cédéao "réaffirme son
soutien au président par intérim et l`exhorte à prendre d`urgence les mesures
nécessaires pour la mise en place d`un gouvernement représentatif, inclusif",
a-t-il poursuivi. Ce gouvernement devra "poursuivre l`oeuvre de sortie de crise
et rassembler les Maliens autour de l`essentiel: la restauration de l`intégrité
territoriale et de l`unité du pays, le démantèlement des réseaux terroristes qui
occupent le Nord et l`organisation d`élections transparentes, justes et
inclusives à la fin de la période de transition", a-t-il conclu.




 




Mali : Django
Sissoko remplace Cheick Modibo Diarra à la primature




 




Koaci.com

11/12/2012 - Comme annoncé la nomination du nouveau premier ministre n'aura pas
tardé. En effet, Koaci.com apprend que Django Sissoko vient d'être nommé premier
ministre du Mali et remplace ainsi Cheic
k
Modibo Diarra limogé par l'ex
junte
le matin (voir article de koaci.com). L'annonce a été faite ce mardi soir à
travers la lecture en direct du décret de nomination sur les antennes de l'Ortm.
Le nouveau premier ministre qui jusque là officiait au poste de médiateur de la
République, doit désormais composer son gouvernement qui devrait être connu
d'ici à la fin de la semaine.




 




Mali : Après l'arrestation de Cheick Modibo, le siège de campagne
de Dioncounda saccagé




 




Koaci.com

– 12/12/2012 - Des hommes en armes encagoulés ont saccagé le siège de campagne
de l'ADEMA-PASJ dans la nuit du lundi au mardi 11 décembre, après l'arrestation
et la démission du Premier ministre Cheick Modibo Diarra. Ce mardi matin les
passagers de la rue du siège de Campagne de l'ADEMA-PASJ, derrière la
bibliothèque nationale à Hamdallaye ACI 2000, n'avaient besoin d'aucun effort
pour voir les débris de vitre éparpillés. A la devanture et tout autour de ce
bâtiment qui a servi de siège de campagne à l'ADEMA-PASJ, le parti du Président
de la République par intérim, Dioncounda Traoré, le spectacle était désolant,
après le passage aux environs de minuit d'hommes encagoulés qui ont saccagé le
siège laissant par endroits des amas de vitres cassées. Jusque là on n'a pu
dire, qui sont les auteurs, mais pour certains des soupçons planent sur certains
jeunes partisans du Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, qui démissionnera
par la suite dans la matinée.  Selon des témoins, les assaillants encagoulés et
armés jusqu'aux dents n'ont laissé aucune vitre des portes, des fenêtres et des
flancs du bâtiment. Les gardiens du siège de campagne du parti de l'abeille
n'ont eu la vie sauve qu'en prenant leurs jambes au cou, après avoir eu à
escalader les murs de l'enceinte. Les assaillants ont brûlé en posant des
barricades dans la rue, pour empêcher l'accès au bâtiment, tenté de défoncer la
porte d'entrée, avant de s'attaquer aux climatiseurs et aux ampoules pour
plonger la rue dans l'obscurité, raconte un gardien du siège. Le gardien de la
bibliothèque nationale passe un coup de fil à la police et à la protection
civile. Les bruits de sirène des soldats du feu ont persuadé les malfaiteurs à
prendre la poudre d'escampette. Le constat des dégâts a été établi par les
policiers du 14è arrondissement de Bamako. Les responsables du parti de
l'abeille indignés demandent des poursuites à l'encontre des bandits. Mais les
actes répréhensibles s'arrêteront-ils là ? En tout cas le Mali a un nouveau
Premier ministre Diango Cissoko, et l'ancien Premier ministre Cheick Modibo
Diarra est libre de tous ses mouvements depuis cette nomination.