REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 4 JUILLET 2008

4 juil 2008

REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 4 JUILLET 2008

Sortie de crise : Choi annonce 1000 projets pour les FN
Fraternité Matin –
« Le représentant spécial du secrétaire général de l'Onu a été reçu en audience, à Bouaké, par le Premier ministre. Au sortir de l'audience que le Premier ministre Soro Guillaume lui a accordée, hier, au secrétariat général des Forces nouvelles, à Bouaké, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies, Y. J. Choi, a déclaré qu'ils ont passé en revue la situation politique et sécuritaire du pays. En ce sens que l'importante question des élections et le financement du processus électoral étaient en bonne place lors des discussions. Ainsi que d'ailleurs le problème sécuritaire à Séguéla et Vavoua. Pour le Premier ministre, le mois de juillet devrait en principe être marqué par le démarrage du recensement électoral devant aboutir à la production de la liste provisoire le 30 août prochain. A cet effet, M. Soro Guillaume et son hôte ont exprimé l'urgente nécessité de faire en sorte que le processus démarre à temps, c'est-à-dire comme promis aux Ivoiriens. Pour sa part, le Représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU a indiqué que le financement lié au processus électoral est presque bouclé au profit de la CEI (Commission électorale indépendante). Au niveau de la sécurité sur l'ensemble du territoire, M. Choi a annoncé la mise en place de 1.000 micro-projets à impact rapide pour aider les ex-combattants démobilisés des Forces nouvelles. Il a aussi souligné que d'autres projets de la même nature sont en cours afin de permettre à la Côte d'Ivoire d'avancer dans la sérénité. Au plan sécuritaire, le chef du gouvernement a précisé qu'il n'y a pas de péril en la demeure parce que la situation est rentrée dans l'ordre. Mieux, il a fait remarquer que le général Soumaïla Bakayoko, chef d'état-major des Forces armées des Forces nouvelles avec qui il était en contact, avant de recevoir M. Choi, l'a assuré que les ex-combattants démobilisés des FN qui étaient au camp du génie de Séguéla ont accepté de participer au processus de regroupement qui débouchera sur le désarmement. Quant à Vavoua, il a noté qu'il n'y a aucun problème majeur. Dans la mesure où les ex-combattants démobilisés des Forces nouvelles de cette zone ont présenté des excuses à leur hiérarchie pour leur comportement inacceptable. La situation est donc redevenue normale dans cette partie de la Côte d'Ivoire. »

Young Jin Choi « Nous avons discuté avec satisfaction »
Le Nouveau réveil –
« Après un huis clos de 3 heures avec Soro Guillaume à Bouaké, le représentant du Secrétaire de l'ONU en Côte d' Ivoire, Y J Choi.a fait le point à la presse. « Nous avons discuté de trois points. Par rapports au financement des élections, il ya deux points. Le volet de la Sagem et celui de la CEI. Nous avons discuté avec satisfaction comment nous pouvons boucler parce que nous y sommes presque. Deuxièmement, la réinsertion des ex-combattants et les miliciens. En attendant le dispositif de l'Etat, nous allons lancer, dans une semaine ou 10 jours, l'opération 1000 micro-projets. Cela va attaquer directement la question de la réinsertion en promettant le déboursement d'un fonds pour chaque micro-projet. Si cela réussit, on peut apporter d'autres milles mille micro-projets. Cela va être un impact à la sécurisation à long terme. Troisième sujet, c'est la question de sécurisation immédiate de Vavoua et Séguéla. C'est une question très délicate. Le principe qu'on doit garder, c'est la discipline et sans violence pour aborder le processus de paix avec espoir et détermination. »

Guillaume Soro : « Il n'y a pas le feu à Séguéla »
Site d'information des Forces Nouvelles fnci.info –
« Le Premier Ministre Guillaume Soro a reçu en audience à huis clos, ce jeudi 3 juillet, au secrétariat Général des Forces Nouvelles à Bouaké (centre), le représentant du Secrétaire Général de l'Onu en Côte d'Ivoire, M. Young Jin Choï. A la fin de cette rencontre de plus d'une heure, les deux autorités se sont adressées à la presse.
Le Premier Ministre Guillaume Soro
« J'ai reçu le représentant spécial du Secrétaire Général de l'Onu, M. Choi qui est venu nous visiter à Bouaké.Comme on pouvait s'y attendre, nous avons fait le point de la situation politique et sécuritaire du pays. Nous avons abordé l'importante question des élections. Vous savez très bien que ce mois de juillet doit marquer le démarrage du processus de recensement électoral qui devrait aboutir à la liste provisoire le 30 Août. Le représentant spécial et moi-même, avons fait le point et nous avons exprimé l'urgente nécessité de faire en sorte que ce processus démarre à temps comme promis aux ivoiriens. La deuxième question que nous avons évoquée est bien entendu, le financement lié au processus électoral. Le représentant spécial nous a fait état des initiatives prises pour que dans tous les cas, ce financement soit bouclé au profit de la commission électorale indépendante. Enfin, nous avons abordé donc la question de la sécurité sur l'ensemble du territoire. Là aussi, j'ai été très heureux que le représentant spécial, m'ait annoncé qu'il y a des microprojets au nombre de mille (1.000) à impact direct qui vont être mis en place pour aider les éléments démobilisés et aider partant de cet fait, le processus de sécurisation de l'ensemble du territoire. Il m'a aussi dit que d'autres projets, d'autres initiatives sont en cours pour permettre 3.JPGque nous puissions avancer dans la sérénité. Bien entendu, je lui ai fait le point de la situation à Séguéla ; j'imagine que tout le monde, nous attend sur cette question qui fait aujourd'hui, la une de tous les journaux. Il n'y a pas péril à la demeure, il n'y a pas le feu. On s'effraye beaucoup plus mais le général Bakayoko que j'ai encore eu avant de recevoir M. Choi, m'a assuré du fait que ce matin, les éléments qui étaient au camp génie devaient participer au processus de regroupement qui signifie le désarmement. C'est quelque chose qui devait se faire assez rapidement, les choses rentrent tranquillement dans l'ordre. En ce qui concerne Vavoua, il m'a aussi assuré qu'il n'y avait aucun problème. Les éléments de Vavoua, ont présenté des excuses, pour les comportements du moins inacceptables, et la situation est revenue à la normale dans cette région. J'ai eu le plaisir de recevoir M. Choi à Bouaké et je lui ai dit de ne pas trop longtemps s'absenter d'Abidjan pour que nous continuions à travailler ensemble pour le retour de la paix dans notre pays ».

AVANT SON DEPART DE LA FORCE LICORNE. Le Gal Bruno Clément-Bollée en toute franchise-« Il faut mettre fin au règne des com-zones » -« La vérité sur le départ de la Force Licorne »
L'inter –
« [...] S'inspirant des événements malheureux de Seguéla et de Vavoua, où récemment des soldats ont bruyamment manifesté, le Gal Bollée a souhaité le démantèlement du dispositif sécuritaire mis en place au nord par les Forces nouvelles. Dans un langage plus limpide, le patron de la Licorne demande qu'on mette rapidement fin au règne des commandants de zone dans les zones CNO (Centre, Nord et Ouest). A l'en croire, les tensions au nord se justifient par la conservation du système sécuritaire qui prévalait en début de crise. « Il faut démonter ce système pour le mettre en adéquation avec la sortie de crise », a-t-il souhaité. Si l'accord de Ouaga a décrispé l'atmosphère socio-politique, son avancée, selon Clément-Bollée, demeure lente et chaotique. « La situation sécuritaire est calme, mais fragile aujourd'hui », apprécie-t-il. Toujours sur les froufrous qui ont plongé la zone de Seguéla et Vavoua dans la psychose, le patron de la Licorne dit avoir reçu une demande des autorités des Fn, au plus fort de la crise, qui voulaient l'intervention de la troupe française pour désarmer les insurgés. Demande que la Licorne, à l'en croire, a rejetée, parce qu'elle estime que l'accord politique de Ouaga est clair sur la question. « Nous sommes là pour superviser et non pour désarmer les ex-combattants. Superviser, c'est témoigner qu'effectivement, il y a eu désarmement », tranche-t-il... Aujourd'hui plus que jamais, la Force Licorne est engagée, selon Clément-Bollée, aux côtés des autres forces en Côte d'Ivoire, pour la sécurisation des élections. Mieux, la Licorne apparaît, dit-il, comme une force de réaction, une sorte de bras séculier de l'Onuci (Organisation des Nations unies en Côte d'Ivoire), dans sa mission de maintien de paix. Ce qui rend improbable son départ, tant que les casques bleus seront encore sur le territoire ivoirien, relève le Gal Clément-Bollée. « L'Onuci a été construite sans Force de réaction. Nous sommes cette force de réaction. Donc le départ de la Licorne dans un mois, ça n'a pas de sens », lâche-t-il, pour mettre fin aux supputations sur le départ ou non de la Licorne de la Côte d'Ivoire. [...] ».

Le général Clément Bollet, Commandant de la Licorne : « Abidjan, Bouaké, Guiglo...peuvent exploser à tout moment »
Le Jour plus –
« Le général Bruno Clément-Bollet quitte la Côte d'Ivoire et l'opération Licorne le 12 juillet prochain. Avant son départ, le commandant de la force française a fait, hier, au camp de Port-Bouët le point de son action durant son mandat. L'homme a aussi prévenu que malgré l'accalmie que connait la situation politique, des zones restent encore fragiles. [...] Il y a des com'zone qui ont encore des troupes. C'est que qu'il faut arriver à démonter...Shérif Ousmane com'zone de la zone 3 de Bouaké qui selon le commandant de la Licorne est très préoccupé par la réinsertion de ses soldats a bénéficié de son aide pour installer des micro-projets...C'est également dans se sens que le représentant spécial du SG de l'ONU, Y J Choi a décidé de trouver des financements pour environ mille micro-projets à hauteur de cinq millions de dollars. [...] ».

Général Clément-Bollée : "Une reprise généralisée de la violence est peu probable"
Fraternité Matin –
« Un retour localisé de la violence est possible mais une reprise généralisée peu probable», a déclaré le commandant de la force Licorne, le général Bruno Clément-Bollée, lors d'une rencontre avec la presse. Le commandant de la force française qui quitte le pays dans quelques jours après un an d'activité sera remplacé par le général de division, Philippe Houbron, est né le 20 août 1953 à Bordeaux, un diplomé de Saint Cyr (classe Maréchal de Turenne- 1973/1975). Le 7ème commandant de Licorne est annoncé à Abidjan le lundi 7 juillet et prendra fonction le 11 juillet, date de la passation de commandement. Les commandants qui se sont succédé à la tête de cette force depuis le déclenchement de la rébellion le 19 septembre 2002 se présentent comme suit, selon le site Internet de l'opération : 1er octobre 2002-30 mai 2003 : général Emmanuel Beth (commandant jusqu'alors la 11e brigade parachutiste à Balma) ; 1er juin 2003-3 juin 2004 : général Pierre Michel Joana (ancien sous-chef d'état-major opérations- logistique (OPS-LOG) de l'état-major de l'armée de terre (EMAT) ; 4 juin 2004- 14 juin 2005 : général de division Henri Poncet ; 14 juin 2005-juin 2006 : général de division Elrick Irastorza (ancien officier de légion qui succède au général de division Henri Poncet comme conseiller militaire au Comité de suivi des Accords de Marcoussis) ; juin 2006-9 juillet 2007 : général de division Antoine Lecerf (ancien officier de Légion et ancien commandant de l'état-major de force n° 4 (Limoges) ; 10 juillet 2007 - juillet 2008 : général de division Bruno Clément-Bollée (Ancien officier de Légion). Au plus fort de la crise, les effectifs de Licorne ont atteint 4.000 hommes aux côtés de 8.000 Casques bleus de l'ONUCI. Mais elle a subi «un ajustement et une réarticulation de son dispositifs» et se situe actuellement à 1800 hommes en raison de l'amélioration de la situation sécuritaire depuis l'Accord politique de Ouagadougou signé le 4 mars 2007. »

Le DG de l'INS révèle : « Avec 19 milliards, on devait faire tout le travail » « C'est la CEI qui décide tout » « Toutes les composantes politiques sont représentés à l'INS » « Il est impossible d'orienter la liste électorale »
L'inter -
« [...] Dix neuf (19) milliards pour boucler toutes les opérations électorales et en un temps record. Tel est le plan établi par l'Institut national des statistiques (INS), mais, malheureusement remis en cause par les hommes politiques englués toujours dans des conflits d'intérêt dans le processus de sortie de crise en Côte d'Ivoire. Face à une délégation de la convention de la société civile ivoirienne (CSCI) venue s'enquérir des activités de sa structure, hier, le directeur général (DG) de l'INS a fait un tour global des initiatives prises par son équipe qui ont achevé d'abasourdir toute l'assistance, journalistes et visiteurs compris. En l'espace d'un semestre, a révélé, le Pr. Mathieu Mêleu, l'INS s'était préparé à effectuer le recensement, les enrôlements et la confection des documents afférents aux élections à venir. Le matériel avait été acquis et le budget arrêté pour l'exécution de ce travail technique devenu une tradition pour l'institut, depuis 1984 où cette tâche lui est dévolue. « Au départ, en 2005, c'était un budget de 16,6 milliards qui avait été arrêté. Avec le temps qui a traîné, l'entreposage, l'entretien du matériel acquis et la surveillance par les forces de l'ordre, il y a eu un peu plus de 2 milliards complémentaires. Mais, avec ces 19,7 milliards, on devait faire tout le travail en 5 ou 6 mois comme prévu ». Cette prévision, elle n'était possible qu'avec le mécanisme d'exécution de la tâche, adopté par les techniciens de l'INS. Malheureusement, la crédibilité du Pr. Mathieu Mêleu et ses collaborateurs ayant été remise en cause par certains acteurs politiques, il a fallu recourir à une expertise extérieure avec la société SAGEM coopté pour la même mission, conformément à l'accord politique de Ouagadougou. Lequel accord a, tout de même, réaffirmé le positionnement de l'INS. Selon la convention signée avec les autorités ivoiriennes, c'est la bagatelle de 66 milliards et 9 autres milliards de ressources additionnelles que l'Etat de Côte d'Ivoire doit décaisser au total à ce nouvel opérateur pour le même travail à effectuer. Pourtant, ce ne sont pas les arguments qui manquent à l'institut ivoirien pour rassurer les plus dubitatifs des Ivoiriens à se convaincre de la fiabilité de ses travaux. »

A ce sujet le quotidien Fraternité Matin écrit : Meleu Mathieu à propos du 30 novembre: "L'Ins ne peut s'engager seul" « Le directeur général, comme message essentiel, a fait comprendre à ses hôtes et aux journalistes que son institut qui a accompagné le ministère de l'Intérieur, la Cosur, la CNE et la CEI, ne peut aujourd'hui dans sa collaboration avec Sagem pour exécuter un mode opératoire, qui n'a pas encore connu un début de réalisation, s'engager tout seul sur le respect de la date du 30 novembre. [...] ».

Présidentielle 2008 : Le Pdci s'oppose à tout nouveau report
Fraternité Matin –
« L'actualité tant nationale qu'internationale était au centre d'une réunion du Conseil des élus du Pdci-Rda jeudi dernier à l'Institut national de la santé publique d'Adjamé. A cette occasion, le président de cette structure, le député Gaston Ouassenan Koné, a fait un large tour d'horizon de la situation politique en Côte d'Ivoire avant d'appeler tous ses militants à « s'opposer fermement à tout nouveau report » de la date de l'élection présidentielle prévue le 30 novembre 2008. Selon lui, malgré les avancées dues à l'accord politique de Ouagadougou, « la réalité qui s'impose à nous aujourd'hui est que les signataires de cet accord n'ont pas les moyens de leur politique. » D'où de nombreux obstacles restent à surmonter pour arriver aux élections. Il s'agit notamment du désarmement des ex-combattants, du démantèlement des milices, de la réunification effective du pays, du financement du processus électoral, de la sécurité des personnes et des biens, etc. S'ajoutent à ces difficultés, les détournements de fonds dans la filière café-cacao pour lesquels le président du Conseil des élus Pdci espère que les arrestations en cours ne se termineront pas en une farce de plus comme pour les déchets toxiques... La situation au Zimbabwe a aussi préoccupé les élus du Pdci. Ils ont dénoncé l'attitude de la communauté internationale et surtout celle des dirigeants africains qui ont légitimé la réélection de Robert Mugabe. Et pourtant, ce scrutin s'est déroulé dans des conditions peu démocratiques, selon eux. En effet, le Pdci redoute qu'à travers le slogan « On gagne ou on gagne » le camp de Laurent Gbagbo n'use de manœuvres dilatoires pour s'accrocher au pouvoir comme l'a fait son homologue du Zimbabwe. [...] »

Monnet Léon Emmanuel (Mines et Energie) flambée des cours du baril du Brut -"La hausse n'excédera pas 280 FCFA par litre"
Le Temps –
« Le ministre des Mines et de l`Energie face, à la presse hier, a annoncé que les ajustements sont en train d`être faits pour atténuer la prochaine hausse du prix du litre du carburant à la pompe...Car les réserves qui ont été faites depuis 2005, ont fondu face, à la hausse vertigineuse des cours du brut. Les simulations faites et après les différentes tractations avec les syndicats des transports et chauffeurs, la hausse ne dépassera pas les 280 FCFA par litre. Par ailleurs, Les négociations se poursuivent entre le gouvernement et les acteurs du monde des transports, pour obtenir une hausse qui tienne compte des déficits de la SIR et de la situation sociale du pays. Dès le retour du Président Gbagbo et du Premier ministre, les nouveaux prix à la pompe seront annoncés officiellement" ».

Lutte contre la famine et la pauvreté - La FAO aux Côtés de la mairie de Treichville
Le Temps -
« Comment atteindre l'autosuffisance alimentaire, dans un contexte de pénurie de terre cultivable ? Telle est l'équation que veut résoudre, le premier magistrat de la commune de Treichville, François Albert Amichia, avec l'appui de l'Organisation des Nations unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO). Par le lancement du projet sur la culture de l'hydroponique (ou la culture hors-sol). Une culture qui peut se faire chez soi, sur une terrasse, sur son toit dans le garage et bien d'autres surfaces de la cour. Il suffit d'avoir un support tel qu'un sac, des filtres de coco pour faire pousser, des plantes consommables. Cette technique de culture, introduite en Europe depuis les années 1960, a été saluée recensement au Venezuela et en Inde, où elle a été d'un apport considérable dans la réduction de la famine dans ces contrées. C'est pourquoi, après avoir ordonné une étude de faisabilité, effectuée par les services techniques de la municipalité de Treichville en partenariat avec les agents du CNRA et de l'ANADER. [...] ».

Ce quotidien annonce dans un autre article : « Préparation de la souveraineté alimentaire - Bouaké, centre pilote du projet - Le Forum national de la jeunesse sur la souveraineté alimentaire organisé pendant 2 jours, par le Cojep au CAFOP de Gagnoa, a pris fin mercredi (soir) dernier. "Occupons-nous du social et du quotidien. La Côte d'Ivoire est confrontée à une crise alimentaire. Le rôle de la jeunesse, c'est de se mettre au travail pour la sortir de là. Le temps de la politique pure arrive". C'est en ces termes que Charles Blé Goudé, président du Congrès panafricain des jeunes et des patriotes (COJEP) a engagé ses camarades sur le chemin de la souveraineté alimentaire. »