REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 11 JANVIER 2013

11 jan 2013

REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 11 JANVIER 2013








Droits de l'homme : Koenders salue'' des avancées ''





 





Fraternité Matin, Nord-Sud –


Le Représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU en
Côte d'Ivoire, Albert Koenders, a salué jeudi 10 janvier, « beaucoup
d'avancées » dans la situation des droits de l'homme dans le pays. Selon
lui, cette situation a beaucoup évolué. «J'ai vu beaucoup d'avancées»,
a déclaré à la presse, Albert Koenders. C'était, hier, au terme de
l'audience que le Premier ministre, ministre de l'Economie et des
Finances, Daniel Kablan Duncan lui a accordée. Selon lui, leur entretien
a porté essentiellement sur le nouveau rapport que le secrétaire général
des Nations unies fera sur la Côte d'Ivoire, la semaine prochaine, à
New-York. Il sera question, souligne Albert Koenders, de voir comment
les Nations unies pourront continuer à soutenir la Côte d'Ivoire dans
les domaines de la sécurité et de la décrispation politique.





Auparavant, le chef de l'Onuci a rencontré le ministre
des Droits de l'Homme et des Libertés publiques, Mamadou Gnénéma
Coulibaly, à son cabinet au Plateau, Cité administrative, où il a fait
la même déclaration, à la presse. Il a, ensuite, annoncé que l'Onuci a
des coopérations avec les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (Frci)
sur les droits de l'homme. Albert Koenders a, en outre, réaffirmé la
disponibilité de son institution à accompagner, en 2013, la Côte
d'Ivoire sur le chemin de la normalisation, de la paix et de la
réconciliation, notamment les questions de la réforme de la justice, des
droits de l'homme, du pénitencier et des investigations. Le ministre
Gnénéma Coulibaly, lui, s'est félicité de la mise en place de groupes
thématiques conjoints ministère de la Justice-Onuci, pour aborder les
questions liées à la justice, aux droits de l'homme et autres. «Aujourd'hui,
nous avons beaucoup de sujets convergents
», a-t-il souligné.





 





 





Audience avec le ministre Gnénéma Coulibaly / Bert
Koenders : «L'Onuci est disponible en 2013 pour le gouvernement»





 





Soir Info, Le Jour plus -

En 2013, l'Opération des nations Unies en Côte d'Ivoire (Onuci) entend
continuer d'apporter son soutien au gouvernement ivoirien, notamment le
ministère de la Justice et des droits de l'Homme. Bert Koenders, chef de
la représentation onusienne, l'a signifié au cours de l'audience que lui
a accordée le ministre Gnénéma Mamadou Coulibaly, le jeudi 10 janvier
2013, à son cabinet au 14ème étage de la tour B, au Plateau. « Il est
important que l'Onuci soit disponible en 2013 pour aider le gouvernement
et le ministre des droits de l'Homme sur tous les volets : les réformes
judiciaires, les affectations, le système pénitentiaire ». Car selon
lui, il faut à la Côte d'Ivoire un système pénitentiaire humain, protégé
et bien gardé. A cette rencontre, il s'est agi pour les deux parties de
réfléchir à la mise en place des groupes thématiques pour aborder toutes
ces questions de justice et de droits de l'Homme, a fait savoir le
ministre Gnénéma Coulibaly. Quant à la situation actuelle des droits de
l'Homme en Côte d'Ivoire, Bert Koenders a déclaré qu'il a vu « beaucoup
d'avancées ». De façon technique, il aide le gouvernement à la
reconstruction de beaucoup de valeurs. Il a cité en exemple la
coopération de son institution avec les Forces républicaines de Côte
d'Ivoire (Frci) sur la tenue des droits de l'Homme qui, a-t-il dit, est
le plus important.





 





 





Affaire Rapport secret sur le drame du Plateau : l'ONUCI
s'explique. Droit de réponse.





 





Le Quotidien d'Abidjan -




 





NATIONS UNIES





Opération des Nations Unies





en Côte d'Ivoire





 





Abidjan, le 09 janvier 2013





Monsieur le Directeur de Publication,





 





Objet : Droit de réponse : «
Drame du feu d'artifice au Plateau – Un rapport de l'ONUCI contredit le
pouvoir» : Démenti formel de l'Opération de Nations Unies en Côte
d'Ivoire





 





L'Opération de Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI)
dément formellement les informations diffusées en Une et en page trois
de votre journal, Le Quotidien, du mercredi 09 janvier 2013, (numéro
800), relatives aux « indices nouveaux révélés par un rapport de
l'ONUCI » suite au drame survenu au Plateau dans la nuit du 31 décembre
2012.





 





L'ONUCI note avec indignation la fabrication purement
mensongère qui figurait en Une du journal avec comme titre: «Drame au
plateau – un rapport secret de l'ONUCI dévoile le mensonge du régime »,
ainsi que l'article y relatif, signé par Serge A. Badet, en page
trois de votre quotidien, qui titre « Drame du feu d'artifice au
Plateau – Un rapport de l'ONUCI contredit le pouvoir »
.





 





L'ONUCI dénonce avec vigueur cet acte qui va l'encontre
de l'éthique et de la déontologie du métier de journaliste.





 





L'Opération de Nations Unies en Côte d'Ivoire informe les
lecteurs qu'elle déplore l'usage de telles pratiques à des fins
politiques et d'instrumentalisation de l'opinion publique et exige
conformément à la Loi sur la Presse, la publication de ce droit de
réponse à la  même place et dans les mêmes caractères que l'article qui
l'a provoqué et sans aucune intercalation.
                                                                          
                          Sylvie van den Wildenberg





Chargée du Bureau de   l'Information publique





et Porte-parole de l'ONUCI





M. Allan Aliali





Directeur de Publication,





Le Quotidien:





Riviera Attoban, 15 BP 836 Abidjan 15





 





 





Hamed Bakayoko reçoit Koenders





 





Le Quotidien d'Abidjan -

Le Représentant spécial du secrétaire général des nations Unies pour la
Côte d'Ivoire, Bert Koenders, a rencontré, le mercredi 9 janvier 2013,
le Ministre d'Etat, Ministre de l'Intérieur, Ahmed Bakayoko, dans le
cadre de ses visites de travail avec les autorités ivoiriennes, pour
faire le point de l'appui des nations Unies dans les domaines de la
sécurité et de la formation des policiers. Au terme de la rencontre, qui
était la première de l'année 2013, le Chef de l'Opération des nations
Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), a indiqué avoir réitéré ses condoléances
au Ministre Bakayoko suite à la tragique bousculade de la nuit du 31
décembre au 1er janvier. "J'ai également réitéré au Ministre le plein
appui de la Mission à son Ministère et à la réforme de la police
nationale
", a dit le Représentant spécial, qui, en évoquant le
programme d'appui de la police des nations Unies (Unpol) à la police et
gendarmerie ivoiriennes, a indiqué que "l'ONUCI a récemment triplé le
nombre de ses policiers chargés d'appuyer la formation et la réforme de
la police ivoirienne
".





La sécurisation des prochaines élections partielles,
municipales et régionales ont été aussi au centre des discussions. Le
responsable de l'ONUCI a souhaité que  ces élections soient libres,
transparentes et les plus inclusives possible. (...) Hier était la date
butoir pour le dépôt des candidatures à la Commission électorale. Mais
la structure n'avait enregistré que 49 candidatures aux municipales et
aucune aux régionales. Aucune formation RHDP n'avait déposé de
candidature. La CEI a alors écrit au gouvernement chargé de prendre la
décision appropriée.





 





 





Fin du dépôt des dossiers : Seulement 49 candidatures
enregistrées





 





Soir Info, Fraternité Matin, Le Patriote, Le Jour plus,
L'Intelligent d'Abidjan, LE Mandat -


Conformément aux dispositions légales en vigueur, et
comme annoncé précédemment, la réception des dossiers de candidature aux
élections locales 2013 (Conseillers Régionaux et Conseillers Municipaux)
a pris fin ce jour, 10 janvier 2013, à 17 heures. La Commission
Electorale Indépendante (CEI) a enregistré 49 (quarante neuf)
candidatures à cette date limite de dépôt des candidatures, dont 0
(zéro) candidature pour l'élection des Conseillers Régionaux (31
Régions) et 49 (quarante neuf) pour l'élection des Conseillers
Municipaux (197 Communes). Eu égard au fait que la CEI n'a reçu aucune
candidature pour la plupart des Circonscriptions électorales, elle a
engagé des pourparlers avec le Gouvernement pour arrêter les mesures qui
s'imposent, notamment une nouvelle date tant pour la tenue de ces
élections couplées que pour la clôture des dépôts de candidatures. A
l'issue de ces pourparlers, les décisions qui auront été prises seront
portées à la connaissance de la population et des candidats.

Fait à Abidjan, le 10 janvier 2013 Le Président de la
CEI Youssouf BAKAYOKO





 





 





Municipales et Régionales : Les élections reportées en
mars





 





Le Nouveau Réveil -


c'est hier à minuit qu'était clos le dépôt des
candidatures à la Commission électorale indépendante (Cei) pour les
élections municipales et régionales couplées du 24 février prochain. Et
le Gouvernement, en conseil des ministres, l'avait rappelé encore le 04
janvier dernier en ces termes : «Au titre du ministère d'Etat,
ministère de l'Intérieur et de la sécurité, sur présentation du
ministre, le Conseil a adopté un décret portant convocation des collèges
électoraux pour l'élection des conseillers régionaux et des conseillers
municipaux. Les collèges électoraux sont convoqués le dimanche 24
février 2013. Le scrutin est ouvert à sept (7) heures et clos à dix-sept
(17) heures. Un décret fixant la durée de la campagne électorale pour
l'élection des conseillers régionaux et des conseillers municipaux. Pour
cette élection, sur proposition de la Commission électorale
indépendante, la durée de la campagne électorale est fixée à 15 jours,
soit du vendredi 08 février 2013 à zéro heure zéro minute au vendredi 22
février 2013 à zéro heure zéro minute.
» en l'absence d'une autre
décision prise en conseil de ministre, on était en droit de penser que
depuis hier, à minuit, tous ceux qui n'ont pas déposé leurs dossiers
sont forclos. Et c'est bien là que se trouve le problème. Dans un
communiqué pondu hier à la fermeture des bureaux, la Cei n'a enregistré
que 49 (quarante-neuf) candidatures à cette date limite de dépôt des
candidatures, dont 0 (zéro) candidature pour l'élection des conseillers
régionaux (31 régions) et 49 (quarante-neuf) pour l'élection des
conseillers municipaux (197 Communes). Ce qui revient à dire que si l'on
s'en tient au délai du 10 janvier, il n'y aura élections municipales que
dans seulement 49 communes sur les 197 que compte la Côte d'Ivoire. Les
autres communes n'auront pas de maires, encore moins de conseil
municipal. Il n'y aura pas du tout de vote pour les régionales puisqu'il
n'y a aucun candidat à ce scrutin. Au soir du 24 février, l'on n'aura
que 49 maires et 0 président de Conseil régional. Un grand bond en
arrière, en somme. Cette réalité met donc la Cei devant le fait accompli
et dans une situation de fait qui l'amène à formuler auprès du
Gouvernement une demande très diplomatique de report de la date butoir
du dépôt des candidatures. Dans le même communiqué d'hier, la Cei dit: «Eu
égard au fait que la Cei n'a reçu aucune candidature pour la plupart des
Circonscriptions électorales, elle a engagé des pourparlers avec le
Gouvernement pour arrêter les mesures qui s'imposent.
» en d'autres
termes, la Cei est allée voir le Gouvernement qui a décidé de la
première date, s'il ne peut pas repousser le délai. Selon des
informations qui nous sont parvenues, si le Gouvernement et la Cei
s'accordent, il devrait avoir un léger décalage de 2 semaines maximum
afin de permettre à tous les candidats de pouvoir réunir les pièces
exigées au dossier. [...]





 





 





Municipales et régionales / Dépôt des dossiers :
L'ambiance hier, à la Cei





 





Le Démocrate -

Hier jeudi, date butoir du dépôt des candidatures municipales et
régionales, l'ambiance était chaude au siège de la Cei, quand nous
arrivions. Jusqu'à 19H 30, des candidats continuaient encore de déposer
leurs dossiers. Selon les informations recueillies sur place, ni le Rdr,
ni le Pdci, l'Udpci et le Mfa, n'avaient acte de candidature. Et
certains observateurs de faire remarquer : « Ce délai sera repoussé
absolument car la Cei ne peut en aucun cas, se permettre de déclarer
forclos, des grands partis comme ceux-là».





Rhdp coince Issouf Bakayoko





Au moment où nous quittions les lieux les candidats du
Rhdp n'avaient pas encore déposé de dossiers. Même si toutes les
dispositions avaient été prises pour mettre un terme au dépôt des
candidatures, une dérogation spéciale pourrait tomber pour permettre aux
candidats de ces grands partis de rester toujours dans la course. En
tout état de cause, le président de la Cei et ses collaborateurs se
trouvent coincés face à cette situation. Or en la matière, la Commission
électorale n'a pas compétence à proroger le délai; cela relève du
gouvernement.





 





 





Elections législatives : La date du 3 février pour les
partielles confirmée





 





Le Patriote -

Les partielles des élections législatives auront bel et bien lieu le 3
février prochain. L'information a été donnée hier, par la Commission
électorale indépendante dans un communiqué de presse. Dans ce
communiqué, la CEI rappelle que suite à la publication et à la
transmission au Conseil constitutionnel le 2 janvier dernier, de la
liste provisoire des candidatures, elle n'a reçu jusqu'à hier, date
d'expiration de la période du contentieux, aucune décision
d'invalidation d'une candidature de la part du Conseil constitutionnel.
Par conséquent, elle a rendu public les noms des candidats retenus pour
ces partielles. Il est clair qu'avec cette décision, la date des
élections législatives partielles sera maintenue. (...) Aujourd'hui, la
liste définitive des candidats est portée à la connaissance de la
communauté internationale et du grand public. Place est maintenant à la
campagne électorale qui s'ouvre à partir de la dernière semaine du mois
de janvier. Au soir du 3 février donc, Bonon, Facobly, Bangolo, Issia,
Divo sous-préfecture et Koumassi connaitront leur futur député.





 





 





Consultations nationales pour la réconciliation : 23
commissions locales constituées sur 36





 





Le Patriote, Fraternité Matin, L'Inter, L'Intelligent
d'Abidjan, Nord-Sud -

Ce sont pour le moment 23 commissions locales de la Commission Dialogue,
Vérité et réconciliation qui seront opérationnelles pour les
consultations nationales qui débuteront les prochains jours.
L'information a été donné hier par le président de la Commission, le
Premier ministre Charles Konan Banny à son cabinet privé de Cocody. Pour
le président de la CDVR, la création de ces commissions locales répond
au souci de l'institution qu'il dirige de faire une réconciliation
inclusive et participative qui consiste à aller vers les populations en
vue de recueillir leurs témoignages et préoccupations. Le président
Charles Konan Banny a expliqué la constitution de 23 commissions sur 36
attendues par la volonté de la CDVR d'éviter d'être empêtrée dans les
lourdeurs administratives. Pour lui, la constitution de ces 23
commissions locales pour l'heure répond donc à un souci d'efficacité. Il
a toutefois rappelé que dans la constitution de ces commissions, la CDVR
a rencontré tous les acteurs sociaux locaux pour ces commissions soient
les plus représentatives possibles. A ce sujet, les commissions
comprennent une cinquantaine de guides religieux (chrétiens ou
musulmans), 27 chefs traditionnels et 68 femmes. Le président de la CDVR
a justifié leur présence dans ces commissions par le fait que l'œuvre de
réconciliation est une œuvre à la fois mystique et spirituel qui ne peut
se faire sans les femmes créatrices de la vie. La feuille de route de
ces commissions locales est clairement définie à travers dix missions
principales. Il s'agira au cours des consultations nationales, pour ces
commissions de contribuer à la sensibilisation des citoyens et des
communautés locales sur les différentes phases du processus, de proposer
des procédures culturelles spécifiques pour faciliter le dialogue local
en relation avec les organisations spécialisées partenaires, d'organiser
et conduire le dialogue communautaire et intercommunautaire. Ces
commissions locales seront également chargées d'assurer la prise des
dépositions des victimes en relation avec les centres d'écoute, de
constituer, en relation avec le coordinateur régional, des bases de
données locales et régionales sur les préjudices et les victimes, à
partir des dépositions et d'établir et proposer une typologie locale des
crimes et violations des droits de l'Homme. Les commissions
déconcentrées de la CDVR procéderont aussi à une recension régulièrement
actualisée et à pré-estimation des préjudices subis par les victimes.
Enfin, les commissions locales s'attèleront à présélectionner les cas
des violations les plus graves ou les plus symboliques en vue de les
proposer pour inscription au rôle des audiences publiques, à être
l'interface des ONG travaillant au plan local au cours des différentes
phases du processus et à constituer une base de données locales et
régionales devant figurer éventuellement au Mémorial.





 





 





Réconciliation nationale /Soro invite les journalistes
exilés à rentrer au pays





 





L'Inter -

Le président de l'Assemblée nationale, Guillaume Kigbafori Soro, a
invité, hier jeudi 10 janvier 2013 au Parlement au Plateau, les
journalistes exilés à rentrer au pays. C'était à l'occasion d'une
cérémonie de présentation de vœux et des lauréats du prix Ebony au chef
du Parlement. Guillaume Soro qui a exprimé sa fierté de voir des
journalistes se mettre au service de l'excellence, a invité ceux qui
sont encore en exil à rentrer au pays. Il a pour ce faire, mis le
président de l'Union des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), Moussa
Traoré dit MT, qui était accompagné des membres de son bureau, en
mission. «Je vous avais confié une mission, celle de faire revenir
tous les journalistes en exil au pays. Je vous demande de pour- suivre
cette mission. Faites revenir tous les journalistes qui sont exilés
»,
a-t-il demandé, avant d'offrir deux (2) millions de francs CFA aux
lauréats du concours Ebony de l'année 2012. Pour lui, les journalistes
doivent s'inscrire dans le processus de réconciliation nationale pour
aider la Côte d'Ivoire à se relever. «Cette réconciliation est
bénéfique pour la Côte d'Ivoire. Quelquefois, des décisions sont
motivées par vos écrits. Quand la presse aura compris sa force, elle ne
s'amusera pas avec cette force. Il faut valoriser ce travail mais quand
les écrits n'ont pas la valeur qu'on attend, vous ne pouvez pas avoir de
la considération. Respectez vos écrits et apportez une plus-value à ce
que vous écrivez. La tâche semble immense. Je veux aider le ministère de
la Communication et l'UNJCI à aller vers l'excellence. Nous sommes fiers
de vous et disposés à vous accompagner
», a dit M. Soro qui était le
parrain de la 14ème soirée de la Communication, Nuit des Ebony, tenue le
vendredi 7 décembre 2012 au palais des congrès de l'Hôtel Ivoire. [...]





 





 





Tentative d'attaque : Des déstabilisateurs arrêtés





 





Le Patriote -

Manque de pot pour le sieur Blé Martial alias « Bété Plein » et son
acolyte, un certain Laurent. Depuis le 28 décembre dernier, leurs
velléités et tentatives de déstabilisation ont été freinées. « Bété
Plein » a été cueilli avec son complice comme des fruits bien mûrs. En
effet, selon nos sources, ayant reçu un SMS d'un activiste du COJEP,
bien connu dans la ville balnéaire et qui a trouvé refuge à Abidjan, Blé
Martial s'est aussitôt mis au travail afin d'informer ceux qui, comme
lui, partagent encore de sombres idées dont un certain Laurent. Ce SMS
donnait une date précise de l'attaque de San-Pedro et demandait à ses
destinateurs de s'apprêter et de prévenir leurs proches. Détenteur de
cette ''heureuse nouvelle'', Blé Martial s'est mis aussitôt à contacter
les autres qui, par information directe, qui par SMS. Malheureusement
pour le déstabilisateur, un de ses messages a été intercepté. Après un
travail efficace de fourmi et de recherches, les fins limiers des FRCI
ont mis la main sur lui. Quelques jours après être entendus par la
police, lui et son compère ont été déférés à la DST. Nos sources
poursuivent que pour beaucoup qui travaillent dans la filière café-cacao
où il exerçait, ou qui fréquentent un des sous-quartiers de Séwéké, «
Bété Plein » n'est pas un inconnu. L'on raconte que ce militant
indécrottable du FPI avait toujours affiché son aversion pour tous ceux
qui n'étaient pas du même bord politique que lui. Qu'il ne ratait pas
d'occasion pour leur adresser des propos désobligeants. Avec le
changement de pouvoir, ne pouvant plus exposer ses idées au grand jour,
en silence, il était prêt à tout, pour déstabiliser le pouvoir en place.
L'occasion s'est offerte à lui et il l'a saisie. Malheureusement pour
lui, lui qui croyait prendre a été pris. En attendant, il va calmer ses
ardeurs belliqueuses et déstabilisatrices à la DST. Chapeau aux FRCI qui
veillent au grain sur la sécurité de San-Pedro qui demeure dans le
collimateur des va-t-en guerre.





 





 





Racket sur les routes :

20 mois de prison pour un policier





 





Fraternité Matin, L'Inter, Soir Info, Le Nouveau
Courrier, Le Jour plus, L'Expression, Nord-Sud, Le Mandat –

Le président du tribunal, Koffi Kouadio, a rendu hier son verdict
concernant l'affaire du gendarme et des six policiers accusés de racket
de la somme de 3000Fcfa à un corridor à Assouba. Ils ont tous été
reconnus coupables de violation de consignes. Le sergent-chef Hili
Kiéfon Michel a, par ailleurs, été reconnu coupable du délit d'extorsion
de fonds qui lui est reproché. Il a pour cela été condamné à 20 mois
d'emprisonnement ferme et à 100.000Fcfa d'amende. Quant aux autres,
Koffi Kouadio Ignace, Koffi Moussekeba Franck, Dago Houngou Achille,
Damoa Kodja Fulgence, Koffi Koffi Guillaume, Affi Eugène, ils écopent 4
mois de d'emprisonnement ferme. Puisqu'ils étaient en liberté, un mandat
de dépôt leur a été décerné. Ils ont cinq jours pour se pourvoir en
cassation. (...)