REVUE DE PRESSE DU MARDI 21 JUIN 2011

21 juin 2011

REVUE DE PRESSE DU MARDI 21 JUIN 2011







Le
nouveau mandat de l'ONUCI en préparation




Le
Mandat  
-
Le Conseil de sécurité de l'ONU prépare activement le nouveau mandat de la force
onusienne en Côte d'Ivoire. Cette nouvelle résolution définira la nouvelle
mission de l'ONU en Côte d'Ivoire, au moment où, les choses se normalisent deux
mois après la chute de Laurent Gbagbo. Actuellement, la mission s'est inscrite
dans la voie de la réconciliation dans le pays.





 





Hamadoun Touré, Onuci, hier à Grand Bassam :


« l'avenir de la Côte d'Ivoire dépend des Ivoiriens »





Nord-Sud  -

Les assises sur l'engagement
des médias et de la société civile sur le renforcement de la cohésion sociale et
la réconciliation nationale, initiée par l'ONUCI ont débuté hier à Grand-Bassam.
Occasion pour Hamadoun Touré, porte-parole de la mission onusienne, d'inviter
les Ivoiriens à la culture de la réconciliation.





« L'avenir de la Côte d'Ivoire dépendra fortement de la capacité
de gouverner, de se réconcilier les uns avec les autres », c'est ce qui ressort,
hier à Grand-Bassam, des propos du porte-parole de l'ONUCI représentant le SG de
l'ONU à l'ouverture des assises portant sur l'engagement des médias et de la
société civile des régions des Lagunes et du Sud Comoé sur le renforcement de la
cohésion sociale et la réconciliation. Selon le porte-parole de l'ONUCI, en deux
jours, il sera question pour les séminaristes de consacrer leurs énergies et
leurs talents à renforcer la cohésion sociale et à retrouver la réconciliation
nationale de sorte à recoudre le tissu social qui a failli être abîmé pour
toujours en Côte d'Ivoire lors de la crise. De l'avis du porte-parole de
l'ONUCI, la cohésion sociale et la réconciliation sont des besoins pressants,
importants de cette période post-crise. Il était donc essentiel pour l'ONUCI
d'initier cette rencontre avec les faiseurs d'opinion et les leaders d'opinion
pour, selon lui, asseoir une harmonieuse alliance. Dans la mesure où les medias
donnent l'information et la société civile, elle, explique. (...) « La
réconciliation doit être l'habitude que nous devons tous avoir au cours des
prochaines années » (...). 





 





 





Dohiriguekaha / Action sociale : Une école réhabilitée et équipée par l'ONUCI.




Le
Mandat  
-
L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire(ONUCI) a remis aux autorités de
Dohiriguekaha, le 17 juin 2011, les clés de l'école primaire publique de cette
localité du département de Sinématiali, qu'elle a réhabilitée et équipée dans le
cadre des projets à impact rapide.




D'un
cout total de 8 millions 370 mille FCFA, ce don comprend d'une part, la
rénovation entière de six classes, du bureau du directeur ainsi que des latrines
et l'équipement des locaux, de l'autre. Il s'agit notamment de 150 tables-bancs,
7 bureaux et chaises maîtres en plus de 7 placards.




La
responsable de la section de la Protection de l'enfance de l'ONUCI, Josiane
Kodja, a expliqué que l'objectif de cette réalisation est d'améliorer le cadre
de travail des élèves et du personnel  enseignant de l'Ecole Primaire de 
Dohiriguekaha. « Par ce geste l'ONUCI lance également  les bases de la nouvelle
dynamique de développement qui devrait habiter toutes les populations
ivoiriennes appelées à tourner les pages d'un passé douloureux et faire renaitre
l'espoir d'un avenir radieux, construit dans la paix et la fraternité »,
a-t-elle souligné. (...) Le représentant de la directrice régionale de l'éducation
nationale, Ledjomon Tuo, a promis que tout sera mis en œuvre pour répondre aux
attentes des populations et des partenaires. Pour sa part, le préfet du
département de Sinématiali, Namory Doumbia, a réitéré sa reconnaissance à la
mission, avant de s'engager à faire respecter les droits des enfants et œuvrer
pour leur éducation : (...) La remise des clés a ensuite été faite par le chef de
la délégation de l'ONUCI, Alassane Fall, coordonnateur du Secteur Est de l'ONUCI
au préfet du département, en présence des autorités administratives,
traditionnelles, religieuses, des populations, des agences du système des
Nations Unies et des bureaux de l'ONUCI.




 





Réconciliation nationale : L'ONUCI ratisse toujours




Le
Mandat  -

Les
Journées de l'Opération des Nations unies en Cote d'Ivoire (ONUCI), une série
d'activités d'information et de sensibilisation sur la cohésion sociale et la
réconciliation, ont connu un moment fort à M'bahiakro, avec la tenue, vendredi,
d'un forum d'échanges avec la population. L'explication des taches principales
des sections de l'ONUCI et la restitution des travaux en ateliers tenus la
veille par les chefs traditionnels, les femmes, les jeunes et les hommes des
médias de la région, pour discuter de leur engagement pour la réconciliation
nationale constituaient les points saillants de cette rencontre. Les jeunes de
M'bahiakro ont exprimé leur engagement à respecter les lois, les droits et
devoirs de tout citoyen afin d'éviter tout conflit pouvant tirer sa source dans
le non respect des lois établies. Ils ont également souligné leur volonté de
jouer un rôle actif dans la sauvegarde de la cohésion sociale en initiant des
actions individuelles et collectives. Les femmes, pour leur part, ont recommandé
une meilleure implication de la gente féminine dans les prises de décisions. Les
journalistes de la région du N'zi Comoé se sont engagés à respecter les
principes et règles de la déontologie et de l'éthique. Et les chefs
traditionnels, communautaires et religieux ont mis en exergue leur rôle et
souhaité une assistance de l'ONUCI, notamment sous forme des séminaires de
formation. [...]





 





Jean
Claude Kouassi (Conseiller Spécial du Premier Ministre) propose que les FRCI
soient recrutés comme casques bleus






Aujourd'hui  

Les éléments indésirables des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI),
futurs casques bleus de l'ONU à travers le monde. Voici ce que pourrait être la
prochaine destination des éléments Frci qui pullulent dans les rues d'Abidjan,
et que la très prochaine armée ivoirienne ne peut absorber. Cette proposition a
été faite le mardi 14 juin lors d'une causerie-débat initiée par le réseau des
professionnels de la presse en ligne (Repprelci), par Jean Claude Kouassi,
Conseiller spécial du Premier Ministre Guillaume Soro en charge des grands
projets de l'Etat. Selon lui, il s'agirait d'une solution aux problèmes de
démobilisation, réinsertion et lutte contre la pauvreté de l'armée de Ouattara.
L'invité du jour, par ailleurs président du Conseil général de Bouake, a
développé cette idée pour, dit-il, lutter contre le chômage des jeunes.
« Devenir des casques bleus permettrait aux éléments FRCI de se faire de
l'argent et monter des affaires », a expliqué l'ancien patron du centre de
promotion des investissements en Côte d'Ivoire (CEPICI). Poursuivant son
plaidoyer pour les soldats de Ouattara, le Conseiller spécial de Soro Guillaume
a indiqué que ces hommes en armes pourraient se montrer utiles dans la
résolution de crises auxquelles prennent part les casques bleus de l'ONU à
travers le monde. « On pourrait les envoyer (les Frci) dans le Somalie land, au
Kossovo, etc. partout où il y a des tensions armées, parce qu'ils ont fait la
preuve de leur savoir-faire dans le maniement des armes », a-t-il argumenté pour
justifier sa curieuse proposition. (...)   





 





Miaka
Ouretto : ''on doit pousser le geste un peu plus loin''





L'Intelligent d'Abidjan

 -


« Je suis très content pour ces camarades-là qui viennent d'être
mis en liberté. C'est ce que nous attendions de la part des autorités de ce
pays, de la part du Président Alassane Dramane Ouattara, qui, depuis qu'il a
prêté serment, n'a eu de cesse de dire qu'il faut qu'on aille à la
réconciliation. Je pense que, c'est en ce sens que, cet acte qui vient d'être
posé, il faut le saluer et encourager les autorités à pousser le geste un peu
plus loin. Il y a d'autres camarades qui sont à Bouna et il nous revient, qu'il
y a beaucoup qui sont malades, qui auraient la dysenterie parce que les
conditions de détention sont très difficiles. Il y en a aussi qui sont à Katiola
et beaucoup se portent mal. Je souhaite que le gouvernement puisse pousser le
geste plus loin en mettant en libérant toutes ces personnes-là. Les personnes
qui, par contre libertésont soupçonnées de délits graves que ce soit pour
celles-là, qu'on ouvre une procédure que je souhaiterais rapide, pour que toutes
ces personnes, retrouvent la liberté afin que dans l'unité et la fraternité
retrouvée, nous puissions procéder à la reconstruction de notre pays ».




 








Coopération France- Côte d'Ivoire sur la sécurité : Hamed
Bakayoko obtient des gages à Paris




Le
Patriote

 -


Ce ne sera pas un
déplacement vain. Mais plutôt fructueux. Le ministre d'Etat, ministre de
l'Intérieur, Hamed Bakayoko, à la tête d'une forte délégation séjourne depuis
samedi à Paris où il a rencontré Claude Guéant, son homologue français, dès
l'après-midi de son arrivée. A cette occasion, le ministre a répété toute la
gratitude de son pays à la Communauté internationale notamment à la France pour
son «rôle important dans le dénouement de cette crise postélectorale ».
Toutefois, il n'a pas manqué de leur rappeler que les séquelles sont importantes
et perceptibles. « La situation sécuritaire demeure préoccupante mais elle
évolue dans le bon sens », a-t-il admis devant son homologue. Pis, « les
institutions chargées d'accompagner le processus de la réconciliation nationale
(...) sont aujourd'hui dans un état de déstructuration tel qu'elles ne peuvent
répondre efficacement à l'attente de nos populations » a avoué le ministre
d'Etat. C'est pourquoi, il ne s'est pas gêné pour solliciter l'appui de la
France. « Un appui de la France (...) » Il particulièrement énumérer « la
réorganisation du Ministère de l'Intérieur par le biais d'une assistance
technique; la formation et renforcement des capacités des cadres ; la
réhabilitation des infrastructures détruites ; le rééquipement de
l'Administration territoriale, de la Police nationale et de l'Office National de
la Protection civile etc. »




 








Réorganisation de l`armée : le temps joue contre Ouattara
 - 





L'inter  -


Des éléments des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (Frci) qui
se tirent dessus à Yopougon le vendredi 17 juin dernier, rappelant aux habitants
de cette commune les traumatismes de la guerre. D'autres éléments des Frci qui
refusent de déposer armes et treillis à Toumodi. Deux faits parmi mille qui
montrent à quel point il urge de mettre de l'ordre au sein des forces armées
ivoiriennes. Certes, le gouvernement s'en préoccupe, mais les choses semblent
avancer au petit trot. L'urgence de la situation sécuritaire impose de mettre
les bouchées doubles pour redonner un visage plus rassurant à l'armée. On ne
sort pas, il est vrai, d'un chamboulement comme celui engendré par la crise
post-électorale comme on sort d'un dîner gala. Mais, a-t-on le temps de voir les
choses entrer progressivement dans l'ordre quand la relative accalmie peut être
déchirée de temps à autre par des affrontements comme ceux de vendredi dernier à
Yopougon ? Peut-on donner le temps au temps quand l'ivresse des armes peut
pousser des éléments des Frci, comme c'est le cas à Toumodi, à refuser de
déposer ces redoutables engins qui leur confèrent une certaine puissance ? A la
vérité, plus le temps passe, plus il sera difficile de débarrasser les rues de
ces jeunes volontaires qui s'habituent au fil des jours au pouvoir des armes.
Quand ils se seront accoutumés à tous les gains faciles qu'on peut obtenir par
la force des armes, à tous les vices qu'on peut s'offrir sous l'influence de la
kalach, laborieuse sera l'entreprise de désarmement. C'est pourquoi il est plus
qu'urgent de faire le grand nettoyage avant que ces jeunes gens en demi-saison
qui paradent encore dans les rues et espaces de loisir ne sombrent dans cette
espèce d'accoutumance aux armes. (...) En attendant, des actions visant à donner
un coup d'accélérateur au processus d'assainissement de l'armée doivent être
mises en route parallèlement. Mais encore faut-il y mettre la manière pour
éviter que des volontaires appelés en renfort quand il fallait chasser
l'ex-président du pouvoir, ne se braquent et fassent à nouveau parler la poudre.




 






Barrages, voierie, racket.../les populations attendent plus d`actions concrètes





Le
Nouveau Réveil  -

Les populations observent
depuis un moment des actions du chef du gouvernement ivoirien, Guillaume Soro,
et de certains ministres. Si ces sorties sont à saluer parce qu'exprimant une
juste volonté d'optimiser les opérations pour un retour de la Côte d'Ivoire à la
normalité et engager la bataille de l'acquisition des atouts et performances
pour devenir un pays émergent, nous ne devons pas ignorer qu'au-delà des coups
de pub, ce sont des actions précises et palpables que demande le peuple
ivoirien. (...) Sécurité, lutte contre le racket, démantèlement des barrages
anarchiques, santé, commerce, transports...Le peuple veut plus d'actions que de
pub. Car, il faut bien éviter de faire comme les refondateurs qui ont vécu dans
un pays qui ne semblait pas être le leur. Les conséquences de cette "vision
erronée et utopique", les populations continueront de les payer sur une bonne
période. Hélas !




 








Entretien / Akré Georges, président de la jeunesse Atchan RHDP :
''la réconciliation ne peut pas se faire sans les Ebrié''
 





L'intelligent d'Abidjan  
-

Abidjan, capitale économique
de la Côte d'Ivoire, terre des Ebrié, a été le théâtre de violents combats qui
ont mis fin au régime de l'ex-Président de la République Laurent Gbagbo. Dans
cet entretien, le Président de la jeunesse Rhdp Atchan, Akré Georges, explique
comment les villages Ebrié ont payé le lourd tribut des affrontements à Abidjan.
Des villages Ebrié n'ont pas caché leur soutien à Laurent Gbagbo malgré sa
défaite. Certains ont même décidé d'aller déloger son adversaire de l'hôtel du
Golf où il se trouvait sous le prétexte que ce lopin de terre leur appartient.




 




IA : Comment avez-vous
apprécié ces actions ?




Akré Georges :
Certains de nos parents ont eu beaucoup d'écarts de langage à l'endroit du
Président Ouattara. Cela a causé beaucoup de préjudices à nos villages. Ce fut
le cas d'Anonkoi Kouté, où le village a été la cible de violents combats qui ont
obligé les habitants à fuir, pour se réfugier dans d'autres quartiers.
Aujourd'hui, nous pensons bien que c'est du passé. La situation est tenable. Le
village d'Anonkoi Kouté retrouve peu à peu ses habitants et cela grâce aux
actions de la jeunesse Rhdp Atchan. Nos cadres Fpi Atchan ont cultivé dans nos
villages la haine, à telle enseigne que seul, leur point de vue a été pris en
compte. Les autres cadres n'avaient plus d'aura. Et cela, les cadres Fpi l'ont
bien réussi par le biais des cadres Dougbo. Mais grâce à Dieu, aujourd'hui, la
tendance est à l'inverse. Ce sont les mêmes cadres Atchan, qui avaient été
vilipendés, chassés de leur propre village, qui règlent aujourd'hui les
différends au regard de la nouvelle donne. (...)





 





IA : Un appel à lancer à l'endroit du peuple Atchan ?





Akré Georges :

Jamais plus ça dans nos villages. Ce que nous avons vécu est atroce. Nous ne
voulons plus revoir cela. Quand nous avons vu des jeunes Atchan devant l'hôtel
du Golf pour, disent-ils, aller déloger le Président Alassane Ouattara, nous
avons été choqués. Ce sont des choses que nous ne voulons plus entendre, ni
voir. (...) La jeunesse Atchan ne doit pas se mettre en marge de la réconciliation
et du développement. Car, c'est sur notre terre que tout se passe. Et je pense
qu'avec le Président Ouattara, le lait coulera pour tous.




 






Yakassé-Attobrou RHDP et LMP fument le calumet de la paix





Le
Patriote  -

Il faisait bonne ambiance ce
samedi de Pentecôte à Yakassé-Attobrou. Sur la place du village, tous les fils
et filles de Yakassé-Attobrou ont fait le déplacement pour prendre part à la
cérémonie de réconciliation nationale. Initiée par le commandant adjoint des
FRCI dans la zone, M. Inza Koné et le préfet de région, M. Yacouba Doumbia,
cette cérémonie a vu la participation des Prs. Ayé Ayé Alexandre du PDCI, Séka
Pierre Roche de l'UDPCI, Séka Séka du PIT, Assi Bénié de LMP et de toute la
chefferie traditionnelle du département. Au cours de cette cérémonie. Nana Gbéri
Séka, le chef du village d'Abradine, a pour sa part, au nom des chefs du
département, plaidé pour une bonne et vraie réconciliation en Côte d'Ivoire.
Paraphrasant le président Shimon Pérès d'Israël, il a rappelé que « le processus
de paix est une nuit de noces dans un champ de mines ». A ce sujet, il a demandé
aux Forces républicaines de Côte d'ivoire de contribuer à créer les conditions
d'une paix durable en évitant de faire des descentes musclées dans les villages.
Une récrimination à laquelle a aussitôt répondu le chef de poste adjoint des
FRCI, Koné Inza « Les FRCI sont là pour la protection des personnes et des
biens. Nous sommes là pour vous. Nous sommes à votre disposition. Mais nous
sommes des militaires. Nous ne pouvons pas accepter que l'on nous attaque
impunément », a-t-il répliqué. Avant de rassurer les uns et les autres en ces
termes : « Depuis notre arrivée, nous n'avons fait que la sensibilisation dans
les 14 villages que compte le département. Nous avons organisé cette cérémonie
pour justement faciliter la réconciliation entre les populations et les FRCI ».
Quant au préfet, M. Doumbia, il a expliqué que cette cérémonie a pour seul objet
d'amener les populations à accepter la présence des FRCI qui sont arrivées dans
un contexte où il n'y avait plus d'éléments chargés de sécuriser la zone.




 





Justice : bientôt un mandat d'arrêt contre Charles Blé Goudé.





Le Nouveau Courrier

 – A peine la libération de
près d'une vingtaine de personnes proches de Laurent Gbagbo consommée, que le
ministre de la Justice, Me Ahoussou Jeannot, annonce un mandat d'arrêt contre
Blé Goudé et plusieurs autres dignitaires de l'ex-régime, hors de Côte d'Ivoire.




 








Justice / mécanismes de saisine de la CPI : l'APC va former les
victimes de la crise postélectorale





L'intelligent d'Abidjan  -


L'Alliance pour le
changement (APC) organise le jeudi 23 juin prochain, un séminaire de formation à
l'endroit des victimes de la crise postélectorale. Ce séminaire dont l'objectif
est de les instruire sur les mécanismes de saisine de la Cour pénale
internationale (CPI), fait suite à l'appel à témoins lancé par ladite Cour à
leur intention.




Selon Alphonse Soro, c'est
en partenariat avec des organisations de défense des droits de l'Homme,
notamment la Lidho, le Midh, etc. que ce grand rassemblement des victimes de la
crise postélectorale se tiendra le jeudi à la Bourse du travail de Treichville à
9 heures. Au cours de cette rencontre, les victimes seront informées, formées et
encadrées sur les différents mécanismes juridiques de saisine de la CPI. (...).