En Côte
d'Ivoire, le parti de l'ex-président Laurent Gbagbo demande au gouvernement
d'Alassane Ouattara d'entamer des pourparlers francs afin de mettre un terme au
regain de tension dans le pays.   

Edition de
05H30 du Jeudi 23 août 2012   |  VOA

En Côte
d'Ivoire, le parti de l'ex-président Laurent Gbagbo demande au gouvernement
d'Alassane Ouattara d'entamer des pourparlers francs afin de mettre un terme au
regain de tension dans le pays. Après les attaques meurtrières contre l'armée
ivoirienne, le Front populaire ivoirien, le FPI a également accusé le régime de
dérive totalitaire, lors d'un conférence de presse. Laurent Akoun du FPI demande
la libération immédiate et sans conditions de l'ex-ministre Alphonse Douati,
secrétaire général adjoint du parti arrêté samedi, inculpé d'atteinte à la
sureté de l'Etat et écroué mardi à Abidjan, ainsi que la libération de ses
militants. Les récentes attaques ont fait au moins 11 morts au sein de l'armée
ivoirienne. Le gouvernement a accusé des partisans de Laurent Gbagbo d'être les
auteurs de ces attaques. Mais le FPI affirme que c'est le gouvernement qui est
le commanditaire des attaques qui ont visées son siège et un groupe de presse
proche du parti.      

Un
officier de police retrouvé mort hier matin dans un quartier sud d'Abidjan.

Edition de
06H30 du Jeudi 23 août 2012   |  RFI

Un officier
de police retrouvé mort hier matin dans un quartier sud d'Abidjan. Selon la
presse ivoirienne, il s'agirait d'un policier du 33^ème arrondissement
de la capitale ivoirienne. La veille au soir il avait été arrêté par des soldats
des Forces républicaines de Côte d'Ivoire. Soldats qui affirmeraient l'avoir
relâché quelques heures plus tard. Mystère donc autour de ce décès. Le procureur
militaire est chargé de l'enquête. 

En Côte
d'Ivoire, six quotidiens proches de l'ex-président Laurent Gbagbo vont suspendre
leur parution pendant deux jours.

Edition de
07H00 du Jeudi 23 août 2012   |  BBC Afrique

En Côte
d'Ivoire, six quotidiens proches de l'ex-président Laurent Gbagbo vont suspendre
leur parution pendant deux jours. Les responsables de ces journaux l'on annoncé
au cours d'une conférence de presse hier soir au siège du quotidien Notre Voie,
principal journal pro-Gbagbo. Cette décision vise selon eux à interpeller le
gouvernement ivoirien sur les attaques dont ils se disent victimes. Mais aussi à
exiger des autorités des mesures pour garantir leur sécurité et l'exercice libre
de leur métier. Le week-end dernier, le siège du groupe Cyclone Communication,
société éditrice de deux quotidiens pro-Gbagbo a été attaqué par des hommes non
identifiés. (...)