REVUE DE PRESSE NATIONALE DU LUNDI 05 DECEMBRE 2011

5 déc 2011

REVUE DE PRESSE NATIONALE DU LUNDI 05 DECEMBRE 2011








Sécurisation des élections législatives : Le pays divisé en 10 zones




 




Nord-Sud, Fraternité
Matin, L'Inter -

Le
chef d'état-major des Forces républicaines de Côte d'Ivoire, le général de
division Soumaïla Bakayoko, a dévoilé, samedi à Bouaké, le plan de sécurisation
des prochaines législatives. Dans le cadre de la sécurisation des élections
législatives du 11 décembre prochain, le général de division, Soumaïla Bakayoko,
chef d'état-major général des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (Frci),
était, samedi dernier, à Bouaké. Le patron de la grande muette avait pour
mission de sensibiliser les policiers, gendarmes et militaires sur la conduite à
tenir lors du prochain scrutin. La rencontre s'est déroulée au 3ème bataillon
militaire. Pour ces législatives du 11 décembre prochain, le chef d'état-major
général des Frci a annoncé que le plan de sécurisation qui sera mis en place est
baptisé ''opération Phénix''. Selon le chef d'état-major général des Frci, ce
plan de sécurité prévoit le découpage du territoire national en 10 zones, avec
un poste de commandement secondaire et un poste de commandement central dans
chaque zone. La logistique, les perdiems,  les moyens de mobilité et de
communication, a-t-il rassuré, seront disponibles. L'opération Phénix sera
exécutée en 3 grands niveaux. Un 1er cercle sera assuré par 10.000 policiers
dont la mission sera de surveiller les bureaux de vote. Un 2ème cercle de
sécurité implique 10.000 gendarmes. Ceux-ci  viendront en appui aux policiers et
auront pour rôle d'assurer la sécuriser des lieux de vote. Et le 3ème cercle est
aux mains de l'armée avec un effectif de 5.000 militaires dont la mission sera
de faire des patrouilles mixtes avec l'Onuci. Les militaires, a-t-il situé,
viendront en appui à la police et à la gendarmerie dans le cas où celles-ci
seront débordées. Elles assureront, à en croire le général de division Soumaïla
Bakayoko, la sécurisation de toutes les frontières, particulièrement la
frontière ouest. C'est après toutes ces précisions que le Cemag a donné des
consignes et des recommandations à l'ensemble de la troupe. « Vous devez
contribuer à maintenir la stabilité et la paix, à assurer  la sécurité et le bon
déroulement des élections législatives. Etre au service des populations, sans
distinction ethnique, religieuse, politique ou sociale. Votre arme n'est pas un
jouet. Vous n'êtes autorisé à utiliser votre arme que sur ordre de votre chef ou
en cas de légitime défense. Mais la légitime défense intervient seulement en cas
d'attaque réelle ou de menace à l'intégrité physique. Et la riposte est
immédiate et proportionnelle à l'attaque », a expliqué, à la troupe, le chef
d'état-major général des Frci. Toutefois, a-t-il a prévenu, tout élément qui va
enfreindre toutes ces dispositions, sera purement et simplement radié des
effectifs des Forces républicaines de Côte d'Ivoire. (...)




 




Menace
sur les législatives 12000 commissaires locaux de la CEI veulent tout bloquer.
Ils réclament 1milliard FCFA de primes




 




Le
Mandat -

Ça
passe ou ça casse ! ». C'est en ces termes que le président d'une commission
locale(Cl) de la Cei s'est confié à nous, sous le couvert de l'anonymat. Il a
exprimé sa colère face aux attitudes désobligeantes de la commission centrale de
la Commission électorale indépendante(Cei). Il dit ne pas comprendre qu'alors
que l'Etat et ses partenaires mettent tout en œuvre pour bien organiser les
législatives, la Cei traine encore les pas sur certains détails importants.
Entre autres, le paiement des primes de session des commissaires locaux de la
Cei. Qui constituent la cheville ouvrière de tout le processus électoral à la
base. Ce sont les commissaires locaux qui convoieront tout le matériel dans les
bureaux de vote et qui, à la fin, ramèneront les résultats au siège de
l'Institution. En effet, ce sont plus de 12000
commissaires
qui sont répartis sur le territoire national. Ces agents bénévoles du processus
électoral réclament des primes de trois sessions. Selon la catégorie, les
présidents des Cl perçoivent la somme de 80000 FCFA après chaque session et les
vice-présidents et les secrétaires 70000 FCFA. Quant aux autres membres, ils ont
50000 FCFA. Selon notre interlocuteur, c'est près d'un milliard FCFA que la Cei
doit dégager pour régler les primes. « Sinon, à partir du 08 décembre, nous
bloquons tout », a menacé notre interlocuteur, qui a dit traduire le sentiment
de ses pairs. Contactée pour se prononcer sur le sujet, une source auprès de
l'Institution s'est gardée de confirmer ou d'infirmer cette information. Notre
source a, par ailleurs, indiqué que la Commission électorale indépendante est
consciente de tous ces problèmes. Mais, elle mettra les bouchées doubles pour
régler toutes ces préoccupations, avant la tenue du scrutin, le 11 décembre
prochain. «Ne vous en faites pas. Tout sera réglé », a conclu, confiant, l'agent
de la Cei. Notons que les agents administratifs de la Cei réclament, eux aussi,
un statut juridique. En effet, cela fait quatre ans qu'ils travaillent pour
l'Institution. Malgré tout, ils ne sont ni déclarés à la Cnps, ni rémunérés par
le biais d'une structure bancaire. Au nombre de 400000, ces agents veulent être
embauchés et bénéficier des avantages liés à leur activité.




 





Treichville : Les militants du Pdci ne veulent pas de députés parachutés




 




Le Démocrate

- C'est le stade Yobou Lambert du quartier Biafra de Treichville qui a servi de
cadre au lancement de la campagne du candidat du Pdci pour les législatives dans
ladite commune. Malgré le changement de lieu, les militants vêtus de T-shirt à
l'effigie du candidat du parti sexagénaire n'ont pas boudé cette rencontre. Pour
le directeur de campagne, son candidat va gagner parce que les Treichvillois ne
veulent pas de parachutage politique. Il a par ailleurs indiqué que le candidat
du Pdci travaille avec tout le monde sans distinction. Le président de la
coordination de la Jpdci a invité les militants menacés à revenir. Il a décrié
cela en indiquant que ce n'est pas cela la politique. Cependant, selon lui,
c'est un fils de Treichville qui doit les unir. La présidente de l'Ufpdci de
Treichville a indiqué pour sa part que les femmes sont dans la rue depuis 3
heures du matin et y resteront jusqu'à la victoire de leur candidat. Elle a
souligné également que c'est la femme qui durant la crise a offert sa poitrine
pour apporter la joie dans les cœurs. Le candidat du Pdci, dans un discours
bref, a démenti les propos selon lesquels il est analphabète. «Je n'ai pas eu de
diplômes scolaires et universitaires. Mais j'ai le diplôme de la vie », a-t-il
précisé. C'est pourquoi il a lancé ceci : « Si vous aimez Bédié, si vous aimez
Alassane Ouattara et si vous aimez Amichia François, votez pour moi ». Le
délégué Pdci de Treichville François Amichia a présenté le candidat du vieux
parti aux législatives comme l'un des collaborateurs du maire Kouassi Lenoir.
Pour lui le candidat du Pdci qui avait la possibilité d'aller à l'aventure est
resté pour servir Treichville en tant qu'opérateur économique. Aussi, Amichia a
indiqué qu'il a été l'un des piliers de la campagne d'Ado au second tour de la
présidentielle à Treichville. (...)




 





Rencontre ministre de l'Intérieur et certains partis du CNRD / Hamed Bakayoko :
"Le FPI a reçu 125 millions pour sa participation au processus "




 




Le
Patriote, Fraternité Matin, Le Jour plus, L'Inter, L'Expression -

Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Hamed Bakayoko a rencontré certains
partis membres du CNRD samedi en sa résidence privée de Cocody. Ces derniers
étaient représentés par Gervais Coulibaly (Cap UDD), Akossi Akossi (Udcy),
Messou Florent (UNG), Djéhoua Nicoals (député sortant FPI) et Bohété Laurette
(AIRD). A l'issue de cette rencontre le ministre de l'Intérieur et Gervais
Coulibaly ont fait le point :




Hamed
Bakayoko : (...) «Je viens d'avoir une réunion avec certains partis du CNRD qui
avaient décidé de participer aux élections législatives. Et avec les derniers
évènements ont fait une déclaration pour suspendre leur participation. J'ai
voulu les rencontrer pour leur passer deux messages. Le premier, c'était pour
leur demander de ne pas rompre le dialogue. J'estime que quelque soit la
situation, nous sommes obligés de dialoguer. (...) Je leur ai également demandé de
revenir dans le processus électoral. J'ai souhaité que les indépendants et les
différents partis du CNRD reviennent. On ne peut pas arrêter la réconciliation,
tôt ou tard elle va s'imposer à nous. (...) Il y a également la question du
financement des partis politiques qui sont engagés dans le processus électoral.
Parce que le FPI qui renonce même à sa participation au processus de
réconciliation a bien touché cette semaine un chèque 125 millions de FCFA de la
part de l'Etat en tant que contribution à la vie des partis politiques. Je crois
que l'Etat doit aussi s'engager à apporter un financement aux partis et aux
candidats indépendants qui participent au processus. (...) Ils ont parlé des
questions de sécurité. Nous avons pris des dispositions, nous avons désigné un
interlocuteur pour que leurs partisans qui sont candidats soient protégés au
même titre que tout le monde avec même la contribution des forces de l'ONUCI que
nous allons solliciter. (...)





Gervais Coulibaly (porte-parole de la délégation) : "Merci au Gouvernement
d'avoir renoué le dialogue"  « Nous avons été reçu par le ministre d'Etat qui
représentait le Gouvernement. Nus disons merci au Gouvernement d'avoir renoué le
dialogue avec nous. Nous avons entendu, parce que nous avons eu des requêtes
suite à la proposition du ministre de revenir dans les élections. Nous allons
retourner vers nos bases et à l'issue des rencontres que nous allons avoir,
donner une suite au ministre et au Gouvernement ».




 




Man :
Le candidat Rdr de la sous-préfecture de Logoulalé brûlé au second degré dans
son lit.




 




Soir
info, Le Mandat, L'Expression -

Gaoudé Narcisse, candidat du Rassemblement de républicains (Rdr), aux
législatives dans la sous-préfecture de Logoualé, a été victime, d'une grave
brûlure très tôt le matin du 04 décembre 2011. En effet, après la première nuit
de campagne, Gaoudé Narcisse, rentré très fatigué, tombe dans un profond
sommeil. Il sera réveillé, le matin, par le feu qui le brûle jusqu'au second
degré. Le candidat qui est réside à Abidjan passait la nuit chez un de ses
frères au quartier Doyagouiné. Même si, pour le moment, les circonstances de
l'accident ne sont pas encore connues, il est bon de savoir que dans la maison,
il n'y avait ni feu ni liquide inflammable. Aussi, à part lui, rien d'autre n'a
brûlé dans la maison. Transporté d'urgence au Centre hospitalier régional (Chr),
de Man aux environs de 08h, l'infortuné candidat a été évacué aux environs de
13h au centre des grands brûlés de Cocody. Informés, le secrétaire départemental
Rdr, Blé Mamadou et son collaborateur Dr Tia André ont financé les premiers
soins administrés à Gaoudé Narcisse.




 




Les
Chinois à la Cei




 




Nord-Sud -

La Chine va faire parler, aujourd'hui, son cœur à la Commission
électorale indépendante. A travers son ambassadeur à Abidjan, le céleste empire
du milieu va offrir à l'organe électoral ivoirien, du matériel roulant. Cet
important don qui est attendu comme une bouffée d'oxygène, devrait permettre à
la Cei de mieux organiser le prochain scrutin législatif.




 




La
Cedeao déploie ses hommes




 




Nord-Sud -

La Cedeao a annoncé, samedi dernier, qu'elle compte déployer 60
observateurs pour suivre l'organisation des législatives du 11 décembre. Selon
l'organisation sous-régionale, c'est à la demande même des autorités ivoiriennes
que ces observateurs viendront suivre le déroulement du vote. « Cette élection
prend place à un moment crucial du processus de stabilisation de ce pays et
représentera une étape importante dans la sortie de la récente crise
ivoirienne », a indiqué les responsables de la Cedeao qui exhortent tous les
candidats et leurs partisans à garantir la paix et la sécurité du scrutin.




 





Renaissance du conseil de l'Entente : Alassane Ouattara, Faure Gnassingbé,
Blaise Compaoré, Issifou Mahamadou et Yayi Bony en conclave, ce matin




 




Le Nouveau Réveil

- Comme promis il y a peu lors du dernier voyage du président ivoirien, Alassane
Ouattara, au Benin, les cinq présidents des cinq pays membres du Conseil de
l'Entente vont tenter, à compter de ce lundi 05 décembre, de remettre sur les
rails le Conseil de l'Entente qui est, depuis quelques années, dans une
léthargie sans nom. Les présidents Alassane Ouattara de Côte d'Ivoire, Faure
Gnassingbé du Togo, Blaise Compaoré du Burkina Faso, Issifou Mahamadou du Niger
et Yayi Bony du Benin se retrouvent en effet ce jour au Palais des Congrès de
Cotonou pour relancer du bon pied le Conseil de l'Entente. Ils vont se pencher
sur comment donner un nouveau souffle à la plus vieille des institutions
sous-régionales qui a aujourd'hui 52 ans. La rencontre de Cotonou se veut ainsi
le reflet de la volonté politique des cinq de repositionner le premier outil
sous-régional d'intégration sur l'échiquier international. Lors de leur dernière
rencontre dans le cadre de la visite d'amitié et de travail du président
ivoirien, les présidents Ouattara et Yayi ont fait un large tour d'horizon des
questions politiques, économiques et sociales de la sous-région, de l'Afrique et
du monde. Ils ont particulièrement exprimé leur ferme volonté de voir le Conseil
de l'Entente renaitre de ses cendres en vue d'en faire un cadre privilégié de
concertation et de coopération entre les Etats membres. En prélude donc à la
réunion de ce lundi, les Ministres des Affaires Etrangères des cinq pays membres
se sont retrouvés le 15 octobre, juste après une réunion des experts du 12 au 13
octobre pour établir la faisabilité des reformes. Ce sont les conclusions de ces
deux réunions préliminaires que les cinq présidents vont apprécier ce jour et y
donner une suite politique.




 





Reconstruction de l'armée après la crise : La Côte d'Ivoire à l'école du Rwanda




 




Nord-Sud, Le Mandat
-

Le ministre-délégué à la défense, Paul Koffi Koffi a échangé, hier à son
ministère, avec une délégation rwandaise conduite par son homologue, James
Kabarébé. Objectif : s'inspirer de l'expérience du Rwanda en matière de
reconstruction post-crise de l'armée. L'Etat ivoirien, après la crise
postélectorale, veut copier le modèle de sortie de crise du Rwanda, un pays qui
a connu une guerre fratricide. Selon le ministre délégué auprès du ministre de
la Défense, Paul Koffi Koffi, qui a échangé, hier, avec une délégation
rwandaise, conduite par son homologue, James Kabarébé, il y a des ressemblances
entre la situation des deux pays. Car, a-t-il argumenté, « après la crise de
1994, le Rwanda a procédé à la reconstitution de l'armée, à la création d'une
nouvelle armée avec les ex-belligérants ». Comme la Côte d'Ivoire qui procède,
en ce moment, à un processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion
des ex-combattants, l'armée rwandaise a déjà réussi cette expérience. Ce pays
enregistre actuellement environ 78.000 démobilisés. Ils ont été réinsérés dans
le tissu social. Les échanges ont mis en évidence l'importance de la question
sécuritaire. Concernant la circulation des armes légères, les Rwandais
conseillent la sensibilisation des populations afin qu'elles s'y impliquent.
Pour Paul Koffi Koffi, « le premier souci du gouvernement ivoirien est
d'instaurer la cohésion, l'unité, etc. ». Selon lui, l'Etat ivoirien est en
train de revoir le statut des militaires, parce que l'armée est vieillissante.
Son homologue rwandais estime qu'il faut mettre l'accent sur la question
disciplinaire à tous les niveaux. A l'entendre, lorsque le problème de la
discipline d'une armée est résolu, cela réduit d'au moins 50% les autres
problèmes. James Kabarébé propose la création d'un environnement stratégique,
favorable à la bonne gouvernance, à la lutte anti-corruption, à la sécurité dans
son acceptation large et au développement économique. (...)




 





Reconstruction des ex-zones Cno : La Bid dépose 15 milliards de Fcfa sur la
table




 




Nord-Sud -

Le gouvernement ivoirien veut aller vite, mais surtout en
efficacité dans la gestion du Projet reconstruction des infrastructures dans les
ex-zones Centre, nord et ouest (Cno). Projet pour lequel il a obtenu de la
Banque islamique de développement (Bid) un prêt de 15 milliards de Fcfa et un
don de 185 millions. Pour réussir la bonne exécution de ce projet, le
gouvernement veut un manuel qui définisse clairement les procédures de passation
des marchés, les procédures financières, comptables et administratives. En
clair, un manuel qui permet une gestion rigoureuse, transparente et saine du
projet couvrant 5 composantes. Il s'agit du renforcement du système d'adduction
d'eau potable de la ville de Man, de la reconstruction et de la réhabilitation
de routes dans les villes d'Odienné et de Korhogo, de la réhabilitation et de
l'équipement du lycée technique de Bouaké et du lycée professionnel d'Odienné.
C'est tout l'intérêt de l'atelier de «validation du manuel des procédures du
projet Rec-Cno», organisé du 1er au 2 décembre dernier, à Grand-Bassam par
l'Unité de coordination du projet (Ucp) Rec-Cno placée sous l'autorité du
Premier ministre. Selon Fakhy Konaté, représentant le Premier ministre, cette
rencontre a eu pour objet de faire des amendements en vue d'adopter la monture
finale dans l'optique d'améliorer les conditions de vie des populations de ces
zones. Une chose qui doit contribuer à consolider la paix. (...)




 





Réhabilitation des zones industrielles : une mission de la banque mondiale
séjourne à Abidjan




 




Soir
info –

Une
mission de la Banque mondiale séjourne actuellement à Abidjan dans le cadre
d'une assistance à la gestion et au développement des zones industrielles. Selon
le comité de concertation Etat/secteur  privé qui a confirmé cette information,
le 4 décembre 2011, en milieu d'après-midi, des orientations stratégiques, pour
lesquels la Banque mondiale pourrait apporter sont appui ont été identifiées. Il
s'agit notamment de la réhabilitation des zones industrielles existantes, de la
réforme du cadre juridique et institutionnel de gestion  des zones
industrielles, de la réponse à l'urgence des demandes de terrains industriels et
de l'émergence à moyen terme de cluster industriels. (...)