Liberia, Cote d'Ivoire and UN Missions Share Notes on Security

 

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A four-party meeting of representatives of the Government of Liberia and Cote
d'Ivoire, the UN Mission in Liberia, and the UN Operations in Cote d'Ivoire was
held in Monrovia, Liberia, on Friday, 5 April 2013 as a follow up to two
previous high-level meetings held in May and June, 2012 to discuss border
security, justice, humanitarian and bilateral cooperation between Liberia and
Cote d'Ivoire. The Friday meeting is a sequel to the first Quadripartite Meeting
held in Abidjan on 13 June 2012 which discussed security matters along the two
countries' border, the extradition of Ivorian of ex-combatants who fled into
Liberia and were arrested as well as turnover of vehicles confiscated from Cote
d'Ivoire and taken into Liberia. The last meeting specifically discussed matters
of cooperation, dialogue, reconciliation and information exchange amongst chiefs
and communities along the border, and actions to reactivate the Joint Commission
between Liberia and Cote d'Ivoire.

 

 

Côte d'Ivoire : Élections locales d'avril

 

(BBC online – 06 avril 2013) -
La
campagne officielle pour les élections régionales et municipales du 21 avril en
Côte d'Ivoire s'est ouverte samedi. Le parti de l'ancien président Laurent
Gbagbo, principale formation d'opposition, dénonce une "mascarade".

Au
total 659 candidats aux municipales et 84 têtes de liste pour les régionales
participeront à la campagne, d'une durée de 15 jours. Presque tous les candidats
sont issus de la coalition au pouvoir formée par le Rassemblement des
républicains (RDR, le parti du président Alassane Ouattara) et du Parti
démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, de l'ex-chef de l'Etat Henri Konan Bédié).

Le
président de la Commission électorale indépendante ivoirienne (CEI), qui
organise ce scrutin, Youssouf Bakayoko, a souhaité que la campagne électorale,
soit "pacifique, empreinte de tolérance, d'esprit de convivialité" (...) pour
permettre aux électeurs de se rendre le jour du scrutin dans les bureaux de vote
"avec assurance et sérénité".

Le 21
mars, l'opposition avait décidé de boycotter les élections locales, estimant que
les conditions d'un scrutin "juste" et "transparent" ne sont pas réunies. "Aucun
militant du Front populaire ivoirien (FPI) ne doit en aucune manière prendre
part à ces élections", a averti Richard Kodjo, secrétaire général par intérim et
porte-parole du FPI. Il a indiqué que son parti "ne reconnaîtra pas les
résultats de cette mascarade électorale". [...]

 

 

Soubré: Le préfet exige le retrait des dozos des élections

 

(Connectionivoirienne.net - 07 avril 2013) -
Le
préfet de la région de la Nawa a exigé le mercredi 4 avril dernier, lors de la
rencontre qu'il a eue à la maison des jeunes de Soubré avec les populations, le
retrait des dozos des élections couplées des conseillers régionaux et municipaux
du dimanche 21 avril prochain. Selon Aliali Kouadio, premier responsable du
département de Soubré, les dozos constituent une communauté culturelle, mieux
une confrérie située dans le nord qui ne peut pas se substituer aux gendarmes et
aux policiers. « Vous les dozos, on ne veut pas vous voir le jour de ces
élections dans les lieux de vote et bureaux de vote, car les dozos ne doivent
pas faire de contrôle » a-t-il soutenu, avant de leur indiquer les menaces du
ministre de l'intérieur. « Celui qui ne va pas se soumettre sera déféré devant
les juridictions pour être jugé et condamné. Le ministre est prêt, et il a pris
les mesures ». Toute fois, le préfet n'a pas manqué d'exprimer son inquiétude
face au nombre de plus en plus croissant des dozos. « Si on ne fait rien dans
quelques années, on va se retrouver avec une armée parallèle et je ne sais pas
si l'état de Côte d'Ivoire va continuer d'exister » Prévient il. Le préfet a
également mis en garde les hommes politiques en ces termes : « Le ministre nous
a chargé de dire aux candidats que les dozos ne doivent pas participer aux
élections, ils ne doivent pas être utilisés par les hommes politiques comme des
gardes du corps, ni être dans les bureaux de vote .Vous n'avez pas le droit de
prendre un dozo pour assurer votre sécurité. Les forces officielles sont à votre
disposition » a-t-il précisé .Après quoi, il a rassuré les dozos que, selon le
ministre de l'intérieur, ils seront recensés, réorganisés, identifiés et
immatriculés afin de mieux les maitriser.

 

 

Côte d'Ivoire: Campagne, fortune diverses pour les candidats du PDCI et du RDR

 

(Koaci.com – 07 avril 2013) -
A
peine la campagne des élections couplées démarrée, KOACI.COM apprend ce dimanche
d'une source politique que le Rassemblement des républicains (RDR) et le Parti
démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) ont dégagé des moyens financiers pour
chacun de leurs candidats investis.

Le
constat est que les fortunes sont diverses pour les représentants de ces deux
principaux partis politiques alliés au sein du RHDP. Le parti de l'actuel
président ivoirien, Alassane Ouattara a selon la même source versé à chacun de
ses candidats 5 millions de FCFA aux élections municipales pour cette campagne,
tandis que les représentants du parti politique d'Henri Konan Bédié ont reçu 1
million de FCFA chacun, soit une différence de 4 millions.

 

Le
RDR a également fait plus pour ses militants devant le représenter durant les
élections régionales. Cette formation politique a davantage délié la poche
soutenant chacun de ses représentants à hauteur de 10 millions de FCFA. Le PDCI
a pour sa part versé a chacun de ses candidats légaux pour cette même échéance
électorale, la somme de 2,5 millions de FCFA.

 

A
deux jours du lancement de la campagne, un autre constat se dessine. Seuls les
candidats indépendants se manifestent véritablement sur le terrain. Abidjan ne
vit pas la campagne comme l'a fait remarquer le représentant d'un parti du RHDP
à KOACI.COM dans la commune d'Abobo.

 

 

Politique nationale: Le CNRD annonce un rassemblement le 12 avril

 

(Connectionivoirienne.net - 08 avril 2013) -
Le
Congrès national de la résistance pour la démocratie (Cnrd), compte organiser le
vendredi 12 avril prochain, un rassemblement. Pour Mme Agoh Marthe, anciennement
première vice présidente de l'Assemblée nationale, deux raisons motivent cette
rencontre. «D'abord, pour exorciser la mémoire collective par rapport aux
évènements dramatiques du 11 avril 2011. Ensuite, pour réaffirmer le rêve
démocratique vrai en Côte d'Ivoire», prétend-t-elle. Elle voit cette
manifestation comme «une fête populaire ponctuée de message sur la démocratie».

 

 

Avec l'aide de la France, des soldats ivoiriens se préparent à leur déploiement
au Mali

 

(Jeuneafrique.com / Connectionivoirienne.net - 07 avril 2013) –
Des exercices militaires franco-ivoiriens se sont déroulés samedi à Lomo, à 200
km au nord d'Abidjan, pour la préparation et la participation de 235 soldats de
Côte d'Ivoire, un bataillon logistique à la force africaine déployée au Mali
(Misma). Les manœuvres qui ont eu pour théâtre, un terrain accidenté ont mis en
scène des soldats ivoiriens chargés de ravitailler un contingent ami sénégalais
et ghanéen. Ces soldats attaqués par des djihadistes, font appel à la force
française qui les neutralise. "Nos soldats sont entièrement prêts. Ils sont
aptes. Ils se sont accoutumés à l'ambiance qui les attend, les tirs de canon qui
leur seront servis dans le nord du Mali" a déclaré à la presse le chef
d'état-major de l'armée ivoirienne, le général Soumaïla Bakayoko, à la fin des
manœuvres. De son côté, le ministre ivoirien chargé de la Défense Paul Koffi
Koffi a affirmé que "le bataillon logistique ivoirien sera mis en route très
rapidement", sans donner plus de précision sur la date. Les soldats ivoiriens
ont également bénéficié de deux mois de formation de l'armée française. "Les
Ivoiriens sont complètement (...) motivés et avec peu de moyens ils ont réussi
de grandes choses durant cette formation" a souligné le Colonel Benoit Clément,
l'attaché militaire de l'ambassade de France à Abidjan. La Misma déploie
actuellement au Mali environ 6.300 soldats d'Afrique de l'Ouest et du Tchad,
auxquels s'ajoutent quelque 4.000 soldats français. La force africaine au Mali
pourrait mobiliser au total jusqu'à 10.000 hommes, intégrant notamment des
unités burundaises et mauritaniennes. L'opération lancée en janvier par la
France, en soutien à l'armée malienne, a permis la reprise des principales
villes du nord du Mali, occupées depuis l'an dernier par des groupes islamistes
liés à Al-Qaïda.