REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 4 SEPTEMBRE 2009

4 sep 2009

REVUE DE PRESSE DU VENDREDI 4 SEPTEMBRE 2009









Présidentielle du 29 novembre :
Choi échange avec le chef de la commission électorale du Ghana




Le Nouveau
Réveil  – « 
Le
Représentant spécial du Secrétaire général pour la Côte d`Ivoire, M. Y.J.Choi,
s`est rendu hier à Accra, où il a échangé sur le processus électoral au Ghana
avec le chef de la Commission électorale indépendante du Ghana, a annoncé jeudi
à Abidjan, le Porte-parole par intérim de l`Opération des Nations Unies en Côte
d`Ivoire (ONUCI), Kenneth Blackman. En ce qui concerne le processus électoral en
Côte d`Ivoire, M. Blackman a indiqué que tous les centres de coordination
étaient fonctionnels. L`ONUCI encourage la CEI [Commission électorale
indépendante] à maintenir la cadence enregistrée dans le traitement des données"
a dit M. Blackman, qui s`exprimait lors de la conférence de presse hebdomadaire
de l`ONUCI. M. Kenneth a également annoncé la présence en Côte d`Ivoire du 30
août au 5 septembre, d`une délégation du siège des Nations Unies comprenant des
représentants du Département des Opérations de maintien de la paix, du
Département des affaires politiques, du Bureau d`appui à la consolidation de la
paix et du PNUD. Le but de cette mission, a expliqué M. Blackman, est de
"procéder à une revue technique du Plan Prioritaire de la Côte d`Ivoire,
approuvé en juillet 2008 par le Bureau d`appui à la consolidation de la paix" et
qui comprend les Mille Microprojets et le soutien à la Facilitation. Il a
indiqué que la délégation, qui s`est entretenue avec des représentants des
Nations Unies, de l`Etat Ivoirien, et des Forces Nouvelles, a également visité
des microprojets à Bouaké et à Séguéla avant de se rendre ce jeudi à Issia. Sur
le plan de la promotion de la paix, M. Blackman a annoncé que l`ONUCI réalisera
du 4 septembre au 7 novembre 2009, son projet ONUCI TOUR, qui "vise à
sensibiliser les populations autour d`un environnement électoral apaisé". Cette
initiative, organisée dans le Département du Denguélé, débute par la localité de
Sirana, à 64 kms d`Odienné, couvrira également neuf autres localités, a-t-il
expliqué. Le projet ONUCI TOUR, qui implique des représentants de diverses
sections de l`ONUCI, des commissions électorales locales et des autorités
administratives, comporte des séances de sensibilisation publiques, selon le
porte-parole par intérim. Dans chaque localité, on échangera avec les
populations "sur des thèmes comme la gestion des rumeurs, l`étape actuelle du
processus électoral, les droits de l`homme en période électorale et la cohésion
sociale", a-t-il expliqué, avant d`ajouter que cette sensibilisation de
proximité se fera également dans d`autres régions du pays. »




 






Congrès du RPP à Yamoussoukro -
Aka Kouadio, coordonnateur local : "Nous attendons au moins 4 000 militants"




Notre Voie  – « Le
Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage (RPP) organise à partir
d`aujourd`hui son premier congrès ordinaire dans la capitale politique de la
Côte d`Ivoire. Aka Kouadio, le président de la coordination de cette formation
politique à Yamoussoukro, fait le point des préparatifs.




Notre Voie : Comment
préparez-vous le congrès de votre parti ?




Aka Kouadio : Nous
accordons une grande importance à cette manifestation qui est la première du
genre dans l`histoire de notre jeune formation politique. Nous avons donc
actionné toutes les structures du parti à Yamoussoukro et la société civile. Et
je peux vous dire que tout est fin prêt pour faire la fête.




N.V. : Peut-on
savoir les grands axes de ce congrès ?




A.K. : Les militants
ont foulé le sol de Yamoussoukro depuis hier. Cette journée a été consacrée
exclusivement à l`enregistrement de ceux-ci à la Fondation Félix
Houphouet-Boigny. A partir d`aujourd`hui, nous allons nous rendre jusqu`à la
Place Jean-Paul II où une grande procession sera organisée jusqu`à la résidence
du premier président de la Côte d`Ivoire, où les responsables du parti iront
s`incliner sur la tombe de celui-ci. C`est donc après cette grande étape que
nous allons mettre le cap sur le lieu de la manifestation pour commencer le
congrès qui, enregistrera la participation de plusieurs représentants des partis
politiques frères. Le président donnera au cours de cette cérémonie des
orientations à ses militants. Nous allons également profiter de ce congrès pour
procéder à l`élaboration des textes du parti. (...)




N.V. : Pensez-vous
pouvoir réussir le défi de la mobilisation ?




A.K. : Nous allons
faire le plein de la Fondation Félix Houphouet-Boigny avec nos militants qui
viendront de tous les villages du département de Yamoussoukro. Nos populations
comprennent le bien-fondé de la politique du président du RPP et elles le
démontreront. Par modestie, je dirai que nous attendons 4 000 militants dans la
grande salle de la Fondation. Aux militants, je leur demande de venir nombreux à
la Fondation pour communier avec notre président qui a décidé d`apporter son
soutien au chef de l`Etat à l`élection présidentielle de novembre 2009, je leur
demande aussi de respecter les consignes qui seront dictées à la porte pour ne
pas gâcher la fête. Le RPP est une formation politique de paix et nous n`avons
pas besoin de désordre à notre congrès. »




 






Interview / Polémique autour du
débat télévisé des candidats à l'élection présidentielle - Thomas Zahoui,
président d`Elan : "C'est à la société civile que revient le droit de
l'organiser"




Le Quotidien  –
« 
L`Association
``Ethique, légalité pour l`avenir national (ELAN) de Thomas Zahui prévoit à cet
effet un débat direct entre les principaux candidats à l`élection présidentielle
du 29 novembre prochain. [...]




Thomas Zahoui : Elan
organise les débats selon les calendriers politiques. Notre premier souci était
de trouver des solutions de sortie de crise. Donc avec toutes les personnalités
que nous avons interrogées, nous n`avons parlé que de solutions de sortie de
crise. Et quand il y a eu le dialogue direct, nous avons pensé qu`il y avait
l`accalmie. En ce moment, l`actualité, c`est la campagne présidentielle. Nous
avons donc décidé d`organiser un débat entre les différents candidats à la
magistrature suprême de notre pays.




Pensez-vous qu`un
tel débat est possible en Côte d`Ivoire ?




Cela devrait être
possible. Nous sommes dans un monde d`ouverture. Partout, on parle de
mondialisation. Ce genre de débat ne se passe plus seulement aux Etats-Unis ou
en France. La preuve, il y en a eu au Niger, au Ghana, au Nigéria. Même en
Afghanistan, un pays en guerre, ce débat a eu lieu entre les différents
candidats. Ce qui veut dire qu`on ne peut plus laisser le citoyen en dehors de
la politique. Il faut que désormais, le citoyen ait son mot à dire dans le débat
national. C`est pourquoi, nous pensons que pour la première fois, au sortir de
la crise en Côte d`Ivoire, il faut que ce débat ait lieu. Nous avons rencontré
les candidats, qui nous ont donné leur accord de principe.




On peut avoir des
noms ?




Oui. Il y a Alassane
Ouattara...




 




Je vous rappelle
qu`il y a près d`une vingtaine de candidats qui se sont signalés pour cette
élection...




Nous parlons des
grands candidats




 




Vous êtes donc en
train de dire qu`il y a de petits candidats ?




 




Nous parlons des
grands candidats. Le président Laurent Gbagbo, avant même que nous l`approchions
avait déjà émis cette idée. Il est donc d`accord. Le président Francis Wodié, le
secrétariat du Pdci ont donné leur accord de principe. Nous nous appuyons sur
ces accords pour dire que ce débat aura lieu. Nous sommes en train de nous
organiser en conséquence.




 




Concrètement,
comment ce débat va-t-il se passer ?




L`idéal serait
d`avoir tous les candidats sur un même plateau. Mais vous imaginez le nombre de
candidats en Côte d`Ivoire. 20 à 37 candidats pour un plateau, cela sera
difficile. Donc nous allons sélectionner les candidats.




 




Sur la base de
quels critères ?




Nous allons tenir
compte du critère de financement des partis politiques. En Côte d`ivoire, ce
financement se fait par rapport à la représentativité nationale. Il faut avoir
des députés, des maires, des présidents de conseils généraux pour pouvoir
profiter du financement. Nous allons nous appuyer sur ce schéma pour
sélectionner les candidats qui pourront venir à notre débat. Aux Etats-Unis, il
y a 200 candidats, mais, il n`y a que deux qui arrivent au débat. Nous pensons
que ce sont les principaux candidats que sont les candidats Laurent Gbagbo,
Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara, qui doivent participer au débat.




 




A propos de la
paternité du débat, il y a polémique entre votre structure et la Rti. De quoi
s`agit-il concrètement ?




D`abord, il faut
savoir que partout ailleurs dans le monde, où ce genre de débat a eu lieu, c`est
la société civile qui organise. Ici, en Côte d`ivoire, c`est pour la première
fois que ce débat doit avoir lieu. Nous avons l`appui et le soutien du ministre
de la communication, du président du conseil d`administration de la Rti. Par
ailleurs, nous avons approché le Cnca, dont le rôle est de contrôler les
émissions à la télévision et de veiller à ce que tous les courants d`opinion
aient accès aux médias d`Etat. Pour être en conformité avec ces principes de
régulations. Le Cnca est ouvert à la discussion. Nous sommes une structure de la
société civile qui a déjà fait ses preuves et nous voulons utiliser la Rti
uniquement comme un canal de diffusion. La Rti a l`habitude d`organiser les
débats politiques, donc il se pourrait que la Rti pense qu`organiser ce genre de
débat soit de son ressort. Il ne s`agit pas d`émission ordinaire politique, bien
plus. C`est le candidat à la magistrature suprême de notre pays qui sera face
aux électeurs. Il ne faudrait pas que les responsables de la télévision
confondent leurs émissions politiques avec le caractère que nous voulons donner
au débat entre les différents candidats.




 




Pour l`heure,
avez-vous réussi à aplanir le différend ?




Il n`y a pas de
différend en tant que tel mais nous ne nous sommes pas encore très bien
expliqués. Il y a encore des incompréhensions. Or, nous avons les moyens de
notre politique. Nous allons monter tout un studio pour notre émission et avoir
tout ce qu`il faut comme appareil. Donc, c`est à nous d`organiser cela et la
télévision ne fera que la diffuser en direct.




 




L'inter  – 

écrit :
« 
Débat
télévisé lors des présidentielles: M. Thomas Zahui, président de « ELAN » « Nous
avons déjà l'accord des candidats pour un face à face avec le peuple »




 






Pour porter un coup au 29 novembre
: Le Fpi prépare des troubles sociaux...
 




Le Nouveau
Réveil  – « 
A
moins de trois mois de la présidentielle, le Fpi n`a pas encore abandonné la
logique des complots. Dans son viseur, le président Bédié et le Pdci-Rda qui
perturbent sérieusement les plans des refondateurs qui veulent coûte que coûte
se maintenir au pouvoir en dépit de leur minorité. De quoi s`agit-il ?

Selon des informations concordantes, les tenants du régime actuel seraient en
train de concocter une manifestation de violence de grande portée qui mettra en
première ligne des "jeunes patriotes" vêtus de tee-shirts à l`effigie du
président Bédié et du Premier Ministre Banny. Ceux-ci vont mener une opération
de desperados contre la résidence de certains pontes du régime Fpi, détruire des
édifices publics. Le but recherché est bien évidemment de faire croire que ce
sont les barons du Pdci qui ont armé ces jeunes gens pour perpétrer ces actes de
violence et porter un coup d`arrêt au processus électoral en cours. Il s`agit en
fait de donner au Fpi et au président du Conseil constitutionnel des arguments
pour dire que les conditions ne sont pas réunies pour organiser des élections et
qu`il importe de repousser la date du 29 novembre afin de permettre de
normaliser la situation. Bien entendu, ces troubles à l`ordre public pourront
aussi servir de prétexte au régime Fpi pour procéder à des interpellations, des
auditions judiciaires de certains responsables politiques. En somme, faire
croire que le Pdci refuse d'aller aux élections et qu'il veut renverser Gbagbo.
Selon nos informations, Abidjan et la capitale politique Yamoussoukro seraient
les villes choisies par les manifestants à la solde du régime Fpi. Dans le cadre
des préparatifs de ces actes de vandalisme, des rencontres discrètes auraient
déjà eu lieu entre un député Fpi et des jeunes patriotes à Yopougon Sicogi 9.
Pour donner à cette opération les allures d`une véritable révolte populaire,
l`on avance que les conspirateurs ont prévu de favoriser l`évasion de plusieurs
prisonniers de la maison d`arrêt d`Abidjan et l`intervention de plusieurs
centaines d`individus armés. Des sécurocrates du Pdci seraient déjà au parfum de
cet énième complot qui ne s`explique que par le refus du Fpi d`aller aux
élections par tous les moyens. Il faut donc rester extrêmement vigilants
jusqu`aux élections du 29 novembre. »




 






A propos de la nomination de Paul
Yao N'Dré - Alassane Ouattara donne dans la provocation
  




Notre Voie  – « A
moins de trois mois de la présidentielle, Alassane Ouattara semble avoir opté
pour les attitudes provocatrices. En témoignent, ses déclarations au sujet de la
nomination du président du Conseil constitutionnel. A peine est-il rentré qu'il
engage déjà une polémique inutile. Alassane Dramane Ouattara, président du
Rassemblement des républicains (RDR), de retour de France le mercredi dernier, a
regretté que le président Gbagbo ne l'ait pas consulté avant de nommer le
professeur Paul Yao N'Dré à la présidence du Conseil constitutionnel. « Je pense
qu'il aurait pu nous consulter, au moins les principaux acteurs dans un sens de
consensus, au moins avant de nommer Paul Yao N'Dré. Ceci n'a pas été le cas, je
trouve que c'est dommage. La démarche aurait été bonne si le président Bédié, le
Premier ministre Soro et moi-même avions été contactés par le président, tout
simplement par courtoisie, à titre d'information», rapporte Fraternité Matin
d'hier, citant Alassane Ouattara. [...] Au fond, la déclaration du président du
RDR traduit ce qui a toujours été son état d'esprit. A savoir qu'il n'arrive pas
à se faire à l'idée que le président de la Côte d'Ivoire s'appelle bel et bien
Laurent Gbagbo. Et qu'à ce titre, Laurent Gbagbo jouit des prérogatives
constitutionnelles qui ne l'obligent pas à consulter qui que ce soit avant de
nommer les membres du Conseil constitutionnel et plus particulièrement son
président. Alassane Dramane Ouattara vit dans l'illusion que la Côte d'Ivoire
est dirigée par un quatuor constitué par Laurent Gbagbo, Guillaume Soro, Henri
Konan Bédié et lui. [...] La Constitution précise les domaines où le président de
la République doit nécessairement consulter certaines institutions avant d'agir.
En plus, aucune disposition constitutionnelle n'oblige le président à requérir
l'avis de ses opposants. [...] »




 






SEM Emile Ilboudo aux
ressortissants Burkinabè : "Ne vous investissez pas dans les élections des
Ivoiriens"




Notre Voie  – «L`Association
des jeunes burkinabè de la sous-préfecture de Grand-Zattry a exprimé le mercredi
19 août dernier, lors de l`investiture du président de ladite structure, sa
reconnaissance à Son Excellence l`ambassadeur du Burkina Faso en Côte d`Ivoire,
Emile IIboudo pour ses actions en faveur de la jeunesse burkinabé résidant à
Grand-Zattry et pour son implication dans le retour de la paix en Côte d`Ivoire.
[...] Son excellence Emile IIboudo, à la tête d`une délégation composée de consuls
généraux de Bouaké et d`Abidjan a salué l`esprit de grandeur et de maturité des
autochtones Bété ainsi que des autorités de la région pour avoir favorisé
l`intégration de ses compatriotes. S`adressant aux jeunes, l`ambassadeur les a
exhortés au travail. "le tonnage de vos productions doit aller du simple au
double. Car cette association est un instrument de développement. Et si
Grand-Zattry se développe, c`est un Burkinabé qui se développe également",
a-t-il précisé avant d`inviter chacun à accompagner l`accord politique de
Ouagadougou pour aider la Côte d`Ivoire à sortir de la crise par les élections.
Son Excellence Emile IIboudo a invité l`auditoire à déclarer les naissances et à
faire ses papiers car selon lui, les Burkinabè de l`étranger prendront bientôt
part au vote de leur pays d`origine. Une fois de plus, l`hôte de marque a
exhorté les uns et les autres à la pérennisation de la paix et souhaité que les
élections en Côte d`Ivoire se tiennent à la date indiquée afin de sortir
définitivement de la crise. Le tout nouveau président investi, M. lnoussa a
promis de tout mettre en œuvre pour faire du développement son cheval de
bataille. »
 




 




La Banque
mondiale explique son projet d'assistance post-conflit à Bondoukou




Bondoukou, 03 sep
(AIP)-

Le coordonnateur régional pour le Zanzan du Projet d'assistance
post-conflit (PAPC), Zokou Patrice a expliqué jeudi à Bondoukou aux
représentants d'une trentaine de village du département, les conditionnalités
requises pour bénéficier des projets de réhabilitation communautaire
d'infrastructures villageoises, dans le cadre de cette initiative de la Banque
mondiale. Le PAPC, financé par la Banque mondiale, a été mis en place pour
accompagner le processus de sortie de crise dans le cadre de l'accord politique
de Ouagadougou, signé entre l'Etat de Côte d'Ivoire et les Forces nouvelles (FN,
ex-rebelles). La composante III du PAPC prend en compte la reconstruction et la
réhabilitation de l'infrastructure communautaire, la restauration du capital
social et de la cohésion sociale au niveau communautaire par des activités de
promotion de la solidarité et de la réconciliation, ainsi que le renforcement
des capacités pour un développement et une gestion efficace du sous-projet.
Selon M. Zokou, seuls les écoles, centres de santé, systèmes d'adduction d'eau,
marchés, ponts, moulins, etc. sont éligibles à la reconstruction et la
réhabilitation, quant les émissions radios, compétitions sportives, réunion
intercommunales, formation de leaders communautaires, entre autres, peuvent
connaître une restauration du capital social. Les projets concernant les biens
privés ainsi que les investissements nouveaux ne sont pas éligibles au PAPC, a
fait remarquer le coordonnateur régional. Il a rappelé que les fonds disponibles
pour l'ensemble des projets qui seront financés dans neuf régions de la Côte
d'Ivoire, sont de 20 milliards FCFA, provenant de l'Association internationale
de développement, une autre structure de la Banque mondiale. [...] ».