REVUE DE PRESSE DU LUNDI 11 JANVIER 2010

11 jan 2010

REVUE DE PRESSE DU LUNDI 11 JANVIER 2010







CHOI 
prépare sa participation à la la réunion du conseil de sécurité de l'ONU




Fraternité Matin  –
« 
Le
Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte
d'Ivoire, YJ. Choi, participera le 21 janvier prochain à New York, à une réunion
du Conseil de sécurité sur la Côte d'Ivoire. Cette annonce a été faite jeudi à
Abidjan par le Porte-parole par intérim de l'Opération des Nations Unies en Côte
d'Ivoire (ONUCI), Kenneth Blackman.





S'exprimant lors du point de presse hebdomadaire de la mission, M. Blackman a
indiqué qu'en prélude à cette réunion, M. Choi «  a relancé ses consultations
périodiques avec les acteurs principaux du processus électoral en Cote d'Ivoire
et rencontré les chefs du RDR (Alassane Dramane Ouattara) et du PDCI (Henri
Konan Bédié) entre lundi et hier. D'autres rencontres suivront », a-t-il ajouté.
[...] La Porte-parole par intérim a également annoncé la tenue du 14 au 16 janvier
2010, de la deuxième édition des Journées de l'ONUCI - une sensibilisation de
proximité multiforme - dans la localité de Hiré, à 220 km au nord-ouest 
d'Abidjan. Ce « sera une occasion pour la Mission de solliciter toutes les
populations de cette région à adhérer pour un climat électoral apaise », a
souligné M. Blackman. Plusieurs activités seront organisées durant ces trois
jours, dont un concert artistique pour la paix, un forum d'échanges, un cross
populaire, des matchs de football, des consultations médicales ainsi que la
conférence de presse hebdomadaire de l'ONUCI. »




 




Statistiques du
contentieux




Fraternité Matin  –
« 
Le
contentieux d'inscription sur la liste électorale provisoire vient de s'achever
ce samedi 09 janvier 2010 sur l'ensemble du territoire national et à l'étranger.
Les résultats provisoires qui restent à consolider quand toutes les statistiques
provenant des Commissions électorales locales seront disponibles mettent en
évidence les éléments  suivants à début janvier 2010.




Requêtes reçues :
558.623




Requêtes traitées :
512.755




Données validées
sous la responsabilité des superviseurs : 465.461




Données rejetées :
33.476




Dossiers en cours :
10.446




Ré-enrôlement à
faire : 4.922




Dossier à
compléter : 1.810




Les procès verbaux
(PV) de délibération des cas litigieux sont disponibles, consultables et
vérification auprès des 415 Commissions locales  reparties à travers le
territoire national et à l'étranger (...)  ».




 




Gervais Coulibaly
(porte-parole du président de la République) à propos de la fraude à la CEI :
"Mambé a procédé à un croisement clandestin"




Notre Voie  – « 
Le
jeudi 07 janvier 2010, le Premier ministre Guillaume Soro, en sa qualité de
maître d`ouvrage du processus de sortie de crise, a convoqué une réunion pour
faire le point de la gestion du contentieux des inscriptions sur la liste
électorale provisoire. L`exposé de Monsieur Beugré Mambé Robert, Président de la
CEl, fait en présence du représentant spécial du facilitateur et du représentant
spécial du Secrétaire général de l`ONU, a révélé qu`il a autorisé de manière
unilatérale et discrétionnaire un croisement complémentaire hors la SAGEM et
l`INS qui a mis en évidence quatre cent vingt neuf mille (429000) personnes à
intégrer d`office à la liste électorale définitive qu`elles se soient présentées
ou non aux réclamations. Pour ce faire, il a commis une soixantaine
d`informaticiens à l`installation d`un logiciel parallèle dénommé Liste
électorale provisoire 2009 (LEP 2009). Ce logiciel, pourtant rejeté par la
Commission centrale de la CEl le 14 décembre 2009, devrait permettre d`intégrer
les quatre cent vingt neuf mille (429 000) personnes issues de la liste
litigieuse et résultant du croisement clandestin. Cette attitude, de toute
évidence attentatoire à la confiance placée en la personne du président de la
CEl, viole l`alinéa 1 de l`article 17 du décret n° 2008-136 du 14 avril 2008 qui
confie la validation des réclamations à la seule Commission centrale de la CEl,
organe délibérant. Par ailleurs, d`autres vices de procédure ont été constatés
dans le traitement des réclamations au niveau des commissions locales de la CEl
où des commissaires locaux ont refusé de recevoir et de viser des fiches de
réclamation en violation totale des dispositions du décret n° 2008-136 du 14
avril 2008 sus-cité fixant les modalités d`établissement de la nouvelle liste
électorale. Ce qui n`a pas permis à des pétitionnaires d`ester en justice dans
les délais requis.[...]. Face à ces faits, le président de la République, garant
de la cohésion sociale, rappelle que l`objectif principal aujourd`hui est et
demeure les élections, préalable absolu au retour de la paix. C`est pourquoi
l`établissement d`une liste électorale définitive fiable est un impératif. Son
traitement doit être mené avec la plus grande rigueur pour redonner confiance à
l`ensemble de la communauté nationale et internationale en vue d`une élection
juste, crédible et transparente. Aucune fraude, aucune manipulation, aucun
tripatouillage de quelque nature que ce soit ne saurait être toléré, même
émanant de la CEl qui reste et demeure un maillon essentiel du processus. »




 




Meité Sindou,
porte-parole du Premier ministre – « La primature ordonne le retrait du CD »




Fraternité Matin  –
« 
Cette
affaire a fait l'objet d'une réunion de crise convoquée par le Premier ministre
jeudi, à la Primature. En présence du président de la Commission électoral
indépendante, certains de ses vice-présidents et les structures nationales
d'identification. Aux fins, pour le. Premier ministre, de s'informer sur la
question. La CEI a indiqué que par ses services techniques, elle a fait élaborer
un CD, qu'elle considère comme un document de référence l'issue d'un croisement
technique interne .Ce support comporte une base de données sur cette affaire des
429.000 pétitionnaires, tirés de la liste des 1.033.000 pétitionnaires dont le
statut citoyen n'était pas encore totalement défini aux fins d'inscription sur
la liste définitive. Cette base de données, selon la CEI, devrait servir de base
de référence. Il se trouve que cette procédure n'avait pas été approuvée par la
Commission centrale de la CEI. Mais toujours est-il que cette affaire suscite
méfiance et inquiétude chez certains  acteurs importants notamment le camp
présidentiel. A l'issue de cette réunion, et pour essayer de restaurer la
confiance, le Premier ministre a prescrit une série de mesure .Premièrement .il
a recommandé au président de la CEI de retirer le support numérique comportant
les 429.000 pétitionnaires des commissions locales. Et qu'il soit déposé au
service technique de la primature pour examen.(...)




 




La CEI confirme la
fin des contentieux et rejette toute accusation de fraude 




fninfo.ci

– « La Commission Electorale Indépendante (CEI) a, dans son communiqué
hebdomadaire du dimanche 10 janvier 2010, confirmé la fin de la période du
contentieux d'inscription sur la liste électorale provisoire avant de rejeter
toute accusation de fraude dont elle fait l'objet depuis quelques jours. « Le
contentieux d'inscription sur la liste électorale provisoire vient de s'achever
ce samedi 09 Janvier 2010 sur l'ensemble du territoire national et à l'étranger.
» a fait savoir le Porte parole adjoint de la CEI, M. Bamba Yacouba, qui a signé
le communiqué hebdomadaire de cette institution. Il a par ailleurs tenu à
préciser que le Président de la CEI, M. Robert Beugré Mambé, n'a jamais donné
d'instruction pour l'inscription de personnes provenant d'un quelconque
croisement sur la liste électorale définitive. « Le Président de la Commission
Electorale Indépendante n'a, en aucun moment, pris une initiative tendant à
inscrire d'office des personnes qui ne se sont pas soumises au contentieux dans
les Commissions Electorales Locales comme cela est exigé par les procédures en
vigueur. » a affirmé M. Bamba Yacouba. Poursuivant, le Porte parole adjoint de
la CEI a ajouté que seules les personnes issues des CEI locales et validées par
les Superviseurs de la Commission Centrale seront inscrites sur la liste
électorale définitive. Notons que la CEI a reçu 558.623 requêtes, parmi
lesquelles 512.755 ont été traitées. Au niveau des requêtes traitées, 465.461
données ont été validées sous la responsabilité des Superviseurs contre 33.476
données rejetées. »




 




 




Bamba Yacouba répond
aux mensonges du camp présidentiel: "Le crime que Mambé aurait commis c'est de
n'avoir pas accepté de proroger une 3ème fois la phase du contentieux électoral"




Le Nouveau Réveil  –
« 
Monsieur
le porte-parole adjoint de la Cei, on est au bord d'une crise institutionnelle
entre la Cei et la présidence de la République qui, dans un communiqué, vous
accuse de manipuler le processus électoral. Quel est le fond de cette affaire ?




Le fond de cette
affaire, c'est que le crime qu'on aurait commis, c'est le fait de n'avoir pas
accepté de proroger une troisième fois la phase du contentieux électoral. Nous
avons décidé d'arrêter à cette étape, ça suppose que nous allons commencer la
validation de la liste électorale provisoire qui va devenir la liste électorale
définitive et à partir de ça, commencer l'impression et la distribution des
cartes nationales d'identité et les cartes d'électeur et il y a le scrutin. Là,
vous voyez que nous sommes proches des échéances. Ce phénomène de 429.000 n'est
pas nouveau.




Depuis le mois de
novembre lorsque le croisement a été effectué et qu'il y a eu 2,7 millions de
personnes croisées négativement qu'on n'a retrouvées sur aucun fichier, la Cei,
en qualité de superviseur, contrôleur de cette opération, a commis son équipe
technique pour voir si le travail a été bien fait par les deux opérateurs. Nous
avions donc commis cette équipe pour faire son travail de recherche avec des
critères validés par la commission centrale de la Cei.[...]




 




Ces 429.000
personnes figuraient déjà sur la liste électorale de 2000 ?




Sur la liste 2000 où
leurs ascendants, c'est-à-dire entre ces personnes-là ou leurs ascendants, ces
personnes étaient sur la liste 2000. Ce sont donc 426 mille personnes que notre
équipe s'employait à retrouver et y croiser négativement. Cela, directement ou
par ascendance sur la liste de 2000.




 




Est-ce que le chef
de l'Etat est informé ?




Naturellement, cela
a été évoqué à la rencontre de Yamoussoukro bien avant que cela soit présenté au
dernier Cpc. Mais ce Cd a été remis à chacun des 31 membres de la commission
centrale. Mais pourquoi c'est maintenant où il faut mettre fin à la phase des
contentieux qu'on sort cette affaire qui est à la disposition de tous depuis
longtemps. Nous avions même longuement communiqué là-dessus par voie de presse.




 




Est-ce qu'il est
loisible au président de la Cei ou membre de son bureau de faire intégrer des
gens dans le fichier électoral sans l'avis de Sagem ou de l'Ins ?




C'est pratiquement
impossible, si tel était le cas, je vous ai dit que nous avions eu cette
liste-là bien avant l'affichage.[...]




Il n'y a donc que
l'Ins et la Sagem qui peuvent introduire ou sortir des gens du fichier électoral
?




C'est obligé puisque
nous ne pouvons pas avoir accès à ça. Il n'y a que ces deux qui en ont le
droit. »




 






Mêleu Mathieu, DG : « Il y a eu des choses pas trop correctes
». L'INS décline toute responsabilité





L'Inter  – « 

« Ni l'INS, ni la Sagem n'ont procédé à aucun croisement depuis le dernier que
tout le monde connaît. Nous avons participé à trois croisements. Il faut
préciser qu'avant chacun de ces croisements, le critère de croisement, le module
utilisé pour le faire, font toujours l'objet d'une discussion au niveau du
secrétariat technique, au niveau du Groupe de travail qui est un groupe de
travail interministériel. C'est lorsque tout le monde est d'accord avec les
critères et le module utilisés que d'ailleurs nous exigeons que le maître
d'ouvrage, qui est la Primature, en conformité avec la CEI, nous écrive pour
dire : ''on est d'accord avec ce dispositif pour lancer les croisements''. C'est
ainsi qu'après le premier croisement, il y a eu 2 752 181 personnes dont le
statut n'était pas élucidé. Et comme le nombre semblait élevé, on nous a demandé
de revoir les critères pour un autre croisement en vue de récupérer d'autres
Ivoiriens qui seraient dans ce lot de 2 752 181 personnes. Là encore, les
nouveaux critères à utiliser ont fait l'objet de discussion avec la primature,
la CEI, l'ONI et la CNSI. Et quand nous (INS et Sagem) sommes d'accord, nous
demandons que le maître d'ouvrage nous écrive et nous donne des instructions
pour dire : ''on est d'accord, procédez au croisement''. Après le deuxième
croisement, il est resté encore 1.911.230 personnes dont la situation n'était
pas encore claire. Normalement, on devait s'arrêter à ce niveau lorsque le
Premier ministre a demandé de procéder à un tout dernier croisement. Mais avant
de faire ce dernier croisement, nous nous sommes retrouvés à Yamoussoukro à une
rencontre au sommet parce que le président de la République, le Premier
ministre, le président de la CEI, en tout cas tous les présidents d'Institution
impliqués dans le processus de sortie de crise, y étaient. Là encore, nous avons
défini les critères ensemble. Et on a demandé que le Premier ministre nous
écrive formellement pour dire : ''lancez ce dernier croisement''. Au terme donc
de ce dernier croisement, nous sommes arrivés à une situation où on avait encore
1 033 985 personnes dont le statut restait à élucider. On a considéré que les
croisements automatiques par informatique étaient terminés et qu'il fallait
mettre les 1 033 985 personnes au contentieux. Depuis cette date, nous n'avons
procédé à aucun autre croisement. Le croisement supplémentaire dont il s'agit
aujourd'hui, a été fait uniquement par peut-être les experts de la CEI. Mais, je
voudrais vraiment porter un démenti formel pour dire que ni l'Institut national
de la statistique ni la Sagem sécurité n'ont participé à ce croisement appelé
''croisement complémentaire'' [...]».




 




Affaire "Fraude sur
la liste électorale par Mambé" : Déclaration du FPI / Les non-dits du scandale
Mambé-Gomis




Notre Voie  – « 
Le
samedi 9 janvier 2010, la presse nationale a révélé une opération de fraude sur
la liste électorale dont le président de la Commission Electorale Indépendante
(CEI) Beugré Mambé se serait rendu coupable. [...] Notre position au vu de ce qui
précède, le FPI ne peut plus faire confiance à Beugré Mambé.




Car si déjà il se
rend coupable de fraude au niveau de la confection de la liste électorale, en
collaboration avec le vice-président Jean-Baptiste Gomis, représentant du RDR au
sein de la CEI et qui n'est pas à son premier forfait, il est évident que le
président de la CEI ne peut être capable de proclamer les vrais résultats sortis
des urnes. Il peut les manipuler en faveur de son camp.




Au-delà du président
Mambé, le FPI ne peut non plus faire confiance à la CEI elle-même dans sa
composition actuelle. Par conséquent, le FPI exige :




1- La démission de
monsieur Beugré Mambé de la présidence de la CEI




2- la radiation du
vice-président Gomis Jean-Baptiste de la CEI pour activisme au profit du RDR




3- la poursuite
judiciaire de M. Mambé et de toutes les personnes impliquées dans cette
opération frauduleuse.




4- l'audit de la
liste électorale et de la CEI.




5- le prolongement
du contentieux en vue d'annuler l'inscription frauduleuse des 429 000 personnes.
Mais aussi pour extraire de la liste tous les autres cas de fraude qui ont été
introduits certainement avec l'aide de Mambé et Gomis. 6-la recomposition de la
CEI de façon à équilibrer les parties en présence. La Côte d'Ivoire, notre pays,
sort d'une crise sans précédent. Depuis 8 ans, les Ivoiriens courent derrière la
paix dont nous sentons les prémices avec l'accord politique de Ouagadougou
initié par le président Laurent Gbagbo. Le FPI invite tous les acteurs
politiques à tout mettre en œuvre pour ne pas compromettre la transparence des
élections qui, de l'avis de tous, vont nous conduire à la paix définitive.




 




ADO (président du Rdr)
à Jacqueville : "Mambé est un homme intègre et honnête et propre"




Le Nouveau Réveil  –
« 
Hier
dimanche 10 janvier, Ado a animé une importante rencontre avec les chefs
religieux, coutumiers et la population des 3 A (Aladian, Ahizi, Akouri) sur la
place publique de ladite ville. [...] Sous une pluie battante, le ton grave, la
voix imposante et le regard vif, Alassane Ouattara a dénoncé vigoureusement
l'accusation faite au président de la Commission électorale indépendante (Cei)
par le chef de l'Etat par le canal de son porte-parole Gervais Coulibaly. "Mambé
est un homme intègre, honnête et propre. Il ne faut pas qu'on les convoque à 3
heures du matin pour l'intimider ! Tout le monde fait partie de la Cei !
Moi-même, j'ai vécu la même chose. La Cei fait son travail, c'est pour cela que
les refondateurs l'insultent. Je demande pardon au chef de l'Etat de dire à ses
gens de se calmer. Allons aux élections et les Ivoiriens choisiront leur
président. [...] »




 




Blé Goudé (DNCA
chargé de la jeunesse) :"Mambé est un danger pour la Côte d'Ivoire"




Notre Voie  – «
L'affaire
de la fraude sur la liste électorale réalisée par le président de la CEI, Beugré
Mambé, mobilise l'actualité. Hier en fin de matinée, à l'Hôtel communal de
Cocody, tous les responsables de la galaxie patriotique se sont retrouvés autour
de Charles Blé Goudé, directeur national adjoint de campagne du candidat Gbagbo
chargé de la jeunesse, pour arrêter de grandes décisions. A la sortie des
discussions qui ont duré plus de 3h, Blé Goudé a indiqué à la presse les
décisions de la jeunesse. «Les faits ont été reconnus par Mambé devant Choi,
Baldini et Guillaume Soro. Nous considérons que c'est une trahison. C'est
pourquoi la direction nationale adjointe de la jeunesse exige la dissolution de
la CEI, que Robert Beugré Mambé soit mis à la disposition de la justice parce
qu'il est un danger pour la Côte d'Ivoire, que les élections soient confiées à
une structure dirigée par les responsables religieux», a-t-il soutenu. Avant
d'ajouter que "les jeunes demandent un audit sur la gestion financière des
ressources de la CEI. On ne peut pas faire de telles dépenses alors que le
premier responsable est venu pour servir des partis politiques". En attendant la
grande rencontre de la jeunesse prévue demain au Palais de culture, Blé a appelé
au «calme et à la sérénité, parce que ceux qui agissent ainsi ont l'intention de
remettre en cause le processus électoral».




 




Les raisons de la
visite d'Ali Bongo




Notre Voie




Le président
gabonais
, Ali BONGO,
effectuera une visite officielle en Côte d'Ivoire de 48h du mardi 12 au mercredi
13 janvier 2010. il sera reçu à Yamoussoukro par son homologue ivoirien, Laurent
Gbagbo. Selon des sources informées ; cette visite vise à renforcer les
relations politiques, diplomatiques, économiques, etc. entre la Côte d'Ivoire et
le Gabon.