REVUE DE PRESSE DU LUNDI 10 JUIN 2013

10 juin 2013

REVUE DE PRESSE DU LUNDI 10 JUIN 2013






La

Sous-préfecture de Kouan-Houlé réhabilitée




 




Le

Quotidien d'Abidjan –




L'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) est en train de

réhabiliter les locaux de la sous-préfecture de Kouan-Houlé (département de

Danané) dans le cadre des projets à impact rapide qu'elle réalise dans les

régions où elle tient des journées de sensibilisation au processus de paix et de

réconciliation.




 




 






Daloa : Sensibilisation au renforcement de la cohésion sociale




 






Fraternité Matin -


La

plateforme d'échanges et de sensibilisation des Nations unies avec les élus,

cadres et groupements de jeunesse de l'Ouest pour le renforcement de la cohésion

sociale et la promotion de la réconciliation nationale a eu lieu, récemment à

Daloa. La réconciliation et la reconstruction sociale étaient au centre des

débats. Le préfet de Daloa, Brou Kouamé, a salué les efforts inlassables de la

mission de l'Onu en Côte d'Ivoire pour rétablir la paix. Du 3 au 4 juin, 50

participants, notamment des préfets de région, maires, leaders d'opinion, des

représentants des Nations unies étaient présents. S'adressant aux différentes

composantes des groupements de leaders d'opinion, Ousmane Kané, chef du bureau

du secteur Ouest de l'Onuci, a réaffirmé la prépondérance de leurs rôles et de

leurs actions dans la réinstauration de la cohésion sociale. « Notre

rencontre est une tribune d'échanges de nos expériences. Les crises successives

ont fortement ébranlé la région du grand ouest qui en porte encore les

stigmates. Votre rôle pour recoudre le tissu social est primordial
», a-t-il

indiqué. Avant de lancer un appel : « Il faut tourner le dos à la

récrimination, la haine et la vengeance. Il vous faut promouvoir partout à

travers la région le pardon et la cohésion sociale. Faites en sorte que tous

s'approprient le processus de paix et de réconciliation
».




 




 




En

visite au Congo Brazzaville / Ouattara parle de la décision de la ci sur le cas

Gbagbo




 






L'Inter, Soir Info, Fraternité Matin, Le Mandat, Le Nouveau Réveil,

L'Expression, Le Jour plus, Le Patriote -


En

visite officielle au Congo Brazzaville, le président Alassane Ouattara a

commenté la décision prise lundi dernier par la Cour pénale internationale (Cpi)

de remettre à plus tard le verdict sur l'audience de confirmation des charges

contre Laurent Gbagbo. Au terme d'un séjour de 72h en terre congolaise, le chef

de l'état s'est prêté aux questions des journalistes dans la ville de

Pointe-Noire, la capitale économique. Il a été invité, notamment, à réagir à la

décision de la Cpi. A en croire l'Afp, qui rapporte l'information, il a déclaré

que cette juridiction internationale «travaille en toute liberté». Et

comme pour dire qu'il n'interfère nullement dans la cuisine intérieure de la Cpi

il a ajouté: «Pour le reste, la CPI fait son travail, je fais le mien pour

mes compatriotes»
. Il a par ailleurs indiqué que la balle est plutôt dans le

camp du procureur, qui est appelé à fournir d'autres éléments de preuve. «Il

appartient au procureur de fournir les documents complémentaires qui lui ont été

demandés
». Le plus important pour son pays, a-t-il renchéri, c'est la

décision finale. «Les juges de la Cour pénale internationale ont fait un

certain nombre de recommandations         qui s'adressent au procureur. La Côte

d'Ivoire attend simple- ment la décision de la CPI
», a-t-il commenté.

Rappelons qu'au terme de l'audience de confirmation des charges qui s'est

achevée le 28 février, la Cpi devait dire, le lundi 3 juin dernier, si elle

confirmait ou pas les charges retenues contre l'ancien président ivoirien. C'est

ce verdict qui a été reporté, la Cour ayant jugé insuffisantes les preuves

réunies par la procureure Fatou Bensouda. Laurent Gbagbo ne sera donc situé sur

son sort qu'en 2014.




 




 






CPI : Bensouda va faire appel





 






Nord-Sud –


Le

bureau de la procureure de la Cour pénale internationale (Cpi), n'a

effectivement pas dit son dernier mot, dans le dossier Gbagbo. De source proche

de la juridiction internationale, l'on a apprend, environ une semaine après la

décision des juges de la Cour d'ajourner leur délibéré, sur un éventuel procès

de l'ancien dirigeant ivoirien et de demander, dans le même temps, à la

procureure, de compléter ses éléments à charges, que Fatou Bensouda va faire

appel. En clair, avant de verser tout nouvel élément dans le dossier de Laurent

Gbagbo, la procureure de la Cpi va demander aux juges de revenir sur leur

décision, en argumentant sur la validité des premiers éléments déjà portés à la

connaissance des juges. [...]




 




 






Fabrication de preuves pour la CPI : L'ONUCI au secours de Ouattara




 




Le

Temps –


A peine les ondes sismiques de la décision de la Cour pénale internationale

(Cpi) de reporter le verdict de l'audience de Laurent Gbagbo pour « insuffisance

de preuves » se stabilisent-elles que l'Opération des Nations unies pour la Côte

d'Ivoire (ONUCI), complice du régime Ouattara, s'est mise à l'œuvre pour le

secourir. Le samedi 8 juin 2013, sur le stade de Duékoué où, depuis 2005, ses

hélicos atterrissent, l'Onuci a fait un montage digne des films d'Hollywood.

Selon nos sources sur place, elle y a installé la carcasse d'un hélico. Et des

deux côtés, elle a mis le feu à des tas d'herbes sèches constituées pour les

besoins de la cause. Ainsi de loin, avec la grande flamme qui monte, l'on a

l'impression que l'hélico est en feu. Un homme joue la victime. Passant à côté

du feu, il tombe. Il est pris en charge. Parce qu'on a pris sois d'apprêter une

ambulance dans laquelle il est mis. Pendant ce temps, la scène est soigneusement

filmée. Interdit de voir la simulation de plus près. Pourquoi ce montage ? Selon

les indiscrétions, il s'agirait de monter une scène où l'Onuci aurait été la

cible des partisans de Gbagbo au point d'incendier un de ses hélicos. Selon la

porte-parole de l'Onuci, Mme Sylvie Van Den Wildenberg que nous avons eue au

téléphone dimanche 9 juin, pour en savoir plus sur la simulation, (...) « il y a

un exercice de simulation de crash d'hélicoptère. Les casques bleus ont mené

cette simulation, mais le véritable exercice aura lieu le 25 (juin 2013). Les

autorités civiles et militaires et de police, à Duékoué, sont au courant. Les

populations sont en train d'être sensibilisées, mais hier, c'était juste la

préparation de l'exercice. Il se peut qu'il y ait eu un rassemblement de

personnes autour de l'hélicoptère, mais rien de grave ». Mais un tel exercice,

s'il fait partie des entraînements d'une armée, paraît bien curieux ces

temps-ci. L'on sait que l'ONUCI et la Force Licorne ont combattu aux côtés des

Forces pro-Ouattara pour la conquête du pouvoir. (...) Demander à Fatou Bensouda,

procureur de la CPI, de chercher d'autres preuves, capables de justifier un

autre procès contre Gbagbo relativement à la crise ivoirienne, C'est réclamer à

Ouattara qui a fait partir Gbagbo à la CPI, ces mêmes preuves. 'Mais cette

requête interpelle également l'Onuci qui soutient ce régime (...). C'est pourquoi

il n'est pas surprenant de la voir fabriquer des preuves à envoyer à Fatou

Bensouda pour sauver le régime Ouattara. [...]




 




 






Front populaire Ivoirien : L'ex-président de la JFPI accusé d'atteinte à la

sûreté de l'Etat




 




Le

Mandat, L'Inter, L'Expression, Le Jour plus, Le Patriote -


On en

sait plus sur l'arrestation, le vendredi 7 juin, de Justin Koua. Le leader de la

jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI), a été interpellé au siège du parti à

Attoban-Cocody par le CCDO. Les autorités ivoiriennes avaient déjà tenté de

l'arrêter plus tôt dans la semaine, sans succès. Elles l'accusent d'atteinte à

la sûreté de l'Etat. Le gouvernement affirme que le nom de Justin Koua a été

cité par des personnes interpellées après certaines attaques qui ont visé

plusieurs villes du pays ces derniers temps. Il est aussi soupçonné d'être en

lien avec des ex-combattants de Bouaké. Ces démobilisés ont violemment manifesté

en d'avril dernier, se plaignant de ne pas avoir touché de dédommagements suite

à leur engagement au combat. Des accusations démenties par les cadres de la

jeunesse du FPI qui dénoncent une arrestation politique. Justin Koua a démarré

il y a un mois une grande tournée dans le pays pour « l'éveil des consciences ».

C'est donc la popularité de leur leader qui aurait gêné le pouvoir selon eux.

Autre élément qui expliquerait l'interpellation de leur chef : la déconvenue du

gouvernement après l'annonce des juges de la CPI le lundi 3 juin qui demandent

plus de preuves avant de confirmer les charges contre Laurent Gbagbo. Justin

Koua est, selon toute probabilité, détenu à la DST, à Abidjan. Il rencontrera un

juge en début de semaine.






                       




 






Jfpi : Un intérimaire nommé




 






Fraternité Matin -


Après

l'arrestation de son secrétaire national par intérim, la Jfpi a, au cours d'une

réunion, décidé de le remplacer par un intérimaire en vue de "poursuivre la

lutte". Cette information a été donnée, au cours d'une conférence de presse,

samedi après-midi, par Douhouré Dahi Nestor, choisi par ses camarades pour

assurer ce poste.




Selon

ce dernier, l'opération «éveil des consciences » lancée par Koua Justin va se

poursuivre car « elle est porteuse de bons résultats, et puisque la Jfpi ne

se limite pas à Koua Justin, notre bureau a pris des dispositions afin de ne pas

faiblir et d'atteindre nos objectifs.»
Revenant sur les conditions de son

arrestation, Dahi Nestor a indiqué qu'ils étaient en réunion, vendredi, autour

de 19h, lorsque des éléments du Ccdo, accompagnés du commissaire du 30e

arrondissement d'Attoban, sont arrivés et ont procédé à l'arrestation de leur

leader. «Pour l'instant, après plusieurs démarches, nous ne savons pas

l'endroit où il est maintenu, mais nos recherches se poursuivent»,
a-t-il

indiqué.




 




 






Présidentielle 2015 : Le FPI annonce sa candidature. Miaka Oureto (Pdt FPI):

''Nous n'allons pas vous laisser aller...''




 




Le

Mandat, L'Intelligent d'Abidjan, LG Infos -


Tous

les moyens sont bons pour le Front populaire ivoirien (FPI) pour s'affirmer. Et,

le prétexte était bien trouvé : une fête des mères. A l'occasion de la

célébration des femmes du parti de Laurent Gbagbo, le samedi 8 juin, le

président par intérim du FPI, Miaka Oureto, a plus ou moins levé un coin du

voile sur ce qu'ils comptent faire avant les prochaines élections

présidentielles de 2015. « Ils pensent qu'ils vont aller en roue libre en

2015. Mais, c'est faux ! Non... non ! Le FPI sera là. On sera candidat et on va

gagner les élections »
, a révélé le nouveau patron du FPI, à son siège de

Cocody-Attoban, devant un gotha des personnalités de l'ex-régime des

Refondateurs. Alors que leur mentor est encore à la prison de la Haye. « Si

on fait le constat que dans le processus de réconciliation en Côte d'Ivoire,

Laurent Gbagbo constitue un maillon incontournable, pourquoi hésiter ? On

constate aujourd'hui que malgré qu'il soit en prison, il est fortement soutenu.

Malgré les brimades, nous sommes là. Et, si tous les militants du FPI décidaient

de sortir et se mettre dans la rue. A quoi allons-nous assister ?»
, a-t-il

menacé. Miaka Oureto fait ''rêver'' les pro-Gbagbo. Tout en leur faisant croire

que ''Gbagbo va revenir, parce que la vérité a triomphé à la CPI''. « Chères

mamans, il faut y croire. La victoire n'est pas loin. Ne faisons pas comme les

prisonniers d'Egypte, qui ont échappé aux griffes du pharaon et au moment où ils

arrivent à Canaan, par incrédulité ils se sont laissés effrayer »
, a-t-il

fait savoir. [...]




 




 




La

police encadre une manifestation des pro-Gbagbo




 




Le

Patriote -


Une

manifestation du Congrès panafricain pour la justice et l'égalité des peuples

(COJEP), le parti politique de Charles Blé Goudé, farouche partisan de Laurent

Gbagbo, encadrée par la police nationale ivoirienne, s'est déroulée samedi

dernier dans le calme au baron de Yopougon à l'Ouest d'Abidjan. Près d'un

millier de personnes, en majorité des élèves et étudiants membres de la

Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI) participent à ce

meeting avec pour thème, ''l'amnistie générale'', réclamée par les partisans de

l'ancien Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo.




 




 






Après la décision de la Cour suprême/ Anne Ouloto à ses partisans : "Tournons la

page et aidons Banzio à réussir sa mission"




 






L'Expression, Le Jour plus, Le Patriote -


Après la décision de la Cour suprême qui l'a déboutée en proclamant la victoire

de son adversaire, Dagobert Banzio, Anne Désirée Ouloto, candidate du Rdr aux

élections régionales, a rencontré ce week-end son équipe de campagne au Plateau.

Au cours de cette rencontre, la ministre de la Famille, de la Femme et de

l'Enfant a exhorté ses partisans à tourner la page des élections et à laisser

derrière eux les mauvais ressentiments de la campagne. « La décision de la Cour

suprême doit être respectée. Chers frères et sœurs, je vous exhorte à respecter

la décision de cette juridiction qui dit que notre frère Dagobert Banzio doit

être le président du Conseil régional du Cavally. La page des élections est donc

tournée. Je vous invite à ouvrir une nouvelle page avec le même pacte de paix et

de non violence. Je voudrais demander à tous et à chacun d'oublier tout ce qui

s'est passé pendant la campagne. Oublions et pardonnons. Ce n'est pas un signe

de faiblesse », a imploré la ministre. Poursuivant, celle qui est

affectueusement appelée ''Maman Bulldozer'' a demandé pardon à ses parents qui

ont essuyé, selon elle, toutes sortes d'injures pour s'être engagés à ses côtés.

« Je demande pardon à mon père Teyoulou Félix qui a été humilié et trainé dans

la boue à cause de moi. Pardon à ma mère Madeleine Oulaï pour toutes les

méchancetés qui ont été dites à son encontre. Pardon à Kalo Pierre pour ce qu'il

a subi et entendu. Je demande pardon à tous et à chacun. Laissez tout tomber.

Tournons la page sans rancune parce que dans la vie, il y a un temps pour toute

chose. Tout ce que Dieu fait est bon. Une porte s'est fermée, mais une autre,

plus grande est en train de s'ouvrir sur nous», a-t-elle rassuré.




Dans

sa plaidoirie, la candidate malheureuse a exhorté ses partisans à aider Dagobert

Banzio à réussir sa mission. « Nous sommes tous des fils du Cavally et à ce

titre là, nous avons l'obligation d'aider Dagobert Banzio à réussir sa mission.

Nous devons tendre la main à nos frères à qui les populations ont confié les

destinées de notre région et de nos communes. Nous ne devons pas tendre la main

dans l'hypocrisie. (...)», a précisé Anne Ouloto avant de poursuivre en ces termes

: « Le conseil régional est l'instrument de développement qui appartient à la

région du Cavally. Nous allons prier pour celui à qui les populations ont donné

le fauteuil de la présidence du conseil régional. Nous allons lui accorder

toutes nos bénédictions pour qu'il réussisse et l'aider pour qu'il puisse

réussir. Si cette mission réussit, ce sera pour nous tous. Si elle ne réussit

pas, nous aurons travaillé contre nos parents».




 




 






Des rumeurs sur des violences à Treichville




 






L'Inter, Le Jour plus -


Le jeudi 13 juin prochain, on procédera à la mise en place de la municipalité de

Treichville. La cérémonie, prévue pour être une fête, est déjà entourée de

tensions, puisque la victoire du maire Amichia François, consacrée après les

conclusions des contentieux électoraux rendues par la Chambre administrative de

la Cour suprême, n'est vraiment pas acceptée par ses adversaires. Au cours d'une

réunion le samedi 08 juin dernier au Cnac de Treichville, on constate que des

invectives à l'endroit du maire élu continuent d'être proférées. On promet même

l'enfer pour le mandat à venir. L'équipe Amichia, prenant très au sérieux ces

agissements, a décidé d'interpeller les autorités sur les conséquences à

redouter.




 




 






Courtoisie, rackets, interpellations abusives... Bredou M'Bia (Dg de la Police

nationale) aux Policiers: «Changez de comportement»




 






Soir Info -


Du

mardi 7 mai au vendredi 7 juin 2013, 4.989 fonctionnaires de Police issus de

douze préfectures et de 104 commissariats, ont suivi, à Bassam, une formation

sous forme de séminaire dont le thème était « formation et sensibilisation des

commissaires de Police sur le code de déontologie et la charte d'accueil dans

les services ». Au terme des travaux, Bredou M'Bia, le directeur général de la

Police nationale leur a rappelé la collaboration les liant aux populations qui

est en fait leur raison d'exister. « Nous devons converger vers une Police

citoyenne, imprégnée de la détresse de l'usager qui vient vers elle et obtenir

un accueil chaleureux ; toute attitude qui tranche avec les habitudes d'hier. En

clair, la Police est au service de la population. Vous devez être courtois, mais

fermes. Finies les interpellations discriminatoires. C'est en cela que tout ce

que vous appris vous servira. Donc, changez de comportement pour le bonheur des

populations », a rappelé le contrôleur général Bredou M'Bia à ces milliers de

sergents, officiers et commissaires, ajoutant que la Police a l'obligation de

s'offrir un visage humain pour bénéficier du soutien des populations dans un

difficile contexte sécuritaire sous-régional. « Ainsi, nous aurons une

population qui a confiance en sa Police et qui entretient de bons rapports avec

elle, socle important dans la lutte contre la criminalité et surtout le

terrorisme, ce phénomène des temps nouveaux qui se signale aux portes des pays

de l'Afrique de l'ouest », a-t-il indiqué insistant sur la formation et celle

qui vient de dérouler grâce au ministre d'Etat-ministre de l'Intérieur et de la






Sécurité, Hamed Bakayoko. Même son de cloche pour le Commissaire divisionnaire

Gnepa Kola Philippe qui a pro- mis que cette formation sera ventilée à tous les

fonctionnaires de police de Côte d'Ivoire. Quant au Commissaire principal Yapo

Assi Florent, au nom des séminaristes, il a salué les nouvelles méthodes

acquises. Cette formation sera suivie par des visites inopinées dans des

commissariats et préfectures de Police pour voir l'application effective de la

déontologie et de la charte d'accueil. Cette méthode sera couronnée par la

récompense du meilleur agent de Police et de celui du commissariat le plus

accueillant.




 




 






Des journalistes français à la rencontre des FRCI




 




Le

Patriote -




L'association des Journalistes de Défense (AJD) séjourne en Côte d'Ivoire depuis

le 03 juin 2013. La mission du président Bruno Fanucchi est venue à la rencontre

des Forces Républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI). Ce séjour en terre africaine

et particulièrement en Côte d'Ivoire, devrait assurément permettre aux hôtes

français de mieux s'imprégner des progrès réalisés par les autorités

ivoiriennes, en très peu de temps après la crise postélectorale.