REVUE DE PRESSE DU JEUDI 22 AVRIL 2010

22 avr 2010

REVUE DE PRESSE DU JEUDI 22 AVRIL 2010







Sortie de crise : Les émissaires de Ban Ki-moon ont fait hier,
avant leur départ, le point de leur mission au chef de l'État. Raisedon
Zenenga:"Nous savons maintenant où en est le processus de paix"




Fraternité Matin  -
La
mission d'écoute et d'évaluation des Nations Unies, présente en côte d'Ivoire
depuis le 12 avril, retourne à New York aujourd'hui. Avant son départ, elle a
fait, hier en fin d'après-midi, le point de ses 10 jours de travaux au Président
de la république au Palais de la Présidence au Plateau. L'audience qui a duré
environ une heure et demie a vu la participation du Représentant spécial du
Secrétaire Général de l'Onu en Côte d'Ivoire, Young-Jin Choi et certains de ses
collaborateurs. L'émissaire de Ban Ki-moon, Raisedon Zenenga, a affirmé à sa
sortie d'audience qu'il destine les résultats de sa mission à son patron à New
York. Aussi, s'est-il réservé d'en livrer le contenu au secrétaire général de
l'Onu qui, après avis, donnera des instructions pour publications. Toutefois, il
a dit avoir réalisé une bonne moisson. «Nous sommes venus présenter au
Président de la République les résultats de nos discussions, nous sommes venus
les partager avec lui mais également recevoir ses commentaires et points de vue
avant que nous ne finalisions notre rapport destiné au Secrétaire général des
Nations Unies. Nous avons rencontré diverses personnalités, nous avons fait une
bonne moisson d'informations. Nous savons maintenant où en est le processus de
paix, et avant de partir, nous sommes mieux fixés sur ce qui se passe et surtout
sur le rôle de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire
», a déclaré le
chef de la délégation de la mission. Autant il n'a pas révélé le contenu de sa
visite de terrain, autant il n'a rien dévoilé des observations du chef de
l'Etat. Qui avait à ses côtés son conseiller diplomatique et permanent de la
côte d'Ivoire auprès de l'Onu.




 




La mission
d`évaluation du processus de paix après ses échanges avec le président Bédié,
hier, à Daoukro : "Nous avons une meilleure idée de ce qui a causé le blocage du
processus"




Le Nouveau Réveil  -
La
mission des Nations unies, conduite par Raisedon Zenenga, qui évalue depuis
quelques jours déjà le processus de sortie de crise et le fonctionnement de sa
représentation en Côte d`Ivoire, s`est rendue hier à Daoukro pour s`entretenir
avec le président Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda. (...) " Cette
rencontre fait partie du travail que nous avons entamé depuis une dizaine de
jours. Nous sommes là pour rassembler les informations, pour avoir une meilleure
idée du processus de paix et d`envisager l'avenir de notre mission ici, l'Onuci"
a déclaré le chef de la mission à leur sortie d`audience. Poursuivant, Raisedon
Zenenga a situé le cadre de leur entrevue avec le président du Pdci-Rda : « (...)
Nous avons aussi cherché à avoir son opinion sur comment notre mission l'Onuci,
travaille, surtout comment elle pourrait mieux travailler. Il a répondu à nos
questions et il nous a aussi fait part de ses préoccupations. Nous allons en
tenir compte et faire un compte rendu au Secrétaire général" a-t-il précisé. (...)
Aujourd`hui, nous avons une meilleure idée de ce qui a causé l'interruption du
processus électoral. Nous avons les opinions des différentes parties sur comment
nous pouvons sortir de l'enlisement actuel. Et nous avons eu beaucoup de
suggestions sur ce que notre mission l'Onuci pourrait faire pour appuyer la mise
en œuvre de l'Accord de Ouagadougou et d`autres choses nouvelles que la mission
pourrait faire. Ça a été donc une mission utile, fructueuse et nous sommes
heureux des informations que nous avons reçues. C`est à nous d`aller rendre
compte au Secrétaire général" a-t-il indiqué. Pour sa part, Pr Alphonse Djédjé
Mady, Secrétaire général du Pdci-Rda, a dit "Le président Bédié a attiré
l`attention des représentants des Nations unies pour faire en sorte que
l`organisation internationale s`implique beaucoup plus positivement dans la
recherche de solution. Il s'est félicité des déclarations faites ces derniers
temps par le représentant du Secrétaire général M. Choi pour qu`on fasse en
sorte que les acquis observés jusqu'à présent, soient préservés et que dans la
paix, on aille à ces élections. Le président Bédié a insisté sur la nécessité de
conjuguer tous nos efforts quelles que soient les difficultés pour que le
processus reprenne dans la confiance rétablie les uns dans les autres, pour
qu'on aille à ces élections. Et qu'il faut éviter d'aller de prétexte en
prétexte pour bloquer le processus" a-t-il souligné. (...)




 




Sortie de crise/ Yao
Paul N'Dré - ''Les obstacles à lever sont du ressort du premier ministre et de
la Cei''





L'Intelligent d'Abidjan  -

La Mission technique
d'évaluation des Nations Unies poursuit ses consultations avec les acteurs
politiques. Elle a échangé le mercredi 21 avril avec le président du Conseil
Constitutionnel Yao Paul N'Dré. Ce dernier a souhaité la reprise du processus
électoral Se confiant à la presse à sa sortie d'audience, le président du
Conseil constitutionnel a indiqué que la rencontre a porté sur le processus de
paix en Côte d'Ivoire. « Nous avons émis le vœu que le processus reprenne. Sur
ce plan, nous avons indiqué que seule une liste consensuelle pouvait permettre
aux ivoiriens d'aller sereinement au vote. Donc, cette liste constitue
aujourd'hui la base même du déroulement et du déclenchement de tout le
processus. Après cela, il y a d'autres actions à entreprendre. Le pays doit être
réunifié pour qu'on aille aux élections et pour que les uns et les autres
puissent battre campagne. Il faut que le processus soit sécurisé. Donc, il faut
que le désarmement ait lieu. Il faut également que les Forces conjointes des
Forces nouvelles et des Forces de défense et de sécurité constituent l'équipe
nécessaire pour sécuriser le processus électoral. Il faut que l'autorité de
l'Etat soit instaurée sur toute l'étendue du territoire national. C'est ce qui
peut permettre raisonnablement d'aller aux élections », a déclaré le président
du Conseil constitutionnel. A la question de savoir à quel moment les blocages
seront levés pour permettre aux ivoiriens d'aller aux urnes, Yao N'Dré a
signifié que « Les obstacles à lever sont du ressort du gouvernement, du premier
ministre et de la Cei. Il faut que la Côte d'Ivoire avance ».




 




Sortie de crise :
Choi a échangé avec le ministre des affaires étrangères




Fraternité Matin  -
Le
ministre des affaires étrangères et de l'intégration africaine, Jean-Marie
Gervais Kacou a accordé une audience ce mercredi 21 avril au représentant
spécial du secrétaire général des nations unies pour la Côte d'Ivoire, Young Jin
Choi. Le chef de l'opération des nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci), YJ Choi
a indiqué à sa sortie d'audience, qu'il était venu féliciter le ministre qu'il
n'a pas vu depuis sa nomination à ce poste le 04 mars 2010 dernier. « Nous avons
aussi discuté du processus électoral et de la réunification qui constituent la
dynamique actuelle », a expliqué le patron de l'Onuci. Il a surtout déploré le
blocage du processus de sortie de crise« La situation est bloquée, et il faut
redémarrer le contentieux pour arriver à la liste électorale définitive qui est
une étape incontournable pour aller à la présidentielle », a-t-il conclu.




 




Après une audience
avec le ministre Gervais Kacou - Y.J.Choi : "La situation est bloquée, et il
faut redémarrer le contentieux"




Le Patriote  -
Le
Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte
d'Ivoire, Y J Choi, a rendu, mercredi, une visite de courtoisie au Ministre
ivoirien des Affaires étrangères et de l'Intégration Africaine, Jean-Marie
Gervais Kacou. Il s'agissait selon le chef de l'Opération des Nations unies en
Côte d'Ivoire (ONUCI), de venir féliciter M Kacou, qu'il n'avait pas vu depuis
sa nomination à ce poste le 04 mars 2010. «Nous avons aussi discuté du processus
électoral et de la réunification qui constituent la dynamique actuelle», a
indiqué M. Choi dans une brève déclaration à la presse. «La situation est
bloquée, et il faut redémarrer le contentieux pour arriver à la liste électorale
définitive, qui est une étape incontournable pour aller à la présidentielle»,
a-t-il conclu.




 




Comité des experts
sur le contentieux : Absence de consensus entre les partis politiques




Fraternité Matin  -
Le
comité des experts préconisé par le Premier ministre et agréé, dit-on, par le
chef de l'Etat comme l'indique la déclaration de Guillaume Kigbafori Soro le 11
avril, au terme de leur tête-à-tête au Palais de la Présidence ne peut
travailler, pour l'instant. Et pour cause. Il ne semble pas faire l'unanimité au
sein des partis politiques. Même si l'information n'est pas encore officielle,
des sources proches des discussions indiquent que la commission électorale
indépendante et la Primature multiplient les contacts pour que les partis
politiques acceptent ce schéma qui devrait permettre de vérifier la liste
électorale provisoire dite blanche au lieu d'un «audit» ou d'un «croisement
populaire» comme le préconise le camp présidentiel pour en extirper les
fraudeurs et les non Ivoiriens. Cependant, l'opposition regroupée au sein du
Rhdp, selon nos informations, rejetterait l'idée du comité des experts.
L'opposition y voyant non seulement une manière d'accéder à l'exigence du camp
présidentiel qui a demandé un audit de la liste dite «blanche» composée de 5,3
millions de personnes mais aussi du dilatoire pour retarder le processus
électoral. Le Rhdp doute que même si cela était accepté, le camp présidentiel
n'invente d'autres subterfuges. Elle reste donc campée sur sa position :
l'ouverture d'un contentieux électoral suivant le mode opératoire. le blocage,
pense-t-on donc du côté de la CEI, n'est ni technique ni juridique, mais
purement politique en dépit de la volonté affichée publiquement. (...)




 




Blocages du
processus électoral : Mission difficile pour la CEI




Le Nouveau Réveil  –
(...)

La Côte d`Ivoire, qui attend des élections présidentielles depuis
2005, n`appellera pas cette année 2010 encore ses électeurs à répondre à un
devoir civique. Et c`est peu dire que de rappeler que le processus électoral
connaît encore des blocages. Ce jeudi 22 avril, le président de la République du
Sénégal, M. Abdoulaye Wade, pape du "Sopi" débarque dans la capitale ivoirienne,
après l`ex-facilitateur Blaise Compoaré, pour échanger avec les principaux
acteurs de la crise en vue de tenter de relancer le processus de sortie de crise
grippé entre le camp présidentiel et les Forces nouvelles, d`une part, entre le
Fpi et le Rhdp, d`autre part. Signalons que depuis quelques semaines, le camp
présidentiel a décidé de " désinfester " la liste blanche, parce que comportant,
selon lui, "des non Ivoiriens, donc des fraudeurs potentiels". A cet effet,
partisans du chef de l`Etat-candidat, Laurent Gbagbo, en accord avec la
primature a obtenu la modification du mode opératoire sur le contentieux. Là où
le Rhdp exige l`ouverture d`un contentieux électoral suivant le mode opératoire
utilisé jusque-là et qui a permis de sortir la liste provisoire de 5.300.586
pétitionnaires croisés positivement en direct ou par ascendance avec les
fichiers historiques, le camp présidentiel propose et arrache le croissement
populaire. Outre cette polémique, la gestion de la liste grise fait également
l`objet d`un grave désaccord entre les différentes parties. Aussi le nouveau
mode opératoire, version Fpi, qui pourrait être communiqué dans les heures à
venir, va-t-il encore en rajouter à un environnement déjà lourd. (...) Au regard
des désaccords entre les parties, il serait aisé de dire que la mission de la
Cei sera difficile. Et pourtant, il faut bien que les Ivoiriens aillent voter un
jour. Mais quand ? Le président Youssouf Bakayoko et la Cei vont-ils continuer à
regarder les politiques créer des problèmes artificiels pour retarder les
élections ?




 




En visite d'amitié
et de travail en Côte d'ivoire - Abdoulaye Wade à Abidjan ce matin




Notre Voie -

Le président Abdoulaye Wade du Sénégal arrive, ce matin, sur le coup de 11 h, à
l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan Port-Bouët. Le chef de
l'Etat sénégalais effectue, à compter de ce jour jeudi 22 avril une visite
d'amitié et de travail de 48 h en terre ivoirienne sur invitation du président
de la République de Côte d'ivoire Laurent Gbagbo. Le séjour en terre ivoirienne
du président Wade ne sera pas de tout repos. Le jour même de son arrivée, et
après un premier tête-à-tête avec le président Laurent Gbagbo, il aura une
audience avec le Premier ministre Guillaume Soro, à 15 h. Après le chef du
gouvernement, le président Wade rencontrera, entre 15h45 et 17h15 les trois
principaux partis politiques : Le Front populaire Ivoirien (FPI) du Premier
ministre Pascal Affi NGuessan, le Parti démocratique de Côte d'ivoire (PDCI) du
président Henri Konan Bédié et le Rassemblement des Républicains (RDR) du
Premier ministre Alassane Dramane Ouattara. A 18 h, il recevra en audience la
Commission électorale indépendante (CEI). Cette première journée marathon
prendra fin par un dîner gala en l'honneur du président sénégalais à la
résidence du chef de l'Etat à Cocody. Le vendredi 23 avril, deuxième et dernière
journée de sa visite d'amitié et de travail, le président Abdoulaye Wade
rencontrera, successivement, le représentant spécial du secrétaire général de
l'ONU à 10 h et le représentant spécial du facilitateur, à 11h. Il aura ensuite
un autre tête-à-tête avec le président Laurent Gbagbo à 12h. La lecture du
communiqué final interviendra autour de 14h et le président Wade regagnera son
pays autour de 15h.




 




Premier médiateur
dans la crise ivoirienne : Wade le "frustré" vient-il se venger ?




Le Nouveau Réveil
  -  (...)

On sait pourtant que Wade et Compaoré n'ont jamais eu de très
bons rapports. Le premier vient en Côte d'Ivoire non pas dans le cadre d'une
simple visite de travail, mais plutôt pour "s'imposer" dans le processus de
sortie de crise. De sources crédibles, ce changement est l'une des conséquences
du dernier séjour de Gbagbo au Sénégal à la faveur de la célébration du
cinquantenaire de l'indépendance de ce pays. En acceptant que Abdoulaye Wade
joue un tel rôle, que fera alors le facilitateur attitré, Compaoré ? Qui, il
faut le reconnaitre, a permis une avancée en s'engageant dans la résolution de
la crise par la mise en place du dialogue direct. En Côte d'Ivoire, Wade
rencontrera toutes les parties impliquées dans le processus électoral (...)
Plusieurs présidents africains "ont participé" sans le savoir, à installer le
retard que présente le processus de sortie de crise : Tabo Mbéki de l'Afrique du
Sud, John Kuffuor du Ghana, feu Bongo du Gabon...Gbagbo a entraîné en vain le Roi
Hassane VI du Maroc dans ce bourbier. Est-ce le come-back d'un frustré ? Laurent
Gbagbo veut une fois plomber le processus de sortie de crise en sortant cet
autre Joker. Qui traduit aisément sa volonté de chercher à réhabiliter Wade. Qui
au départ de la recherche de solution au conflit aux conséquences hautement
regrettables. Mais l'Onu, la France...accepteront-ils que Compaoré soit écarté
avec tout le travail qu'il a abattu ? Evidemment, Compaoré ne voudra pas qu'on
se paie sa tête après tous ces efforts. (...).




 




Conflit
communautaire à Daloa

Le
préfet Dakoury désamorce une bombe tribale




Le Nouveau Réveil  –
Ce
qui était considéré comme rumeur d'attaque des bété  contre les allogènes ne
l'est plus. Parce que des tracts circulent depuis le 12 octobre

2009. Pour inviter les Bété à chasser
d'autres Ivoiriens et étrangers de leurs terres. Ainsi "pour combattre la haine
tribale" selon les propres ter mes du Secrétaire Général de Préfecture
représentant le Préfet de Région en mission, la réunion du lundi 19 Avril 2010,
tenue de 10 heures à 12 heures dans la salle des fêtes de la Préfecture, a
confirmé l'existence des tracts. Ont assisté à cette réunion le comité de
vigilance et de gestion des conflits initié par le Préfet de Région, Dakoury
Lohouré Dabet, les Autorités Coutumières, les Chefs Religieux et les Autorités
de la Gendarmerie nationale et de la Police. Pour anticiper sur ces actes qui
peuvent mettre à mal la tranquillité des populations et singulièrement l'unité
nationale. (...) L'honorable Obou Kallet, chef de Gadouan et président des chefs
coutumiers bété, adjoint au fédéral FPI, a appris à l'assistance l'origine des
tracts: "J'ai été saisi le 2 Octobre 2009 de l'existence des tracts par
l'honorable député Ori Bouazo. Ce dernier dit avoir reçu ces tracts déposés
devant sa porte un matin". Mais, a t il rassuré les autres communautés :"Le Bété
ne fait jamais palabre à son étranger. Il fait plutôt palabre à son frère,... à
cause de son étranger". Dr Touré Lanciné, selon lui, condisciple du Président
Bédié à Guiglo et de Obou Kallet, chef de tous les musulmans de Daloa, déclare :
"Le musulman ne s'attaque pas à son hôte. Mais en tant que chef des malinkés et
de tous les musulmans ivoiriens et étrangers résidant à Daloa je m'associe à la
campagne de désintoxication initiée par Obou Kallet...




 




Violations massives
des droits de l'homme: La CPI aux portes d'Abidjan




Le Patriote  -

Les choses se précisent peu à peu. Les violations massives de droits de l'homme
qui ont eu lieu en Côte d'Ivoire depuis le déclenchement de la crise de
septembre 2002, ne resteront pas impunies. Un pas important vient d'être franchi
par les organisations de défense de droit de l'homme, notamment la ligue
ivoirienne de défense de droit de l'homme (LIDHO), à en croire son président en
exercice, le Dr. André Kamaté qui a rendu compte à la presse, mardi dernier au
siège de la structure, des assises du 37e congrès de la FIDH qui ont eu lieu à
Erevan, en Arménie. En effet, le premier responsable de la LIDHO a révélé qu'en
marge de ce congrès, sa structure a contacté Mme Mariana Pena, déléguée de la
Fédération internationale des droits de l'homme auprès de la Cour pénale
internationale pour, dit-il, « une intervention de la CPI en Côte d'Ivoire,
relativement aux violations opérées depuis septembre 2002 ». Toujours, aux dires
du Dr. Kamaté, la réponse de celle-ci a été sans ambiguïté. « La Cour n'est pas
loin des portes de la Côte d'Ivoire...Elle arrive cette année même », aurait-elle
soutenu selon le président Kamaté. Et d'ajouter : « Nous avons été rassurés ».
(...)