REVUE DE PRESSE DU JEUDI 02 MAI 2013

2 mai 2013

REVUE DE PRESSE DU JEUDI 02 MAI 2013








Dernier rapport sur la Côte d'Ivoire. Les précisions de l'Onuci. Sylvie van
Wildenberg, porte-parole de l'Onuci : « Ce sont les mêmes experts qui ont
produit le précédent rapport »





 





Nord-Sud Quotidien
– Dans cet entretien qu'elle nous a accordé par téléphone, Sylvie
van Wildenberg, la porte-parole de l'Opération des Nations Unies explique dans
quelles conditions le dernier rapport de l'Onu a été produit.





 




Le récent rapport des experts de l'Onu sur la Côte d'Ivoire a-t-il
été produit par ceux qui avaient investigué sur les partisans exilés au Ghana de
l'ancien président ivoirien ?




Le groupe d'experts a un mandat d'un an. Le rapport précédent était
intermédiaire. Celui-ci est le rapport annuel, final. Oui, c'est le même groupe
d'experts qui l'on produit. Ce groupe d'experts a terminé son mandat, maintenant
un autre groupe d'experts va être désigné pour la période suivante. Cela ne veut
pas dire que ce sera les mêmes experts. 




 




De qui répond ce groupe d'experts au juste ?




C'est un groupe d'experts indépendants qui est mandaté par le
Comité de sanction du Conseil de sécurité. Il existe depuis des années, il n'a
pas été mis sur pied juste après la crise postélectorale.




 




Comment ses membres ont-ils travaillé&




Le groupe d'experts travaille avec la collaboration de tous les
partenaires sur le terrain, y compris il est important de le dire – avec le
gouvernement.




 




Ils ont donc posé des questions au gouvernement qui leur a
répondu ?




Quand le groupe d'experts arrive ici, il travaille avec les acteurs
sur le terrain. Ils rassemblent des éléments de preuves qui peuvent aider le
Conseil de sécurité à prendre des décisions. Mais qui doivent bien sûr servir au
gouvernement ivoirien. Ils rencontrent donc toute une série d'acteurs dont des
membres du gouvernement auprès desquels ils rassemblent des informations. Mais
attention, cela ne veut pas dire que c'est le gouvernement qui leur a donné des
informations sur des chefs de guerre. Ils travaillent avec un très large
éventail de partenaires, notamment des acteurs institutionnels et avec l'Onuci
aussi.




 




Ont-ils rencontré dans ce cas les personnes qu'ils mettent en
cause ?




 Je n'en ai aucune idée. Je ne suis pas habilite à parler au nom du
groupe des experts. Il faut lire le rapport (S/2013/228) qui est public. Il a
été présenté au Conseil de sécurité le vendredi 25 avril. Sur la base de sa
lecture, le Conseil a adopté une résolution.




 




 




Retour à la normalité / Face au bruit de botte des activistes :
L'Onu toujours prudent et pas question de lever l'embargo sur les armes




 




L'intelligent d'Abidjan
– Un
rapport soumis au Conseil de sécurité de l'ONU par un Groupe d'experts commis
pour enquêter sur l'évolution dans divers domaines (sécurité, gouvernance, droit
de l'homme, processus de désarmement-insertion des anciens combattants...) en Côte
d'Ivoire fait montre de l'existence de quelques poches de résistance et d'une
impunité exercée par des acteurs. Ce rapport qui tance à la fois les hommes du
pouvoir ainsi que ceux de l'ancien régime, a permis au conseil de Sécurité de
l'Organisation des Nations Unies de proroger les mesures arrêtées contre la Côte
d'Ivoire, notamment en ce qui concerne l'importation d'armes, le commerce du
diamant et l'interdiction de voyager pour certaines personnalités. Le cas des
anciens chefs Com-zones pro-Ouattara et les activistes pro-Gbagbo, dont Blé
Goudé. (...)




Le type d'armement autorisé par le conseil de sécurité de l'Onu.
Pour permettre au gouvernement de faire face à certaines velléités, en ce qui
concerne le maintien d'ordre, le rapport du Groupe d'expert a énuméré un certain
nombre d'armement compatible. Il s'agit des fournitures destinées exclusivement
à l'appui de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire de matériel
militaire non létal destiné exclusivement à un usage humanitaire ou à des fins
de protection, sur notification préalable au Comité créé par le paragraphe 14 de
la résolution 1572 (2004); des vêtements protecteurs, y compris les gilets
pare-balles et les casques militaires, importés temporairement en Côte d'Ivoire
par le personnel des Nations Unies, les représentants des médias et les agents
humanitaires et du développement et le personnel associé, pour leur seul usage
personnel; les fournitures exportées temporairement en Côte d'Ivoire et
destinées aux forces d'un État qui agit, conformément au droit international,
exclusivement et directement pour faciliter l'évacuation de ses ressortissants
et des personnes envers lesquelles il a des responsabilités consulaires en Côte
d'Ivoire, sur notification préalable au Comité créé par le paragraphe 14 de la
résolution 1572 (2004); du matériel de police non létal destiné à permettre aux
forces de sécurité ivoiriennes d'utiliser une force appropriée et proportionnée
afin de maintenir l'ordre, sur notification préalable au Comité créé par le
paragraphe 14 de la résolution 1572 (2004); des armes et autres matériels létaux
destinés aux forces de sécurité ivoiriennes dans le seul but d'appuyer le
processus de Réforme du secteur de la sécurité ou d'être utilisés dans le cadre
de ce processus, après accord préalable du Comité créé par le paragraphe 14 de
la résolution 1572 (2004). (...)




 




 




Visite d'Etat dans le Tonkpi / Alassane Ouattara à son arrivée à
Man hier : ''Je viens m'assurer que ce que nous avons dit a été effectivement
bien accompli''




 




L'intelligent d'Abidjan |
Le
Patriote |
L'Inter – Le président de la République Alassane Ouattara
est arrivé hier mercredi 1er mai 2013 à Man pour une visite d'Etat dans la
région du Tonkpi marquée par la tenue d'un Conseil des ministres dans la
capitale du District des montagnes. Accompagné de la Première Dame Mme Dominique
Ouattara, il a été accueilli à sa descente d'avion par le Premier ministre
Daniel Kablan Duncan et la quasi-totalité des membres du gouvernement.




 




16 h 42. C'est l'heure à laquelle le chef de l'Etat a foulé le sol
de l'aéroport de Man situé à 7 Km du centre ville. Après des poignées de mains
avec quelques ministres et des responsables locaux, Alassane Ouattara a indiqué
que cette visite obéit au souci de développer et reconstruire la région du
Tonkpi qui a payé un tribut dans la crise qu'a connue la Côte d'Ivoire. «Nous
avons entrepris beaucoup de choses ici. Nous avons fait des promesses. Certaines
ont été réalisées. Je viens vérifier les progrès et m'assurer que ce que nous
avons dit a été effectivement bien accompli. Je viens dire aux populations que
je tiens beaucoup au développement de cette région qui a beaucoup souffert.
C'est pour cela que je reviens une deuxième fois avec Mme Ouattara pour une
visite de quatre jours. Je suis particulièrement heureux», a souligné le
Président de la République. Avant de regagner son véhicule pour le Centre-ville
sous les ovations d'une foule en liesse scandant ''Ado solutions'' ou encore
''Atsé président'' (bienvenue président, en langue wobé). Le Chef de l'Etat a
reçu les honneurs militaires de la Garde républicaine, des élèves de l'école de
la gendarmerie et de trois sections des Forces républicaines de Côte d'Ivoire
(Frci) . Après quoi, Alassane Ouattara a eu des rencontres privées avec
plusieurs cadres de la région. Le Président de la République présidera ce matin
un Conseil des ministres à Man avant de mettre le cap sur Biankouma où il
animera un meeting.




 




 





67è anniversaire du Pdci. Le malaise de Bédié gâche la fête. 15mn de frayeur à
l'hôtel Ivoire, mardi




L'Inter |
L'intelligent
d'Abidjan |
Le Patriote | Le Nouveau Réveil – Grosse frayeur
mardi 30 avril der- nier, à l'hôtel Ivoire. Pris d'un malaise subit, le
président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié,
s'est affaissé, alors qu'il participait au gala de célébration du 67è
anniversaire de son parti. C'était aux environs de 23h05, l'artiste Meiway
venait de démarrer sa prestation, quand un mouvement suspect autour de la table
d'honneur attire l'attention. On voit des personnalités se dresser en face de la
table où était installé le président du Pdci comme pour former un rideau aux
fins d'éviter d'attirer l'attention du public sur ce qui se passait. De plus en
plus, le monde grossit autour de la table où Bédié se tenait quelques minutes
plus tôt. Des mouvements qui ont fini par détourner le regard de la salle du
spectacle de Meiway, pour le braquer vers la table où le leader du Pdci,
faisait monter, quelques minutes plus tôt, les volutes de son cigare. Pendant
près de 15 minutes, la salle retient son souffle, le regard toujours rivé vers
l'attroupement autour de Bédié. «Que se passe-t-il?», s'interrogent les
spectateurs, tandis que l'artiste-vedette de la soirée continuait son show,
comme pour décrisper l'atmosphère. Mais, le cœur n'était visiblement plus à la
fête; les foulards aux couleurs vert-blanc, qui avaient été distribués pour
danser au son du Zoblazo, sont restés coincés entre les doigts. Des minutes
d'inquiétude s'égrènent quand, soudain, une clameur s'élève de la salle: le
président du Pdci venait de se remettre de son malaise. Il est 23h20. Remis sur
pied, il est encerclé par des proches. «Le président est debout au nom de
Jésus», répète Meiway dans le micro, répondant en écho aux cris de joie de la
salle. Immédiatement, le leader du Pdci est évacué. Pendant ce temps, le
talentueux Meiway, tout de vert vêtu, tente de maintenir allumée la flamme de la
fête. Rien n'y fit. Seules les hôtesses se prêtent au jeu, quand le gros de la
salle reste grippé par les minutes de frayeur qui venaient de s'écouler. Une
dizaine de minutes après le départ de Bédié, la salle commence à se vider: des
personnalités comme Charles Koffi Diby, Jean Louis Billon, Aka Ahouélé, Amoikon
Edjampan Tiémélé, le fraîchement élu maire de Cocody, Mathias N'goan, quittent
les lieux. Quand tout s'arrête aux alentours de minuit, le responsable de la
communication du Pdci, Augustin Dahouet Houphouët, expliquera que le président de son parti a été pris d'un malaise,
consécutif à la fatigue due à une dépense d'énergie pour la cause du parti:
«Le président Bédié est assujetti à un calendrier énorme. Donc le monsieur est
fatigué. Si vous voulez, on le pousse à la roue. Ce qui s'est passé est dû
au fait que le président est très fatigué et il y a eu aussi la pression de la
sono et tout cela a occasionné le malaise. C'est un malencontreux malaise qui
est du
̂
au fait que nous lui en demandons trop. Puisqu'il a pu se relever, considérez
que c'est un épiphénomène». Mais, pour la conseillère en communication de Bédié,
Djénébou Zongo Diomandé, celui-ci a été victime d'un malaise vagal; un mal qui
se traduit par une perte de connaissance due, entre autres, à une chaleur
incommodante, un repas copieux ou une forte émotion. L'ex-président franç
ais, Nicolas Sarkozy,
avait été victime du même mal du temps où il était au pouvoir. Et pourtant,
bien avant l'incident, le président du Pdci paraissait en pleine forme. A
preuve, il a traversé toute la salle pour aller délivrer son message au pupitre,
installé à près de 50 m. Un discours d'environ 5 mn, prononcé debout, dans
lequel Bédié a passé sous silence l'actualité brûlante que sont les dernières élections municipales. Ceux qui
attendaient qu'il commente ce scrutin, ont été purement et simplement dribblés.
«Nous nous engageons, avec les générations montantes, à toujours faire plus et
mieux pour que notre parti, le Pdci-Rda, atteigne le centenaire et qu'il survive
à jamais», a notamment déclaré Bédié. Avant lui, le secrétaire général, Djédjé
Mady, a retracé le parcours héroïque du Pdci, qui se veut, selon lui, un parti «stabilisateur». Quant
au secrétaire général adjoint, chargé des finances et du patrimoine du Pdci,
Désiré Assamoi N'zi, il a indiqué que cette fête s'inscrivait dans la dynamique
de la modernisation du parti.




 




 




 




En partance pour la sécurisation de la ville de Man / Un Pick up
des FRCI fait un accident: Une vingtaine de blessés dont 7 cas graves évacués
sur Abidjan




 




L'intelligent d'Abidjan |

L'Expression
– Des éléments des FRCI (Forces républicaines de Côte d'Ivoire)
en mission de sécurisation dans la région du Tonkpi afin de faciliter la visite
du Chef de l'Etat ont, dans la nuit du mardi 30 avril dernier, été victimes d'un
accident de circulation. Selon des informations recueillies sur place, c'est une
vingtaine d'entre eux qui ont été blessés dont sept (7) cas graves enregistrés.
Ces derniers ont été évacués d'urgence à Abidjan pour recevoir des soins
intensifs. Toujours selon nos sources, c'est un camion grumier transportant des
billes de bois stationné à quelques encablures de l'entrée de Man, qui est à
l'origine de l'accident. Ainsi, voulant éviter le grumier, le conducteur du
véhicule militaire de type pick-up, précisent nos sources, s'était retrouvé
nez-à-nez avec un véhicule de transport en commun qui venait en sens inverse,
avant de finir sa course dans la broussaille. Les blessés ont été transportés
par leurs frères d'armes à l'Hôpital général de Man. Ils ont été pris en charge
par le service d'urgence de ce centre médical.




 




 




Réforme de l'armée / Les Frci réfléchissent sur leur avenir




L'Inter

– Les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) veulent mieux
s'organiser, se donner une nouvelle orientation, après les graves crises
militaro-politiques qui ont secoué le pays depuis 1999. Dans le cadre des
déjeuners-débats de l'Organisation des Nations Unis pour la Côte d'Ivoire
(ONUCI) et de la Fondation Friedrich Ebert, sur la réforme du secteur de la
sécurit, dont la quatrième édition s'est tenue le lundi 29 avril 2013 à
l'ex-hôtel Sébroko au Plateau, siège l'Onuci, le Général de brigade Touré Sékou,
chef d'état-major général adjoint des FRCI chargé des opérations (CEMGAO), qui
représentait le chef d'état-major général de l'armée ivoirienne, le Général de
corps d'armée, Soumaïla Bakayoko, en mission à l'extérieur, a planché sur le thème ''La
Réforme de l'Armée : quelles futures Forces Républicaines pour la Côte
d'Ivoire?''. Il a exposé la vision du président de la République, Alassane
Ouattara, sur la sécurité. A l'entendre, les deux grandes crises qui ont secoué
le pays ont fortement éprouvé l'outil de défense et affaibli l'armée et sa
chaîne de commandement. Rappelant toutes les actions menées ou qui restent à
mener pour réussir ce pari, le Général Touré Sékou a demandé à la communauté
internationale de favoriser la mise en place ''d'une véritable armée
républicaine, respectueuse des lois et des institutions''. «Cela n'est possible
que si et seulement si la réorganisation de la nouvelle armée épouse l'éthique
militaire : une armée au service de la Nation et de la paix sous-régionale», a
déclaré le chef d'état-major général adjoint des FRCI, chargé des opérations.




 




 





Suspicion de fraudes électorales à Koumassi. Le responsable local de la Cei
auditionné.




Nord-Sud Quotidien
– C'est
un banal fait divers aux relents électoralistes qui a failli virer l'émeute. Un
jeune homme achète des beignets chez une vendeuse au campement, un sous-quartier
situé dans la commune de Koumassi. Celui-ci constate que le papier d'emballage
est un bulletin de vote stické et saisit le commissariat de police le plus
proche. Les policiers du vingtième arrondissement ouvrent une enquête et
procèdent à l'interpellation du vendeur des papiers litigieux. L'affaire se
propage comme une traînée de poudre au point où des partisans de certains
candidats malheureux à la municipale prennent d'assaut ledit commissariat. Les
faits remontent au dimanche, 28 avril, soit une semaine après le déroulement du
scrutin municipal. « Nous avons convoqué le responsable local de la Commission
électorale indépendante (Cei) et il a été auditionné le lundi », rapporte
l'officier en charge du dossier au commissariat du vingtième arrondissement. (...)
Il a détaillé que bien avant, le dimanche, le vendeur de papiers répondant aux
initiales de N.K. a reconnu avoir acheté soixante kilogrammes de papiers
contenant des bulletins stickés et cochés à 6.000 francs Cfa avec un
fournisseurs. Ce dernier est activement recherché par l'autorité judiciaire.




 




 





Après les municipales et les régionales : Palabre chez les Républicains





 




Le Démocrate –

«


La Direction du RDR ne se reconnait pas dans les déclarations faites par ces
cadres »




La Direction du Rassemblement Des Républicains (RDR) a pris
connaissance dans la presse d'une réunion de cadres se réclamant de la Direction
du RDR. Au cours de cette réunion dont le quotidien Le Nouveau Réveil, (quotidien
proche de notre allié le PDCI-RDA) s'est largement fait l'écho, ces cadres du
RDR auraient demandé "une remise à plat du parti" en arguant "Nous ne pouvons
plus fonctionner dans l'improvisation". C'est le lieu de rappeler aux uns et aux
autres les points:




 




1. La Direction du RDR ne se reconnait pas dans les déclarations
faites par ces cadres. Leurs déclarations n'engagent que leurs propres
personnes.




 




2. Malgré la montée en puissance des indépendants lors des récentes
consultations locales, le RDR reste et demeure le premier parti de Côte d'Ivoire
compte tenu de son implantation nationale et surtout compte tenu du nombre de
communes et régions remportées.





 




3. Il est impropre et mal, a propos de parler d'improvisation quand
l'on sait que c'est cette même Direction du Parti qui a permis au RDR de sortir
vainqueur largement lors des élections législatives et des régionales et
communales récentes. 




 




4. Le phénomène des indépendants, inhérents à tous partis qui
arrivent au pouvoir (après plusieurs années de luttes politiques), ne doit pas
occulter les efforts faits au quotidien par la Direction du parti pour contenir
et gérer les attentes légitimes des militants. 




 




5. Enfin, il est bon de relever que les questions relatives à
l'organisation interne du RDR et à son fonctionnement restent des sujets qui ne
sont débattus que dans le strict cadre de la Direction du parti et de ses
Instances.




 




C'est pourquoi, il est demandé à tous ceux, cadres du parti ou
membres des instances de Direction, qui ont des avis ou des propositions à faire
d'éviter de s'étaler sur la place publique.




 




Nous sommes le parti au pouvoir. En effet, le RDR est sorti
vainqueur de la Présidentielle, des Législatives, des Régionales et des
Municipales. Nous nous devons donc de fédérer nos énergies et renforcer notre
cohésion interne que ce soit au niveau de nos bases ou à celui de la Direction
de notre parti, pour ensemble accompagner avec détermination, le Président
Alassane OUATTARA dans la mission que le peuple de Côte d'Ivoire lui a confiée.






Pour la Direction du RDR

Le Ministre Joël N'GUESSAN

Porte Parole Principal.





 





ABOUDRAMANE SANGARÉ ÉCROUÉ À LA MACA





L'Inter


L'un des célèbres prisonniers politiques, depuis la crise
postélectorale, Aboudramane Sangaré, premier vice-président du Front populaire
ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, aurait été transféré, selon
Alerte-info.net, à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA), le
mardi 30 avril 2013. Interné depuis octobre 2012 dans une grande clinique
d'Abidjan, après plus d'un an de détention à Katiola, dans le Nord, M. Sangaré
retourne en prison, mais cette fois-ci à Abidjan, après 6 mois passés en
clinique. Deux ans après son arrestation, ce très proche collaborateur de
l'ex-prési- dent Laurent Gbagbo, attend toujours qu'une suite judiciaire soit
donnée à son incarcération.