LE RSSG ADJOINT RECOIT UNE DELEGATION DE LA RTI

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22 sep 2011

LE RSSG ADJOINT RECOIT UNE DELEGATION DE LA RTI

Abidjan, le 22 Septembre....... Le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d'Ivoire, Arnauld Akodjénou, a reçu jeudi 22 septembre 2011, une délégation de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI), conduite par son Directeur général, Aka Sayé Lazare.

A sa sortie d'audience, le Directeur général de la RTI a estimé historique cette visite au siège de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), d'autant plus quelle coïncide avec la session consacrée ce jour à la Côte d'Ivoire, au siège de l'ONU à New York. M. Aka Sayé a dit avoir saisi l'opportunité de cette rencontre pour évoquer avec M. Akodjénou, les perspectives de coopération entre l'ONUCI et la RTI. « La RTI est un média qui a pour vocation de contribuer à la paix en Côte d'Ivoire. L'ONUCI étant elle-même sur cette voie, nous avons pensé qu'il était opportun de nous rapprocher d'elle pour atteindre l'objectif commun », a-t-il indiqué.

M. Aka Sayé a exprimé sa satisfaction face aux assurances données par le Représentant spécial Adjoint de l'ONUCI. « Il nous rassuré sur sa volonté de nous appuyer dans beaucoup de domaines et nous demandé de compter sur lui et de le solliciter en cas de besoin, pour des initiatives pour lesquelles nous n'avons pas toujours les moyens, parce que la RTI, après la crise postélectorale, est une entreprise sinistrée que nous sommes en train de relever », a-t-il expliqué.

Sur le rôle que la RTI va jouer dans le cadre de la réconciliation nationale, son Directeur général a indiqué qu'elle resterait fidèle à son cahier de charges, qui est d'appuyer le Gouvernement dans ses efforts de réconciliation. « Nous sommes le média qui permettra de rendre visible les activités du Gouvernement ainsi que celles des ONG et de toutes les bonnes volontés qui se feront en terme de processus de réconciliation, pour faire en sorte que ceux qui sont en charge de ce processus puissent communiquer », a conclu M. Aka Sayé