INTERNATIONAL PRESS REVIEW 24 MAY 2008

24 mai 2008

INTERNATIONAL PRESS REVIEW 24 MAY 2008


ALASSANE DRAMANE OUATTARA A-T-IL LANCE SA CAMPAGNE A PARTIR DU BURKINA, VIA UNE DEDICACE ?
Sanfinna (hebdomadaire du Burkina Faso) du 19 au 25 mai 2008- L'évènement annoncé à travers les médias a suscité plusieurs interprétations qui se sont renforcées au jour dit (le samedi 17 mai 2008) de cette fameuse dédicace du livre de Ibrahim Cissé Bacongo au titre évocateur : « Alassane Dramane Ouattara : Une vie singulière ». San Finna y était.L'ouvrage de 250 pages a été conceptualisé en deux parties : la légende et l'épopée d'un homme vivant sa singularité(...)

Côte d'Ivoire: des Français sollicitent Laurent Gbagbo pour se réinstaller
AFP
- Une vingtaine d'opérateurs économique français, qui ont dû fuir la Côte d'Ivoire pendant les violences antifrançaises de novembre 2004, ont demandé le soutien du président ivoirien Laurent Gbagbo pour se réinstaller, a-t-on appris vendredi de source officielle. La délégation, menée par Marc Balzer, président de l'Association de défense des entreprises sinistrées de Côte d'Ivoire (Adesci), a rencontré jeudi le chef de l'Etat ivoirien pour le "féliciter sur le climat d'apaisement qui règne dans (le) pays", selon le site internet de la présidence."Nous sollicitons de votre part, indépendamment des dispositions budgétaires prévues, un geste financier spécifique, dédié aux entreprises sinistrées représentées par l'Adesci", a déclaré M. Balzer, rappelant que les opérateurs qu'il représente ont "tout perdu". Environ 150 entreprises françaises, en général des PME, ont disparu après les violentes manifestations antifrançaises de novembre 2004 menées par les "patriotes" pro-Gbagbo. Ces violences avaient également entraîné l'évacuation par l'armée française de 8.000 ressortissants étrangers. Un fonds de 6 milliards de francs CFA (plus de 9 millions d'euros), pris sur le budget de l'Etat ivoirien, est disponible depuis 2006 pour soutenir la réinstallation d'entreprises, ivoiriennes ou françaises. Les autorités ivoiriennes refusent en revanche de parler d'indemnités."Nous avons besoin des entreprises françaises", a déclaré le président Gbagbo lors de la rencontre."Il faut quand même que les gens sachent que (dans) tous les grands choix que nous avons opérés, ce sont des entreprises françaises que nous avons choisies (...) Pas par démagogie mais parce que c'est à elles que nous sommes habitués", a-t-il ajouté en citant les groupes Bolloré et Bouygues."Il y a eu une embrouille entre ceux qui étaient à l'époque à l'Elysée et moi. Je ne suis pas un sous-préfet français nommé en Côte d'Ivoire. Je suis un chef d'Etat élu", a déclaré M. Gbagbo à propos de ses relations tendues avec l'ex-président Jacques Chirac pendant la crise de 2004."Nous sommes en train de traçer avec le nouveau pouvoir (français) des nouveaux sillons", a-t-il affirmé.

Ivorian govt "behind student violence"
afrol News
,-Côte d'Ivoire authorities are accused of protecting pro-government student groups responsible for numerous acts of violent and criminal behaviour, according to human rights groups. The groups, often described as "the mafia", is said to operate under full impunity. The New York-based group Human Rights Watch in a 98-page report released yesterday, claims to document how these pro-government student groups are responsible for "politically and criminally motivated violence, including murder, assault, extortion, and rape." Attacks by the Student Federation of Côte d'Ivoire (FESCI) have often targeted perceived opponents of the ruling party, the Popular Ivorian Front (FPI). Human Rights Watch urges the government to "take immediate steps to end impunity" for members of that group. "For years, the government of Côte d'Ivoire has demonstrated a sustained and partisan failure to investigate, prosecute or punish serious criminal offences by FESCI members," noted Corinne Dufka of Human Rights Watch. "The impunity enjoyed by groups like FESCI has got to stop now in order to create a climate conducive to peaceful elections," she added. FESCI is said to be implicated in attacks on opposition ministers, magistrates, journalists, and human rights organisations, among others, the report outlines. According to interviews with victims and eyewitnesses, "the student group has killed, raped and severely beaten students perceived sympathetic to the northern-based rebellion or the political opposition," it details (...)