REVUE DE PRESSE DU LUNDI 16 JANVIER 2012

16 jan 2012

REVUE DE PRESSE DU LUNDI 16 JANVIER 2012



Le chef de l'ONUCI rencontre le directeur des opérations de la Banque mondiale

AIP - Le représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d'Ivoire, Bert Koenders a rencontré jeudi à Abidjan, le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d'Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso et le Togo, Madani Tall, en vue d'échanger sur l'appui économique et sécuritaire aux populations ivoiriennes.
Lors d'un entretien avec la presse, samedi à Abidjan, la division de l'information publique de l'ONUCI a fait savoir que M. Koenders a jugé l'entretien constructif.
« Nous sommes dans une période de transition, de renforcement des institutions dans le pays ; nous sommes en soutien des Ivoiriens au niveau de la construction économique », a indiqué le Représentant spécial du SG de l'ONU. Il a dit avoir échangé avec Madani Tall du renforcement respectif de l'ONUCI et de la Banque mondiale pour apporter une réponse adéquate à certains problèmes, par exemple dans l'ouest du pays, de l'emploi des jeunes.
Bert Koenders a ajouté que la question du renforcement de la combinaison sécurité et développement économique, ainsi que le retour des services sociaux sur toute l'étendue du territoire avaient également été abordés. « Il est important que nous jouons ensemble un rôle aux côtés de la Côte d'Ivoire en ce moment historique », a estimé le Chef de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).
Pour sa part, M. Tall a indiqué qu'il y a une concordance de vues entre l'ONUCI et son institution. « La Banque mondiale en Côte d'Ivoire essaie d'apporter sa contribution, notamment dans le domaine du développement, nous avons un grand programme que j'ai présenté à M Koenders », a-t-il fait savoir.
Il a souligné la complémentarité entre les actions menées pour consolider la sécurité en Côte d'Ivoire et les efforts de développement. « Quand les villes sont sécurisées il faut amener l'eau, l'électricité, il faut réhabiliter les infrastructures, renforcer les structures sanitaires, mettre en place les structures scolaires etc. », a souligné M Tall.
« Dans tous ces domaines-là, nous allons travailler avec le système des Nations unies en général, mais en particulier avec l'ONUCI pour voir ce que nous allons faire ensemble », a-t-il assuré.

L'ONUCI promeut la culture de la paix en milieu scolaire à Samatiguila

AIP - Abidjan, L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) a organisé jeudi à Samatiguila (900 km au nord d'Abidjan), une caravane scolaire dont l'objectif était de sensibiliser les jeunes des écoles secondaires sur son mandat et sa mission, et de promouvoir la culture de la paix, a fait savoir samedi, à Abidjan, la division de l'information publique. Lors d'un entretien à la presse, ce département de l'ONUCI a expliqué que le chef de poste de la police des Nations Unies à Odienné, Toudou Assoumane qui conduisait la délégation, a souligné l'importance capitale que l'ONUCI accorde à l'éducation. Dans cette perspective, il a engagé les élèves à être des « étoiles de la paix » et des partisans de la non-violence. Pour sa part, le principal du collège de Samatiguila, Kadio Kadio François a exprimé sa reconnaissance à l'ONUCI pour la tenue des cette activité qui, a-t-il dit, permettra aux enfants d'envisager avec sympathie les notions de justice, d'égalité, de liberté, de tolérance, de démocratie et leur donnera envie d'œuvrer pour un monde plus humain, plus solidaire. Le sous-préfet du département, Bony Bonaventure a salué la tenue de cette initiative qui, selon lui, privilégie au sein de l'école, la formation des futurs citoyens aux valeurs universelles.
L'école en tant qu'institution de la société ne saurait se mettre à l'écart du processus de réconciliation nationale engagé par les autorités ivoiriennes, c'est pourquoi l'ONUCI, à travers la caravane scolaire, entend faire de l'éducation à la culture de la paix, une nécessité à l'école, a souligné le bureau de l'information publique.

Visite en Côte d'Ivoire : Hilary Clinton rencontre Ouattara, mardi

AIP - La Secrétaire d'Etat américaine, Hilary Diane Rodham Clinton, annoncée ce lundi à Abidjan, rencontrera, mardi, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a-t-on appris, dimanche, auprès du service communication de la Présidence de la République de Côte d'Ivoire. Hilary Clinton sera ainsi le deuxième chef de la Diplomatie américaine en fonction à séjourner au bord de la lagune Ebrié, 25 ans après Georges Pratt Shults en janvier 1987. Ce sera, selon les autorités ivoiriennes, une occasion pour les deux pays de renforcer "leurs liens d'amitié et de coopération".
Les Etats-Unis, à l'instar de la quasi-totalité de la communauté internationale, avaient apporté un soutien ferme à Alassane Ouattara, lors de la crise postélectorale (décembre 2010-avril 2011), qui avait considérablement fait grimper l'indice de sécurité dans le pays.
Pour le porte-parole du gouvernement ivoirien, Koné Bruno Nabagné, la visite de Mme Clinton est "la preuve que la Côte d'Ivoire est à nouveau fréquentable". "C'est un signe que la normalité est de retour dans notre pays", renchérit-il.
Hilary Clinton rencontrera également le Premier ministre ivoirien, Guillaume Soro, annonce-t-on.
Les questions de coopération en matière de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la piraterie maritime, ainsi que la coopération économique et le processus de réconciliation en Côte d'Ivoire, seront les principaux points au centre des rencontres entre la secrétaire d'Etat de la première puissance économique mondiale et les hautes autorités ivoiriennes, précise-t-on du coté du ministère ivoirien des affaires étrangères.
L'arrivée d'Hilary Clinton à Abidjan marque le début d'une tournée qu'elle effectue dans quatre pays de l'Afrique de l'ouest, dont le Libéria, le Togo et le Cap-Vert.

Journée nationale de prière pour le pardon et la réconciliation / Boikary Fofana (Président du Cosim) : "Seule la réconciliation est gage d'une paix durable"

Le Patriote - La grande mosquée de la Riviera Golf a refusé du monde samedi dernier. Personne ne voulait se faire conter l'événement. Venus des quatre coins du pays, Imams et fidèles musulmans ont pris part à la Journée de prière pour le pardon, la réconciliation et la paix. Le président de la République, Alassane Ouattara accompagné de son épouse Dominique et de nombreux membres du gouvernement n'ont pas boudé cette journée de prières chargée de symboles. Tout de blanc vêtu, le couple présidentiel a rehaussé de sa présence cette cérémonie. L'initiative était du Conseil Supérieur des Imams (COSIM). Cette structure Islamique a décidé de contribuer de façon significative à la culture du pardon, à l'esprit de réconciliation nationale et à la promotion de la paix. En tout cas, la communauté musulmane en dépit de tout ce qu'elle a vécu durant la crise ivoirienne, tient à s'approprier la réconciliation. (...) Le président de la CDVR, Charles Konan Banny à cette occasion, a salué la tenue de cette journée de prières. Il a expliqué que la prière est une sorte de digue qui fortifie l'âme, est en même temps une sorte de digue qui permet de protéger l'homme contre les errements. (...)
Exprimant sa gratitude à l'endroit du premier magistrat du pays, le président du Cosim, le Cheick Boikary Fofana a invité les Ivoiriens à conjuguer leurs efforts afin de parvenir à une ''nécessaire'' réconciliation qui, seule est le gage d'une paix durable. (...)

Réconciliation nationale : Les jeunes Atchan appellent au pardon

L'inter - La jeunesse Atchan a décidé de s'inscrire résolument dans la politique de réconciliation prônée par les nouvelles autorités, depuis leur accession au pouvoir. Le président du Conseil de Sécurité Atchan-Goto, M. Yves Paulin Aguédé et ses camarades, veulent accompagner ce vaste chantier confié à l'ex-Premier ministre Charles Konan Banny. C'est pourquoi ils ne manquent pas les occasions pour exhorter les populations à la cohésion et à la cohabitation apaisée en Côte d'Ivoire. Le samedi dernier, Yves Paulin Aguédé et ses camarades ont réitéré leur engagement pour la paix au cours d'une rencontre avec la presse à Cocody, pour annoncer la tenue les 20 et 21 janvier prochains, de l'Assemblée générale extraordinaire de leur organisation. Il a saisi cette tribune pour lancer un appel au pardon aux Ivoiriens, non sans exprimer le pardon du peuple et de la jeunesse Atchan en particulier pour tout éventuel tort causé pendant les moments difficiles traversés par la Côte d'Ivoire. «Nous voulons dire au peuple de Côte d'Ivoire que les jeunes Atchan ont tourné le dos à tout ce qui s'est passé durant la crise post-électorale. Et nous demandons pardon à ceux que nous avons offensés et leur disons que nous avons aussi pardonné à ceux qui nous ont offensés». S'agissant de l'AGE des vendredi et samedi prochains, elle se tiendra à Anan dans le département de Bingerville et réunira plus de 500 jeunes venus des 60 villages Ebrié du District d'Abidjan. «Il est question pour nous jeunes Atchan des villages Ebrié de nous retrouver pour faire le bilan et les perspectives de tout ce qui s'est passé, et qu'on puisse regarder en avant pour une paix durable», a souligné Yves-Paulin Aguedé. Cette AGE qui a pour thème «le rôle et la place de la jeunesse Atchan dans la Côte d'Ivoire nouvelle» est placée sous le patronage du Gouverneur Beugré Mambé, sous la présidence et co-présidence de Oga Léon, Agbo Honoré et N'Gboba Simon et sous le parrainage du Conseiller du chef de l'Etat Agbahi Félicien et du 1er vice-gouverneur Aby Raoul. Le lancement de cette AGE est prévue pour le vendredi prochain à l'Hôtel du District au Plateau.

Conflit autour de la pêche à Ayamé : Les pêcheurs ivoiriens veulent être prioritaires

Notre Voie – Les jeunes pêcheurs d'Ayamé veulent avoir la priorité sur les activités de pêche dans le lac d'Ayamé au détriment des pêcheurs maliens bozos. (...) Le maire d'Ayamé, Blaise Louis Aka, a avoué ne pas connaître le nombre de bozos exerçant dans le lac (...) «L'autorité traditionnelle est bafouée par les arrivants, le problème devient un problème de la CEDEAO. Je dis aux jeunes de laisser l'Etat mettre les textes en application pour régler le conflit».
Le secrétaire général de la Coopérative des pêcheurs d'Ayamé (COPA), Richard Kolia, a, pour sa part, relevé que le souci des jeunes, c'est que la priorité leur soit accordée dans l'activité de pêche. Il a dit ne pas comprendre pourquoi la mairie d'Ayamé n'a pas été en mesure de légaliser le procès-verbal de l'élection du président de la coopérative qui a été déposé le 21 octobre dernier, auprès des services compétents. Pour lui, c'est dans l'attente de la délivrance de ce document que les bozos se sont mis à pêcher, provoquant le conflit qui s'est déclenché, le 7 janvier dernier. (...) Le ministre Adjomani Kouassi, avant de faire des propositions pour résoudre le conflit, a fait l'état des lieux qui se résume en deux points. A savoir, l'inorganisation et les pratiques illégales de pêche. (...) Les jeunes qui manifestaient leur mécontentement se sont aussi rendus au domicile du maire d'Ayamé. Car ils estiment que le maire soutient les bozos. Des décisions sont prises mais il faut les appliquer dans leur intégralité en vue de ramener la paix dans la localité. Le ministre Adjomani a promis de soutenir les jeunes pêcheurs ivoiriens.

Brève Côte d'Ivoire nouveaux affrontements signalés dans l'est

Connectionivorienn.net - Des affrontements ont opposé ce dimanche des jeunes d'Aniassué à des éléments des Forces républicaines de Côte-d'Ivoire (FRCI). La localité d'Anuassué est située dans la sous-préfecture d'Abengourou, dans l'est de la Côte-d'Ivoire. Ces échauffourées dont les raisons restent encore à identifier sont les troisièmes du genre, après ceux survenus à Ebilassokro et à Yakassé-feyassé, toujours dans le même département d'Abengourou. La gendarmerie que nous avons pu joindre ce soir, n'est pas encore à mesure de communiquer un éventuel bilan. Les gendarmes confirment tout au plus les affrontements.
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Sassandra : Les Dozos traumatisent les populations

Le Temps – Les nouvelles qui nous parviennent des villages aux alentours de la ville de Sassandra, font état d'une saga menée depuis plus d'une semaine dans la région par les Dozos. Selon les informations qui nous parviennent, un important «contingent mobile» de Dozos parcourt actuellement les villages et campements de Sassandra pour proférer des menaces aux chefs coutumiers et aux populations qu'on dit proches de Gbagbo. Ces manœuvres d'intimidation, qui se soldent souvent par des coups et blessures sur les victimes, débouchent presque toujours sur des actes de racket des villageois ainsi que la confiscation de leurs biens et autres denrées alimentaires. Tous ceux qui, à en croire les villageois, ont le malheur de s'opposer à ces Dozos ou de dénoncer leurs dérives sont systématiquement passés à tabac, avec une rare violence. Si bien que des villages et des campements entiers se vident régulièrement. Les habitants étant contraints d'abandonner leurs activités pour se réfugier pendant plusieurs jours dans les champs et forêts. Aussi interpellent-ils les autorités compétentes sur cette situation qui traumatisent les populations de la région de Sassandra.

Yamoussoukro : Des hommes en treillis attaquent / tout l'or du village emporté

Soir info -Les populations de Zatta, localité située à une dizaine de kilomètres de Yamoussoukro, ont vécu des moments particulièrement difficiles dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 janvier 2012. Le village a été attaqué par des individus en treillis militaires. La note laissée par ces derniers est très lourde. Une caisse d'or d'une valeur inestimable, des téléphones-portables et la somme de 720 000 F Cfa ont été emportés.

Selon les informations en notre possession, c'est aux environs de 2h du matin que les malfaiteurs, au nombre de neuf, assiègent le village. L'une des principales boutiques de la bourgade est prise pour cible. Le gérant, un Mauritanien, est dépouillé de tous ses fonds. Cap est ensuite mis sur le domicile d'un patriarche, le vieux Sombo. Et c'est là que les malfrats font la plus grosse affaire. Ils y font main basse sur une caisse d'or d'une dizaine de kilogramme et propriété de tout le village. Après l'assaut qui a duré 2 heures environ, les gangsters quittent les lieux. Une enquête est ouverte, en vue de mettre la main sur les auteurs et les complices éventuels de cette attaque.

Défense: Tournée de sensibilisation du CEMA à la troupe des Forces spéciales des FRCI

Connectionivoirienne.net - Le CEMG s'est entretenu successivement depuis le démarrage de cette tournée de sensibilisation avec les Unités rattachées à l'Etat Major Général ; Les Forces Terrestres ; 
Les Forces Aériennes ; 
La Marine Nationale ; et enfin avec les Forces Spéciales, sur le site provisoire de la Base navale d'ADIAKE, ce samedi 14 janvier 2012. Avant de livrer son message aux éléments des Forces Spéciales, le Chef d'État-major Général a écouté avec beaucoup d'intérêt, l'exposé du commandement de cette Unité de soldats aguerris aux techniques de combat de toutes sortes. Il s'est agi pour cette Force d'élite de faire partager le fonctionnement, l'organisation et les doléances au CEMG.
Le Général BAKAYOKO a pris bonne note des préoccupations émises, avant de saluer l'esprit de discipline qui anime les Forces Spéciales. Car, dira-t-il, la discipline est corollaire de la cohésion qui fait la force des Armées.
A preuve, votre devise : « ULTIMUM RECURSUM », c'est-à-dire, ULTIME RECOURS, traduit parfaitement la noblesse de votre mission et tout le prix que la République attache à votre Unité, parce qu'il écrit dans votre Code d'honneur : '' Nous ne sommes pas nombreux, mais heureux d'être si peu, parce que nous sommes une bande, nous sommes des frères qui partageons notre sang''.
Cependant, le CEMG n'a pas manqué de rappeler que les Forces Spéciales constituent une innovation des FRCI, avec des obligations et contraintes et les a félicités pour avoir choisi de servir l'Etat.

Après leur formation au Maroc : Les Forces spéciales préparent un coup à Adiaké

L'Expression - Crées par décret le 5 août 2011 par le président Alassane Ouattara, les 200 éléments des Forces spéciales qui sont suivi un stage de formation très pointu au Maroc sont de retour en Côte d'Ivoire. Après leur débarquement, ces éléments d'élite de l'armée ivoirienne ont été positionnés à la base navale d'Adiaké qui leur sert de base provisoire. Ils ont reçu ce week end la visite du général de division Soumaïla Bakayoko, Chef d'état major général des Frci.(...) Le Cemag a rappelé les consignes d'usage aux 200 commandos qui, après le stage du Maroc sont en train de roder leur méthode d'intervention dans leur bois sacré d'Adiaké. A regard des détails du décret de leur création, tout porte à croire que le positionnement de cette unité d'élite dans cette partie du pays obéit à un plan de neutralisation de toute velléité de déstabilisation du régime. C'est pourquoi cette force a été positionnée dans cette base qui est un centre de formation des commandos et qui se trouve à proximité de la frontière ghanéenne. La force spéciale est un détachement mobile d'intervention rapide formé des meilleurs éléments de l'armée. Elle est directement rattachée au président de la République. (...)

Fpi : Meeting du 21 janvier 2012 Koua Justin (Sn de la jeunesse) : « Aucun esprit humain ne peut l'empêcher »

Soir info - La Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) et son secrétaire national, Koua Justin sont déterminés à tenir le meeting du 21 janvier 2012 à Yopougon Ficgayo, quoi qu'il advienne. Il l'a clairement indiqué lors de la conférence de presse qu'il a animée dans la même commune, le samedi 14 janvier 2012, à l'espace le Baron. « Aucun esprit humain ne peut empêcher le meeting du samedi 21 janvier de se tenir.
Même si un communiqué venait à l'interdire, rendez-vous à Ficgayo, car je serai là », a-t-il lancé à ses camarades. A ceux-ci, Koua Justin a dit : « N'ayons plus peur. L'heure est venue de tuer la peur ». En fait, il leur a demandé de ne craindre personne, ni de se laisser influencer par le gouvernement : « Le pouvoir ne doit en aucun cas freiner notre mobilisation. L'heure est arrivée de prouver notre patriotisme », a-t-il galvanisé, tout en souhaitant que cette mobilisation soit « phénoménale ». L'épicentre de cet engagement, le leader de la jeunesse du Fpi l'a énoncé : « c'est Laurent Gbagbo ». (...)