REVUE DE PRESSE DU JEUDI 20 MAI 2010

20 mai 2010

REVUE DE PRESSE DU JEUDI 20 MAI 2010








Ouverture de l'atelier media et cohésion sociale à Séguéla




Le
Jour Plus -


L'atelier media et cohésion sociale a début ce mardi 18 mai 2010, dans la salle
de conférence du centre d'accueil paroissial de Séguéla (592 km d'Abidjan).  Une
quarantaine de participants issus des media et de la société civile venus des
localités de Séguéla, Mankono, Kani, Vavoua, Zuénoula et Gohitafla, participent
à cet atelier dont le thème central est : « Le rôle des media locaux et la
société civile dans le renforcement de la cohésion sociale en période
électorale».




Dans
son allocution d'ouverture, le Point Focal de l'Opération des Nations Unies en
Côte d'Ivoire (ONUCI), à Séguéla, Guy Munana a précisé que l'objectif de cet
atelier visait à créer les conditions optimales pour que les radios de proximité
deviennent des acteurs clefs dans le maintien et la consolidation d'un
environnement électoral apaisé. (...)Concernant la société civile, M. Munana a
souligné qu'elle constituait le second pilier nécessaire pour consolider les
acquis sur le terrain dans cette logique de renforcement de la cohésion sociale
en vue de tenir des élections dans la paix et la sécurité pour tous. (...)




 




25
gendarmes formés par l'ONUCI




Soir
Info  -


Vingt-cinq (25) gendarmes ivoiriens participent depuis lundi, 17 mai 2010, au
siège de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) à Abidjan, à une
formation en techniques scientifiques de gestion des scènes de crime, initiée
par la police onusienne (UNPOL).





L'objectif de cette formation, a expliqué le commissaire Julien Chable, de
l'UNPOL, est de familiariser les gendarmes ivoiriens à l'utilisation de la
mallette de police scientifique afin d'être plus efficaces sur une scène de
crime, dans le respect des droits de l'Homme.




 





Impartial




Le
Temps

- (...) On apprend que ces Forces dites impartiales demandent aux autorités
ivoiriennes de leur remettre les armes découvertes récemment dans une villa à
Anyama. Et dont les auteurs sont sous les verrous. Et pourquoi ? On craint que
les autorités en fassent un usage alors que le pays est sous embargo de l'ONU.
Pathétique ! Cette force a en charge la surveillance de l'embargo. Qui est plus,
elle a pour mission d'inspecter la dotation des ex belligérants. Si les armes
découvertes à Anyama viennent de l'étranger, il y a problème parce que l'ONUCI
aura failli à sa mission d'ouvrir l'œil aux frontières ivoiriennes. (...) La
découverte des armes à Anyama conclut, à l'évidence à l'inutilité des forces
onusiennes en Côte d'Ivoire. A vrai dire, les forces impartiales ne le sont que
de nom. (...)




 




Sortie de crise /
Contentieux sur la liste électorale provisoire - Les Etats-Unis s'informent
auprès de la Cei




L'intelligent
d'Abidjan


-

Le président de la Commission électorale indépendante (Cei)
Youssouf Bakayoko a reçu le mercredi 19 mai au siège de l'Institution
l'ambassadeur des Etats Unis en Côte d'Ivoire, Wanda Nesbitt. Au menu des
échanges, le contentieux sur la liste électorale provisoire. L'ambassadeur des
Usa en Côte d'Ivoire a indiqué, à sa sortie d'audience, être venu s'imprégner de
la reprise du contentieux portant sur la liste grise auprès de la Cei. « Nous
avons parlé du processus électoral. Je suis venue pour avoir des informations
sur le contentieux. J'ai lu dans les journaux que le processus a recommencé
depuis hier (mardi 17 mai). Le président m'a dit que le contentieux sur la liste
grise a repris dans plusieurs endroits, mais pas à travers toute la nation», a
indiqué Wanda Nesbitt. Tout en disant avoir évoqué avec son hôte le déroulement
pratique de cette opération sur le terrain ainsi que les perspectives. Elle a
dit avoir également été rassurée par Youssouf Bakayoko que le contentieux sur la
liste électorale d'une durée de 10 jours s'étendra sur toute l'étendue du
territoire. A la question de savoir si la date du scrutin présidentiel a été au
centre de la rencontre, l'ambassadeur des Etats-Unis a fait remarquer que « nous
allons arriver à ces questions un peu plus tard ». (...)




 




 




Forces nouvelles: Un
autre chef rebelle tué, hier




Soir
Info -

Sale
temps chez les Forces nouvelles ! La journée d'hier mercredi 19 mai 2010, a été
tragique pour les Hommes de Guillaume Soro. Un autre chef rebelle a été tué sur
l'axe Kanawolo-Korhogo. Le chef rebelle tué hier, se nomme Coulibaly Tabakali.
Il était le chef de sécurité de Boundiali et ''bras droit'' du Commandant de
zone (Com-zone) de cette localité, Koné Gaoussou alias Jah Gao. Selon des
sources concordantes, Le sergent Tabakali et son ami qui est chef d'un corridor
à Korhogo, sont tombés dans une embuscade sur l'axe Kanawolo-Korhogo. Ils ont
été tous les deux mitraillés par des hommes en arme. Règlement de compte entre
soldats des Fafn ou action menée par des coupeurs de route ? En attendant
d'avoir plus de précisions, les forces nouvelles ont de façon officielle, laissé
entendre que les assaillants sont des coupeurs de route. (...).




 




 




Face à la presse,
hier. Mabri Toikeusse s'attaque à Bédié. Le président de l'Udpci révèle : "
Gbagbo a donné son accord pour la marche "




 Soir
Info -

(...) Le
président de l'Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d'Ivoire
(Udpci), El Hadj Abdallah Albert Toikeusse Mabri a répondu à Henri Konan Bédié.
Face à la presse hier mercredi 19 mai, au siège de son parti aux Deux Plateaux,
le leader du parti fondé par feu Robert Gueï a craché ses vérités et a fait des
révélations sur la marche que les jeunes de l'opposition projetaient d'organiser
le 15 mai dernier. Le premier responsable de l'Udpci, Dr Albert Toikeusse Mabri
s'est voulu formel ! Pour lui, la marche du 15 mai dernier programmée par le
Rassemblement des jeunes pour la démocratie et la paix (Rjdp) n'avait d'autres
objectifs que pacifiques.




(...) « Pour moi, les
arguments évoqués pour reporter la marche n'étaient pas des arguments qui
tenaient », a affirmé l'ancien ministre des Transports. (...)Toujours au sujet de
cette marche, Dr Albert Toikeusse Mabri a révélé que le chef de l'Etat, Laurent
Gbagbo avait accepté la manifestation à condition que certaines voies ne soient
pas empruntées. « Gbagbo a donné son accord pour la marche. C'est le président
Bédié qui nous l'a dit. Gbagbo a demandé que la marche n'ait pas lieu. Le
président Bédié lui a dit qu'on ne peut pas annuler ou reporter cette marche.
Et, il a dit, dans ce cas, vraiment ce qu'il demande c'est que la voie qui
quitte l'aéroport pour aller au Plateau jusqu'au Palais de la République et qui
quitte le palais pour aller à l'hôtel ivoire ne soit pas perturbée par les
manifestations. (...)