REVUE DE LA PRESSE NATIONALE DU 13 AOUT 2012

13 aoû 2012

REVUE DE LA PRESSE NATIONALE DU 13 AOUT 2012







Après
Yopougon, Akouédo, Abengourou et Agboville, Bassam attaquée, samedi. 8
assaillants arrêtés, 4 fusils d'assaut et 194 balles saisis




 




Le
Nouveau Réveil, Le Jour plus, Nord-Sud, Le Mandat -

La série d'attaques perpétrées, ces
temps-ci, par les pro-Gbagbo contre les positions des forces républicaines de
Côte d'ivoire (Frci) en vue de déstabiliser la Côte d'ivoire a atteint la ville
de Grand Bassam, dans la nuit du vendredi à samedi dernier. Huit (8) des
nombreux assaillants venus par taxis d'Abidjan et à bord de pinasses sur la
lagune depuis Bingerville, ont été arrêtés et sont encore détenus à l'ex-IIAO,
camp des forces républicaines de Côte d'ivoire (Frci) à Grand Bassam. Selon des
informations recueillies çà et là, les assaillants ont choisi Moossou, un
village quartier de Grand Bassam, pour attaquer la position des Frci sise entre
les deux ponts de cette localité reconnue comme étant le village de l'ex
Première dame, Simone Gbagbo. Une fois les armes des Frci récupérées après
l'attaque surprise, les assaillants entendaient, toujours selon les informations
recueillies, libérer les pensionnaires de la prison civile au quartier France et
attaquer par la même occasion le poste de police de la ville et la brigade de
gendarmerie. Mais, leur stratégie déjà connue 24 heures avant par les Frci a
échoué. A leur arrivée, dans la ville patrimoine mondial de l'Unesco, leur
présence a été signalée par une dame qui les aurait vus débarquer et camoufler
des armes. Les hommes du capitaine Fofana Inza, informés, ont redoublé de
vigilance et la riposte à l'attaque lancée par les assaillants vers 23h30 s'est
soldée par 8 arrestations des hommes venus d'Abidjan pour semer le trouble à
Grand Bassam. Trois kalach AA 52, AA 47 et 1 fusil d'assaut Fm, ont été saisis
par les Frci. Les enquêtes se poursuivent, dit-on, pour mettre le grappin sur
les assaillants fuyards, les complices dont certains seraient à Abidjan. Selon
les Frci, cette attaque n'a fait aucun mort. Cependant, certains témoignages en
ville affirment qu'au moins 6 assaillants ont été tués. D'autres attaques
seraient en vue dans les villes du sud Comoé, c'est à dire de Grand Bassam à la
frontière ghanéenne en passant par Bonoua et Aboisso. [...]




 




 





Yopougon : Vaste opération de ratissage dans la forêt du Banco




 





L'Expression, L'Inter, Fraternité Matin, Le Nouveau Réveil, Le Jour plus  -
Des tirs nourris des
kalachnikovs ont retenti, hier en début de soirée, dans la forêt du Banco. Le
froufrou a donné lieu à moult supputations. Car, il est vrai que la période,
depuis les attaques ciblées contre les Frci à Yopougon et Akouédo, est devenue
extrêmement sensible. D'aucuns n'ont pas hésité, un seul instant, à mettre cette
situation sur le compte d'une nouvelle évasion à la Maison d'arrêt et de
correction d'Abidjan (Maca). Certains ont, immédiatement, indiqué qu'il
s'agissait des miliciens planqués dans la forêt du Banco et qui seraient
recherchés par les Frci. La deuxième version était la bonne. En fait, il
s'agissait, effectivement, d'une vaste opération de ratissage menée par toutes
les forces de sécurité ivoiriennes (Frci, Police, Gendarmes, Eaux et forêt) dans
la forêt jouxtant la Maca en vue de débusquer d'éventuels agresseurs de la Côte
d'Ivoire. Selon nos sources, cette opération fait suite aux récents événements
intervenus au cours du week-end précédent la fête nationale de la Côte d'Ivoire.
Etaient-ce les échanges de coups de feu entre les deux parties qui ont été
entendus dans la forêt du Banco. Tout porte à le croire. Car, au moment de notre
passage sur le terrain des opérations, il nous a été donné de constater l'élan
des éléments des différentes forces fonçant tout droit dans la forêt située
entre les premières habitations du quartier Fanny et la station d'essence Shell.
Et, la détermination se lisait sur les visages. Toute l'opération était placée
sous le commandement du chef d'Etat-major en second, le général, Détoh Letho. Le
chef d'état-major, Soumaïla Bakayoko, l'a dit : «il faudra se r »habituer à la
présence permanente des Frci dans les rues et quartier de toutes les villes de
l'intérieur de la Côte d'ivoire»




 




 




Attaques
de Yopougon et d'Akouedo / Le coordonnateur du Cojep de Yamoussoukro déféré à la
DST




 




L'Inter,
Notre Voie –
Les enquêtes sur
les récents événements de Yopougon et

d'Akouédo viennent de conduire le
coordonnateur régional du Cojep de la région du Bélier, M Kouadio Noël dit K.N,
à la DST. Selon les informations en notre possession, confirmées par une source
policière, tout serait parti de l'interpellation de Goho Marcel Désiré, employé
au Président Golf-Club de Yamoussoukro. Quelques jours auparavant, ce dernier
aurait confié à un collègue que des heures chaudes s'annonçaient pour la
libération du pays. Le lendemain de sa confidence, des évènements éclatent au
commissariat du 17ème arrondissement de police de Yopougon et font des morts au
sein des FRCI. Marcel, qui disait être au fait de ce qui se passe, aurait encore
confié à son collègue que Yamoussoukro n'est pas entré en action pour des
raisons tactiques. Il aurait alors précisé que ce n'est que partie remise et que
les heures à venir seront beaucoup plus chaudes. Contre toute attente, le
lendemain de cette « prophétie », le camp d'Akouédo est attaqué, alourdissant le
nombre de tués. Toujours dans ses causeries, Marcel fera savoir à son collègue
que la prochaine cible qui sera attaquée est Yamoussoukro et que le camp de la
Garde républicaine de la ville serait même en ce moment encerclé par les
assaillants. Pris de peur, le collègue de Marcel fait part de ces '' secrets'' à
un ami qui lui à son tour, en parle à un autre. De bouche à oreille,
l'information parvient à la police, qui met aussitôt Marcel aux arrêts. Lors de
son interrogatoire, il dénonce un homme en tenue, un certain Gueu. Ce dernier
nie les faits mais est tout de même interpellé. A l'issue de leur
interrogatoire, le nom de KN est cité comme étant celui par qui seraient parties
ces informations. [...]




 




 





Célébration / Paul Koffi Koffi (ministre chargé de la Défense) : "Les
ennemis de la République ne veulent pas désarmer; pourtant ils veulent la
réconciliation"




 




Fraternité
Matin, Le Jour plus, Soir Info –

Le Président de la République, SEM.
Alassane Ouattara, était samedi dernier, à l'Ecoles des forces armées (EFA) de
Zambakro, située à 20 km de Yamoussoukro, route se Sinfra, où il a présidé la
double cérémonie de baptême de la 43e promotion de cette école, puis la remise
d'épaulettes à la 42e promotion d'élèves officiers qui porte son nom. (...)

C'est aussi cette tribune que
le ministre délégué à la Défense a mise à profit pour saluer la place de choix
qu'occupe le département de la défense dans le programme du gouvernement, en vue
de la réalisation des axes majeurs que sont la sécurité des personnes et des
biens, la réconciliation nationale, la cohésion sociale et la reconstruction du
pays. Tout en faisant la promotion de la bonne gouvernance et la coopération
sous-régionale. Car l'objectif visé par le Président Alassane, selon Paul Koffi
Koffi, est la mise sur pied d'une armée républicaine, disciplinée et moderne.
Faisant le bilan de la lutte contre l'insécurité, le ministre délégué à la
Défense a relevé des acquis notables, en dépit «des secousses observées ces
derniers jours. Notamment l'attaque du 17e arrondisse- ment de police de
Yopougon et celles du camp militaire d'Akouédo que les soldats ont repoussée».

Au regard de ces faits, il a exhorté les militaires à redoubler de vigilance
car, selon lui, ne veulent pas désarmer, alors qu'ils veulent la réconciliation.
«Nous devons porter le double dans leur camp comme ils essaient de le faire
chaque jour»,
a-t-il recommandé. Puis d'ajouter : «Quant à vous, chers
soldats, redoublez de vigilance, quels que soient vos positions, grade ou
fonction. Pas de laxisme, toujours de la discipline, de la loyauté et de la
compétence».
[...]




 




 




Paul Koffi
Koffi rassure : «Les armées s'opposeront avec la dernière énergie aux ennemis de
la République»




 




Le
Patriote
- «Les armées sont
prêtes à assurer la défense du territoire national. Elles s'appliqueront à
s'opposer avec la dernière énergie aux ennemis des institutions de la
République. Pas de laxisme. C'est désormais la vigilance. Je demande aux
Ivoiriens de ne pas se laisser intimidés», le ministre auprès du président de la
République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, s'est voulu rassurant lors de
son adresse à la cérémonie de la sortie de la 42è promotion de l'école des
forces armées. En effet, relativement aux attaques dirigées contre le FRCI ces
derniers temps, le premier responsable de la défense nationale a traduit
l'engagement et la détermination des troupes à contrarier les projets de
déstabilisation des institutions concoctés par les ennemis de la paix et du
développement. Pour lui, malgré les soubresauts, le travail de sécurisation
engagé par les forces républicaines porte des fruits surtout dans l'Ouest du
pays qui est en proie à de récurrentes violences. «Nous avons réussi à
stabiliser le front Ouest grâce à une organisation sur le terrain et à la bonne
collaboration du Libéria voisin. Nous souhaitons que ce soit ainsi avec les
autres voisins afin que l'Est ne soit pas un souci sécuritaire et un lieu
d'infiltration d'hommes armés», a-t-il recommandé au voisin de l'Est. Avant de
demander aux soldats de redoubler d'efforts dans leur mission de sécurisation du
territoire, des personnes et des biens. «Nous devons porter le doute dans le
camp des ennemis de la République comme ils tentent de le faire. C'est ce que
nous nous attelons à faire. Chers soldats soyez vigilants quelque soit votre
position dans la hiérarchie militaire», a-t-il exhorté. Tout en invitant les
officiers de la promotion, Alassane Ouattara, à être en phase avec le nom de
leur promotion, qui selon lui, renvoie aux valeurs de détermination, du courage,
de l'amour pour le travail bien fait. «Je souhaite que vous inspirez de ses
valeurs pour bâtir une carrière digne d'un bon soldat au service de la Côte
d'Ivoire mais aussi du continent africain», a-t-il encouragé. Par ailleurs, Paul
Koffi Koffi a incité les ex-combattants à un peu de patience car, a-t-il dit,
les efforts engagés par le gouvernement pour résoudre le problème de démobilisés
ne sont plus loin à produire des résultats.




 




 




Koua
Justin (Jfpi) menace le pouvoir : « Je suis pressé de voir ce régime chuter »




 




Le Nouveau
Réveil, Le Quotidien d'Abidjan, Soir info

- Secrétaire national intérimaire de la Jeunesse du Fpi (Jpi), Koua Justin, a
annoncé à la presse, samedi dernier, au Qg de son parti à Cocody, que la Jfpi
combattra «jusqu'au bout» le régime en place. «Je le dis chaque fois. Vite ce
régime chutera, les Ivoiriens se porteront mieux. Je suis pressé de voir ce
régime chuter démocratiquement. Je demande à ceux qui prennent les armes
d'arrêter. Je ne sais pas qui tire, mais je demande aux tireurs d'arrêter»,
a-t-il expliqué, annonçant qu'il va inviter ses bases et autres mouvements
patriotiques à une large concertation le 25 août prochain. Après quoi, la Jfpi
lancera une offensive «démocratique» après le 25 août. «S'il urge, a-t-il dit,
que nous fassions un sit-in devant le camp de Zakaria pour qu'il nous assassine
tous, nous le ferons». Le leader de la Jfpi compte associer ses camarades des
autres partis politiques, ceux du Rhdp en particulier, et singulièrement, le
Pdci. «Il faut que, de façon patriotique, le grand frère KKB sache que le pays
court à la dérive en créant un front patriotique avec le Fpi pour sauver la Côte
d'Ivoire», propose-t-il. Koua Justin dit qu'il entreprendra, dans les jours à
venir, des démarches auprès du président de la Jeunesse du Pdci, Kouadio Konan
Bertin, alias KKB, et auprès des autres leaders. Un projet d'alliance qui trahit
peut-être, les récentes sorties ravageuses de KKB, contre le Pdci et le
Gouvernement. «Depuis le 7 août dernier, Zakaria Koné procède à des enlèvements
de nos camarades, à la limite, les démocrates ivoiriens qui ont voté pour
Gbagbo. La Jfpi est une structure politique. Nous prenons nos instructions de la
direction du parti qui est légalement constitué. La jeunesse ne constitue pas
une branche armée et n'est pas capable d'attaquer un camp militaire», menace
Justin Koua. [...]




 




 




Attaques
répétées des pro-Gbagbo depuis le Ghana : Et si on fermait la frontière ivoiro-ghanéenne
!




 




Le
Nouveau Réveil -
Depuis la
folie meurtrière qui a précédé la fête de l'indépendance du 7 août dernier, les
sorties des autorités ivoiriennes en charge de la sécurité et de la défense
convergent vers l'affirmation que les assaillants sont venus du Ghana voisin. «L'armée
a réussi à stabiliser ce front (ouest), grâce aux moyens dégagés par vous,
monsieur le président de la République, et à la bonne collaboration du pays
voisin qu'est le Libéria. Nous souhaitons cette bonne sollicitude de la part de
tous les voisins pour que l'Est ne devienne pas un souci sécuritaire, comme lieu
d'infiltration d'hommes armés ou de trafic de nos produits agricoles
»,
diagnostiquait le ministre de la Défense, Paul Koffi Koffi, le samedi 11 août
dernier à Zambakro. De son côté, le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur,
Hamed Bakayoko, le 8 août dernier, mettait en avant « la complicité des
assaillants
» qui ont attaqué la caserne d'Akouédo à Abidjan, le 6 août. Dès
lors, dans l'attente de «la bonne sollicitude» souhaitée des autorités
ghanéennes ou avant que l'Est ne devienne « un souci sécuritaire », on se
demande ce que fait ou ce que doit faire le gouvernement ivoirien. S'il est
admis que la frontière avec le Ghana voisin constitue une zone de provenance des
«ennemis de la république», pour quoi ne pas donc prendre des décisions
courageuses qui puissent aller jusqu'à la fermeture de cet « axe de la menace »
? Autrement dit, pourquoi ne pas appliquer le même dispositif sécuritaire
préventif qui a permis de juguler l'épidémie d'attaques sur le front ouest ?
Cela reviendrait à mieux contrôler la longue et trop perméable zone frontalière
qui va de Bondoukou à Noé, en passant par Assuefry, Transua, Maféré et autres
localités à risques. En tout cas, cela contribuerait à contrôler les allers et
venues des partisans de l'ancien président Laurent Gbagbo et anticiper sur les
menaces d'attaques, comme les populations en font déjà les frais à Abengourou.




 




 




Commission
Ouattara : un rapport scandaleux et révisionniste




 




Le Nouveau
Courrier -
Finalement, ils se
sont résolus à le rendre public... Après un certain nombre d'atermoiements, les
«stratèges» du régime Ouattara, d'abord réticents à la diffusion du rapport que
«leurs» Commissaires ont mis plus d'une année à produire, ont lâché du lest et
l'ont mis à la disposition du grand public. A sa lecture, les observateurs
comprendront rétrospectivement pourquoi les commanditaires de ce texte voulaient
le garder secret. En effet, le rapport de ce qu'il est convenu d'appeler la
Commission nationale d'enquête (CNE) sur les violations des droits de l'Homme
durant la guerre post-électorale se présente comme un document à la fois
inutile, scientifiquement indéfendable et moralement révisionniste, voire
insultant pour la mémoire d'un certain nombre de victimes. [...]




 




 




Après la
France, le Canada efface 65 milliards de la dette ivoirienne




 





L'Expression -
Après la France
qui a consenti à une annulation sèche de 656 milliards de Fcfa de la dette
ivoirienne et 1.384 mil- liards de Fcfa de Contrat de désendettement
développement, le Canada vient à son tour d'annoncer officiellement l'annulation
de 65 milliards de Fcfa que lui devait la Côte d'Ivoire. C'est l'ambassadeur du
Canada qui a apporté la donné la nouvelle, vendredi, au ministre de l'Economie
et des Fiances, Charles Koffi Diby. Elle était porteuse d'un doucement du
ministre de l'Economie et des finances de son pays, qui stipulait que son pays
est disposé à effacer l'ardoise ivoirienne. Cette décision canadienne intervient
dans la deuxième phase de l'annulation de la dette après le point d'achèvement
de l'initiative Ppte.car après l'annulation automatique, la côte d'ivoire doit
signer avec tous partenaires bilatéraux pour matérialiser l'annulation. Reste à
savoir quand Charles Koffi Diby se rendra o Ottawa pour parapher les documents y
afférents.




 




 




Gagnoa/
Réconciliation : Ouattara réhabilite la résidence de la mère de Gbagbo




 





L'Expression -
Les effets
collatéraux de la crise postélectorale n'ont pas épargné la résidence de la
maman de Laurent Gbagbo, l'ex-chef de l'Etat à Gnalliépa dans le département de
Gagnoa. La maison de Mme Gado Marguerite qui avait été pillée par les badauds a
été entièrement remise à neuf. Les murs ont reçu une nouvelle couche de
peinture. Pour avoir le cœur net sur l'initiateur de cette rénovation, nous
avons approché une source proche du village qui a bien voulu se confier à nous.
« Un matin, nous avons vu des manœuvres dans la résidence. Ils nous ont dit que
c'est le président Alassane Ouattara qui les a envoyés », confie notre source.
Des propos que confirme Dalli Monoko André, chef du village de Gnalliépa. « Nous
avons reçu des instructions de la part du préfet de région pour la
réhabilitation de la résidence de la mère du président Gbagbo, à la demande du
chef de l'Etat. Il nous a demandé d'accueillir l'équipe qui viendra réaliser les
travaux », a renchéri le chef du village. Selon lui, beaucoup reste à faire.
«Nous comptons saisir les autorités pour leur porter le message », a-t-il
poursuivi. Avant d'ajouter que la réhabilitation de la maison de la maman de
Gbagbo est un signe en faveur de la réconciliation. « Si la maison est
réhabilitée, cela veut dire qu'on permettra à la maman de l'ex-président de
rentrer », a conclu le chef de Gnalliépa. [...]




 




 




Offensive
diplomatique / En Arabie Saoudite depuis hier : Le Président Ouattara en
''pèlerinage''




 





L'intelligent d'Abidjan, AIP
- A
l'invitation de son Altesse Abdallah Ben Abdelaziz Al Saoud, le Président de la
République s'est envolé hier dimanche 12 août 2012 pour l'Arabie Saoudite où il
prendra part à la 4ème session extraordinaire de l'Organisation de la Conférence
islamique (OCI). Le Président de la République (...) Alassane Ouattara mettra à
profit son séjour dans le pays qui accueille les pèlerins musulmans pour tenir
une séance de travail avec la Banque Islamique de Développement (BID), cette
institution financière qui soutient plusieurs projets de développement en Côte
d'Ivoire. En outre, le chef de l'Etat s'entretiendra avec les autorités
saoudiennes. Les échanges avec ses hôtes porteront sans doute sur le
renforcement de la coopération entre la Côte d'Ivoire et l'Arabie Saoudite.
Comme lors de ses précédents voyages à l'extérieur, Alassane Ouattara
rencontrera ses compatriotes résidants en Arabie Saoudite. L'avenir des
étudiants ivoiriens qui ont effectué des études dans des villes comme la Mecque
et Médine pourrait être aussi au centre des échanges. C'est la première fois
depuis son accession à la magistrature suprême qu'Alassane Ouattara effectue un
voyage en Arabie Saoudite. C'est une visite de travail, qui s'apparente à un
''pèlerinage'', d'autant plus que l'Arabie Saoudite constitue la Terre sainte
des musulmans. [...].